Les Principaux Mouvements Litteraires Par J E

unité d'analyse, hétérogénéité et prototypes séquentiels dans le second). Le texte qu'on va lire n'est donc à prendre que comme une introduction destinée à expliciter le cadre d'une théorie générale et à mettre de © 1993, Collection « Annales Littéraires de l’Université de Franche-Comté » Presses Universitaires de Franche-Comté 12 Jean-Michel Adam l'ordre dans des savoirs linguistiques souvent très techniques et difficiles à articuler. Je crois utile de partir du fait que la compétence

poétique du Romantisme au Surréalisme Préface : La poésie du XIXème au XXème siècle évolue. Elle s’ouvre au monde et à la liberté du XXème siècle. Dans ce recueil de poèmes et d’œuvres d’arts, nous allons voir que cette évolution de mouvements littéraires s’est faite en plusieurs étapes. Tout commence par le romantisme, puis l’art contemporain et pour finir le surréalisme. SOMMAIRE Le Romantisme Le

PRINCIPAUX MOUVEMENTS LITTERAIRES ET COURANTS D'IDEES | XVI ème | LA RENAISSANCE Mouvement de rénovation littéraire, artistique et scientifique qui apparaît dès le 15ème en Italie et s'épanouit en France au 16ème , sous l'influence de la culture antique. La Renaissance connaît donc un prodigieux foisonnement littéraire, véritable hymne à la vie ( Marot, Rabelais, La Pléiade ). L'HUMANISME Le retour de la paix favorise un important mouvement culturel : l'humanisme. Il s’agit

– Lecture analytique n° 1/ Du Bellay, « Déjà la nuit en son parc... », L'Olive, 1550 – Intro : : Joachim Du Bellay fait partie du groupe de sept poètes (dont Pierre de Ronsard) qui constitue le mouvement littéraire de la Pléiade. Ce mouvement littéraire contribue en 1549 à l’épanouissement de la langue française par La Défense et illustration de la langue française en prônant les modèles antiques (grec, latin). Les poètes s'inspirent du quattrocento italien et du poète Pétrarque. C’est le

devant, l’autre derrière, si distinctes que Mr Enfield n’établit pas le lien entre elles. La façade de devant “ offrait un grand air de richesse et de confort ”. L’autre a l’air délabré, “ on dirait à peine une habitation ”. 7°) Mouvement – courant littéraire Le symbolisme : Le principe est la subjectivité de la connaissance, suggérer plutôt que nommer, décrire ou raconter 8°) Style a) Les informations données par le narrateur restent égale à ce que peut savoir un personnage. Le

THÉORIE DE LA LITTÉRATURE (1975-1985 et 1992-1997) INTRODUCTION Le terme "littérature" LE RÉGIME SOCIO-HISTORIQUE DE L'ARCHI-TEXTE A) LE DISCOURS INSTITUTIONNEL 1) L'ESTHÉTIQUE LITTÉRAIRE 2) L'HISTOIRE LITTÉRAIRE 3) LA CRITIQUE LITTÉRAIRE a) La critique historique 1°) La critique philologique 2°) La critique psychologique b) La critique herméneutique 1°) La critique symbolique 2°) La critique thématique B) DU DISCOURS AU PARCOURS : L'HISTOIRE ET LA DIALE CTIQUE 1) LA CRITIQUE SOCIOLOGIQUE

intra-disciplinaires puisque les langues utilisées afin de transporter des messages, sont distinctes dans chacune des parties du monde. Bref, la traduction est une réécriture du texte original. Le texte source peut être une publicité, une œuvre littéraire (un roman, un poème, une nouvelle et ainsi de suite), des documents (gouvernementaux, scientifiques etc.), une nouvelle dans un journal ou le journal entier et beaucoup d’autres formes d’écritures. Cependant, ce n’est pas toujours des textes eux-mêmes

­ Rencontre entre la tradition populaire et la tradition littéraire.  ­Se constitue après le roman courtois et théâtre religieux en langue vulgaire.  ­ Se développe en Picardie ­ le théâtre gagne une forme littéraire.    Les premiers textes  ­De  Jean Bodel ­ ​ Jeu de Saint Nicolas   ● des scènes de taverne franchement comique  ● langage déformé (jargon) des malfaiteurs , discours trompeur   ● imagination, brio se manifestant dans la parole  ­ De Jean Bodel ­ Courtois d”Arras   ● origine religieuse  ● mélange de récits e de scènes dialogués 

Article « L’incompétence de Thérèse d’Avila – Analyse de la rhétorique mystique du Château Intérieur (1577) » Hélène Trépanier Études littéraires, vol. 27, n° 2, 1994, p. 53-66. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/501081ar DOI: 10.7202/501081ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services

Le surréalisme est un mouvement artistique qu'André Breton définit dans le premier Manifeste du Surréalisme comme un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale [...] Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations