Les Problèmes éthiques De La Biologie

La consommation de viande est-elle éthique ? Quand la question est posée de savoir si nous devons manger ou non des animaux, deux sens sont à distinguer. La question peut d'abord renvoyer à un problème de connaissance scientifique. Le corps humain a-t-il besoin de produits animaux pour rester en vie, ou à tout le moins en bonne santé ? Mais bien souvent, cette question, qui fait appel à une réponse descriptive, prend place dans le cadre d'un débat beaucoup plus vaste et complexe, où la question revêt

ordre à découvrir, un ordre à construire, un chaos. Peut-on alors penser scientifiquement le hasard sans altérer la conception du hasard ou de la science ? Si l’on ne peut lier des rapports entre ces notions tout en conservant leur intégrité, le problème vient-il forcément de la conception du hasard, ou peut-il s’agir de la science ? Une première façon d’aborder ces notions est le point de vue des philosophes antiques. La science et le hasard sont alors à voir comme deux notions antinomiques,

à mon avis, inévitablement à repousser les frontières de notre ignorance. Trois perspectives principales se présentent : D’abord notre capacité à analyser, décomposer la vie et progressivement la modifier. Savoir génétiquement reprogrammer notre biologie afin d’éliminer la maladie et s’inscrire dans l’éternité. Puis, notre faculté d’agir au niveau de l’atome. Toutes choses, composées d’atomes, deviennent « constructibles ». Les nanotechnologies concernent tout ce qui existe et il n’y a plus de limite

Les énergies renouvelables Les énergies renouvelables constituent une réelle opportunité pour répondre à une partie de nos besoins énergétiques dans le respect d'impératifs environnementaux, sociaux, économiques, stratégiques et éthiques. L'utilisation des énergies renouvelables n'est évidement pas nouvelle. Mais, avec l'avènement de la révolution industrielle, elles ont été marginalisées au profit d'autres sources d'énergie que l'on pensait plus prometteuses. Depuis quelques décennies cependant

l’homme ? 2- Les outils ou moyens de l’approche basée sur les droits de l’homme 3- L’apport aux politiques publiques de l’approche basée sur les droits de l’homme C- ETHIQUE ET DROITS DE L’HOMME 1- Qu’est-ce que l’éthique? 2- Les principes fondamentaux de l’éthique médicale 3- Relation entre l’éthique et les droits de l’homme 4- Ethique et mission de maintien de la paix E- LES INDICATEURS DES DROITS DE L’HOMME 1- Qu’est-ce qu’un indicateur des droits de l’homme? 2- Pourquoi des d’indicateurs des droits

ou les sociétés humaines. Ces différents points de vue sont développés plus bas. La Convention pour la diversité biologique issue du sommet de Rio en 1992 a popularisé le terme « biodiversité », tout en soulignant qu’une part importante des problèmes d’environnement était liée à des modifications de la diversité des êtres vivants induite par les activités humaines. L’année 2010 a été décrétée « Année internationale de la biodiversité » (http://www.cbd.int/2010/welcome/) pour accélérer la prise

l'histoire, ce qui a valu le nom de mère des sciences. Elle propose aussi une réflexion sur la nature de la réalité ou encore de l'être lui-même (ontologie), qui deviendra une branche importante de la philosophie, la métaphysique. Les réflexions éthiques des anciens, poursuivies à l'époque hellénistique par les écoles épicurienne et stoïcienne, qui se prolongeront dans l'Antiquité romaine, mettent majoritairement l'accent sur la maîtrise des désirs et des passions, proposant un idéal de sagesse en

de vie sont les conclusions psychologiques tirées par l'individu des situations vécues (postulat de la formation par induction généralisante affective des motivations). Les besoins d'amour conduisent plutôt aux termes de passions et de désir. Dans Biologie des passions, JD VINCENT explique préférer le mot passion à ceux de comportement élémentaire et d'émotion, le mot désir à celui de motivation… qu'il laisse aux physiologistes (6). • Les besoins proprement d'appartenance. Le paragraphe précédent sur

relève tout droit de la pensée athée. Un premier questionnement survient alors : est-ce pertinent de croire en une religion, ou, sinon, de ne croire en rien? En effet, est-ce que la religion apporte suffisamment au monde pour compenser pour tous les problèmes qu’elle a engendré à travers les âges? Beaucoup de questions, complexes, mais nécessaires pour assurer notre bon cheminement personnel. Le but de cet essai sera donc de donner mon opinion sur la question du religieux, de donner mon opinion sur cette

Remarque : LA VERITÉ N’EST PAS LA REALITÉ. Vérité : accord de la pensée avec la réalité. Caverne  opinion  pensée non démontrée (qui porte sur la réalité sensible). [Monde extérieur] (Réalité intelligible)  Science (pensée vraie ou démontrée). Problème : Comment penser sans le corps ? Ce n’est pas simplement le fait de « dire le contraire de l’opinion ». C’est donc simplement de « régler ses opinions », c’est UTLISISER des DEMONSTRATIONS. Le philosophe : Il est au fond de la caverne… mais