Les Précieuses Ridicules Parodie

Libertin : un homme infidèle et séducteur mais aussi comme un homme libre de mœurs et de penséeDom JuanContexte : Dom Juan est une pièce de théâtre écrit par Molière en 1665, sous le règne de Louis XIV, autrement appelé le "Roi-Soleil". Molière bénéficie des faveurs du monarque, celui-ci étant un passionné d'arts, notamment de théâtre et de danse. Le peuple partage également le goût du roi pour le théâtre. La concurrence entre les compagnies est très rude. A cette époque le théâtre

immédiatement deviner à quelle classe sociale ils appartiennent. Le décor est également très important pour donner exprimer le réel car il permet de nous situer à un endroit, autre que la salle de théâtre, le temps de la représentation. Les précieuses ridicules de Molière est une pièce qui se moque de la superficialité de certaines femmes. Grâce aux tenues portées par les deux femmes et grâce à leur comportement on devine immédiatement qu'elles souhaitent appartenir à la classe sociale supérieure

Les pièces de Molière : * 1659 Les Précieuses ridicules : Comédie en un acte et en prose. L’action se déroule à Paris. Magdelon et Cathos, deux jeunes provinciales, arrivent à Paris en quête d'amour et de jeux d'esprit. Gorgibus, père de Magdelon et oncle de Cathos, décide de les marier à deux prétendants, La Grange et Du Croisy, mais ces dernières les ridiculiseront de telle façon que ceux-ci voudront se venger de ces « précieuses ». * 1662 L’École des femmes : Comédie en cinq actes et en

l'homme. Nous sommes tous notre propre Dieu, libre à vous de l'accepter ou non. · Le paradis et l'enfer n'existent pas. Il s'agit tout simplement d'une invention de la religion chrétienne pour tenir ses disciples tranquilles et ainsi récolter leurs précieuses taxes (dîme, quêtes, etc..) · Satan n'est pas un être spirituel, c'est une force de la nature. Le nom Satan à l'origine désignait «opposition» et «accusateur». Le satanisme se veut donc une opposition face aux religions hypocrites qui tentent d'étouffer

littéraire mettant en valeur un idéal (l'honnête Homme) et une esthétique fondée sur la recherche de la perfection. Molière écrit des comédies qui sont biens moins encadrées par les règles du Théâtre Classique que la tragédie. L'auteur des « Précieuses ridicules », de « Tartuffe » ou encore de « Dom Juan » se sert des effets comiques de la farce et de la Commedia Dell'arte pour se moquer et critiquer les défauts de l'homme. Le Misanthrope est une très grave critique de la société du XVIIe. Molière

critiquer la société en effet c’est un moyen imagé et relativement simple d’accès, ce qui lui donne l’avantage même à l’époque de pouvoir être lu par une grande partie de la population. Des caricatures, des critiques, des parodies … sont créées par les auteurs. Comme « les précieuses ridicules » de Molière dans laquelle, il critique les femmes de la haut société, il caricature leur langage, leur geste … représentée pour la première fois à Paris le 18 novembre 1659. Comédie qui fit parler d’elle à l’époque

les Comédiens-Italiens la salle du petit Bourbon. Après y avoir représenté plusieurs tragédies, ainsi que ses deux comédies (l'Étourdi et le Dépit amoureux, qui avait été créée en 1656), Molière remporta un véritable triomphe en 1659 avec les Précieuses ridicules, reprise d'une pièce créée auparavant à Béziers. En 1660, contraints de quitter la salle du petit Bourbon, les comédiens s'installèrent définitivement au Palais-Royal. Après Sganarelle ou le Cocu imaginaire (1660), Molière, soucieux de réussir

le roman). Dans les salons tel que celui de la marquise de Rambouillet, on cultive un langage fait d'hyperboles, de périphrases et de "pointes" (ou traits d'esprit), qui refuse les mots "bas". Molière tourna la préciosité au ridicule de part sa pièce Les Précieuses Ridicules. -Le classicisme. Entretenant des rapports assez étroits avec la cour et avec Versailles, le courant classique se propose comme idéal l' "honnête homme". En matière littéraire, les genres sont codifiés, on prône l'imitation

avec un égal succès le fameux Tabarin sur ses tréteaux du Pont-Neuf. Sainte-Beuve, Tabl. hist. et crit. de la poésie fr. et du théâtre fr. au XVIe s., 1828, p. 252. − Spéc., POÉSIE. Genre burlesque. [En France, aux environs des années 1640-1660] Parodie généralement en vers dont le propos était de travestir de manière comique a) soit le plus souvent une œuvre de style, noble, en prêtant aux héros des actions et des propos vulgaires et bas : Scarron a mis l'Énéide en vers burlesques (Besch. 1845);

les hésitations de Christian en début de scène et l'étonnement de Roxane : « ... » points de suspension de Christian ; (1374) « Mais pourquoi parlez-vous de façon peu hâtive ?» (1377) « Vos mots sont hésitants. Pourquoi ? » 2) Le comique lié à la parodie et à l'intertextualité a) Cet extrait constitue une réécriture parodique de la scène du balcon dans Roméo et Juliette (1595) : - on retrouve le m lieu et le m cadre la nuit devant une fenêtre / balcon éclairé - m métaphores :   métaphore protection