Les Prodiges De La Liberte

une nécessité tout extérieure qui nous presse à travailler, une nécessité économique comparable à la lutte pour la vie, la nécessité qui régit le comportement des espèces dans la Nature. L'entrée dans le monde du travail, c'est donc la fin de la liberté sous sa forme légère, adolescente, tandis que tombe sur nos épaules le poids écrasant de la nécessité économique. Ce genre d'opinion fataliste est très largement partagé par les élèves au lycée. Elle imprègne aussi la mentalité commune et, on peut

« j'ai su » →elle est privé de liberté mais elle sait en tirer profit , même du pire (L7) Oxymore , Antithèse → « douleur volontaire ». (L4) « On me croyait étourdi » →elle essaye de s'armer pour affronter les Hommes →ennemi →ne laisse pas de liberté au Femmes . Elle s'attaque aux hommes en tant que fonction , elle dénonce une société où les femmes sont soumises au silence & à l'inaction , elles sont inférieures MDM prend sa revanche , elle affirme sa liberté par la manipulation . C'est un

nouveaux dieux et aux nouveaux citoyens. A contrario de la représentation froide et nécessairement intéressée ignorant toute idée et tout contenu spirituel, la religion romaine fait foi en des rites et attitudes rituelles obligatoires mais libres : la liberté de penser les dieux, la religion et le monde. Il n’existait aucun autre dogme que l’obligation rituelle. Il y a donc une dissociation entre croyance explicite et pratique religieuse. Les devoirs religieux sont imposés par le statut social de l’individu

..5 II] Leurs actions en faveur du protestantisme A) Un prodige de la musique classique, au service de la religion …………..6 B) Une théologie qui bouleverse les polémiques religieuses ……………….7 C) Homme de Dieu/ Homme de Paix…………………………………………8 III] Postériorité A) « L’un des plus grands compositeurs de tout les temps »………………..9 B) Une pensée qui se propage dans le monde entier ………………………10 C) Un hymne à la liberté mémorable et universelle ………………………10-11 Conclusion…………………………………………………

des ans et auxquelles se limite, pour le plus grand nombre, la connaissance des Tsiganes. Les gens les voient nomades, soupçonnés des larcins qui se commettent sur leur passage. Ils leur prêtent une passion violente pour la liberté et le voyage Leur indépendance, leur liberté d'action, exprimées et vécues, leur besoin d'autonomie comme leur "esprit de famille", la solidarité et la convivialité qu'ils développent, s'accommodent mal de l'individualisme de la société moderne. Souvent d'ailleurs, leurs

préjugés d’éducation, ont lutté contre le nouveau joug, et n’ont consenti à l’embrasser qu’avec des adoucissements; et de là le schisme entre les rigoristes et les mitigés, qui les rend tous furieux, les uns pour la servitude et les autres pour la liberté. Imaginons une immense rotonde, un panthéon à mille autels; et, placés au milieu du dôme, figurons-nous un dévot de chaque secte, éteinte ou subsistante, aux pieds de la Divinité qu’il honore à sa façon, sous toutes les formes bizarres que l’imagination

« Des monstres et prodiges », A. Paré, 1574 «Les essais », M. Montaigne, 1595 Introduction : Ambroise Paré était chirurgien des derniers Valois 1510-1590 (France). Il est considéré comme le père de la chirurgie moderne et a publié un certain nombre de traités scientifiques. Michel Montaigne (1533-1592) est, avec Rabelais, le principal auteur humaniste, aristocrate, il fait une réflexion sur l’Homme en s’étudiant lui-même. Chacun de ces auteurs nous livre une thèse différente sur l’origine des « monstres »

historique (1480-1540) on sait peu de choses : charlatans de foire, astrologue et maitre d’école, semble-t-il suspectes : c’est un fanfaron. Il n’est en rien comparable aux grands savants humanistes, pourtant une foule d’anecdote grossit rapidement les prodiges de Faust. On lui accorde des pouvoirs magiques qu’il détiendrait d’un pacte avec le démon Méphistophélès. Il incarne la figure du savant qui a vendu son âme au diable pour pénétrer les secrets de la nature et jouir de tous les plaisirs interdits

romantique et d’un tableau surréaliste. J'ai choisi un tableau de Eugène Delacroix  : «La liberté guidant le peuple». Le contexte : Charles X, et son impopulaire ministre, le prince de Polignac, remettent en cause les acquis de la Révolution. A la session de la Chambre le 2 mars 1830, Charles X menace de sévir. Les députés refusent de collaborer.Le roi signe et publie quatre ordonnances tendant à supprimer la liberté de la presse et à modifier la loi électorale. C’est une violation de la Constitution.

parole aux esclavagistes pour montrer combien leurs arguments sont absurdes. Il pense donc tout le contraire du texte. Termes péjoratifs : l.2 " ces malheureux" l.20 " inhumanité manifeste de la part des juges" L'auteur critique la notion de "non liberté" des nègres Termes péjoratifs ( avant le dialogue) l.2 " pauvre homme" Aucuns indices de subjectivité, c'est un dialogues fictif entre deux personnages Point de vue 1 seul point de vue ( celui des esclavagistes) 1 seule point de vue