Les Principaux Risques Liés à La Montée De La Dette Publique En France

définir le risque de cette firme. ( Aider essentiellement les dirigeants, à essayer d’améliorer leur gestion. ( Renseigner les actionnaires : action d’évaluation, regarder si la firme est non seulement rentable mais également, au delà de cette notion de rentabilité, si elle crée de la valeur. Parce que le rentabilité de l’entreprise ne se mesure pas seulement par son résultat comptable. Il y a d’autres critères. ( Renseigner les créanciers : on va en particulier aider à mesurer le risque de la firme

concurrents) - Analystes financiers (comparent la valeur des actions pour savoir si on la vend ou non). - Acquéreurs potentiels - Les Banquiers - Les salariés à travers le comité d’entreprise : Analyse financier pour justifier un plan social. - Les FRS : Etudier la solvabilité des clients pour paiements à crédit. Qu’est ce qui est diagnostiqué ? - Les marchés : marketing, stratégie - Le système de production et la stratégie - Les ressources humaines

se limitent pas à l’éclosion de compétences spécifiques et inédites dans quelques filières spécialisées. Il s’agit le plus souvent de compétences transversales affectant des volumes très importants de personnels dans un grand nombre de secteurs imposant une adaptation substantielle des dispositifs de formation. Comment les objectifs environnementaux modifient-ils le niveau et la structure des emplois par secteurs et par métiers ? Le concept de croissance verte suggère la montée de nouveaux besoins

autre que celles prévues à l’article L. 122-5.2° et 3° a) du Code de la propriété intellectuelle ne peut être faite de la présente publication sans l’autorisation expresse de la Banque de France ou, le cas échéant, sans le respect des modalités prévues à l’article L. 122-10 dudit code. » © Banque de France - 2010 ISSN 1637-4681 SOMMAIRE Repenser les marchés des dérivés de gré à gré pour garantir la stabilité financière CHRISTIAN NOYER, Gouverneur de la Banque de France I-V ÉTUDES Les CDS :

monnaie Section 1 : Identification de la monnaie A- Les fonctions de la monnaie 1- Intermédiaire des échanges L’introduction de la monnaie dans une économie permet d’éliminer les inconvénients liés au troc (échange d’un bien contre un autre bien). Dans une économie monétaire les biens vont s’échanger contre de la monnaie et la monnaie va servir à acheter d’autres biens. Un instrument de paiement va être accepté par des agents économiques si on a confiance en la monnaie. 2- unité de compte

ans ont passé depuis le déchaînement de la crise financière, et nous commençons à peine à en mesurer les conséquences. Andrew Haldane (Banque d'Angleterre) a récemment estimé que la valeur actualisée de toutes les pertes de production présentes et futures approcherait sans doute une année de produit intérieur brut (PIB) mondial : 60 000 milliards de dollars (46 700 milliards d'euros), soit cinq siècles d'aide publique au développement, ou dix milliards de fois le coût de construction d'une classe

inflation, chômage, …) L'économie politique / l'analyse économique : interpréter les phénomènes économiques grâce à des théories. La politique économique : l'analyse de l'action publique dans le domaine économique. Macroéconomie : le niveau d'analyse est le système économique dans son ensemble. Microéconomie : le niveau d'analyse est celui de l'acteur économique (=individu). On cherche à comprendre son comportement. SECTION 2 : La problématique de départ de l'économie générale La problématique

Emirats : 9 Pyramide des âges : 9 Niveau de consommation : 9 2.2- Le niveau de production 9 Production nationale : 9 Importations : 10 2.3- La distribution 10 Distribution : 10 Les types de magasins : 10 Règlementation : 11 III- Risque 12 IV- Sources : 13 Analyse sectorielle 14 I- Analyse du marché 14 II- La production locale 15 1- Les parfums 15 2- Les cosmétiques 15 3- Développement des spas 15 III) Les importations 16 IV) Les Réexportations 16 V)

mondiales a fortement cru en 20 ans : en 1900 quatre-vingt, le stocks représentaient 12 000 milliards de dollars, soit 109 % du PIB mondial ; en 2003, le montant est de 118 000 milliards de dollars, soit 326% du PIB mondial. Très fort développement du marché des changes. En 20 ans, le volume journalier des opérations a été multiplié par 10 : en 86, 200 Mds de dollars contre 1900 milliards en 2004. La part des crédits à la clientèle dans l’actif des banques commerciales a régressé de 84 % à 38 %

vrai problème, pour moi, se situe dans les semaines qui nous séparent de ce scrutin. Si un puissant « bank run » oblige les autorités à geler les dépôts bancaires et à instaurer un contrôle des capitaux, cela reviendra, de facto, à une sortie de la Grèce de l'euro. Le pire serait que les marchés décident à la place des gouvernements. Et c'est ce vers quoi l'on risque de s'acheminer. Les Européens ne peuvent-ils rien faire pour éviter ce scénario ? Il faudrait envoyer des signaux positifs ; répéter