Les Précieuses Ridicules Scène 4

SEQUENCE 5 - LE THEATRE I ] Introduction • Complexité du genre théâtral qui repose sur : pérennité du texte écrit éphémérité de la représentation (interprétation, mise en scène, décors,…) • Double énonciation du dialogue théâtral ; les propos s’adressent à la fois aux personnages et au public. • Le théâtre se veut un art proche de la vie, de la réalité ; on remarque une exigence de naturel dans la représentation des personnages et

cette puissance. Les personnages de Ubu et d’Egisthe imposent leur tyrannie par une prise illégitime du pouvoir. En effet, Ubu tue Vanceslas et Egisthe assassine Agamemnon. Une fois au pouvoir, ils ont un regard dédaigneux envers les autres. A la scène 4 de la pièce de Jarry, Ubu demande le nom du paysan le plus âgé mais ne le nomme jamais par son nom, seulement par « tu » ou « vous ». De même, le roi de Ionesco ne nomme jamais Marie ou Marguerite mais s’adresse à elle en se tournant vers elle comme

Tartuffe, III, 3, v. 925-1000 (plan détaillé) 1. Un discours amoureux qui en soi n'a rien de ridicule... mais qui échoue. 1. En soi, le discours de Tartuffe est un "discours amoureux" classique : 1. vocabulaire mélioratif et hyperbolique ("les plus rares merveilles", "des beautés", "parfaite créature" ; 2. posture de suppliant que prend l'amoureux : omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant"... La dame, elle, est

les Comédiens-Italiens la salle du petit Bourbon. Après y avoir représenté plusieurs tragédies, ainsi que ses deux comédies (l'Étourdi et le Dépit amoureux, qui avait été créée en 1656), Molière remporta un véritable triomphe en 1659 avec les Précieuses ridicules, reprise d'une pièce créée auparavant à Béziers. En 1660, contraints de quitter la salle du petit Bourbon, les comédiens s'installèrent définitivement au Palais-Royal. Après Sganarelle ou le Cocu imaginaire (1660), Molière, soucieux de réussir

L’analyse de la bourgeoisie par Maupassant dans les six derniers chapitres de la seconde partie. Introduction. Au XIX ème siècle, la classe bourgeoise est de plus en plus omniprésente dans la société remplaçant la noblesse sur le devant de la scène tant d’un point de vue économique, politique que social. Dans Bel-Ami, l’auteur fait un insert sur cette classe émergente. Il en décrit les mœurs, les us et coutumes, aléatoirement, de façon laudative ou dépréciative. Cette époque décrite de façon

Troupe de Monsieur le Prince de Conti. Molière, fier de son succès rentre à Paris en 1658. Après son succès dans Le Docteur Amoureux, Molière est autorisé à jouer au théâtre du Petit-Bourbon. Il obtient un premier grand succès avec Les Précieuses Ridicules en 1659, puis avec Sganarelle en 1660. Mais Molière veut également montrer des talents d'auteur tragique avec Don Garcie de Navarre (1661); l'échec est vibrant. Heureusement dès juin 1661, il retrouve son publique avec L'Ecole des Maris puis

raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans. En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. C’est la pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Tartuffe, jouée pour la

Bergerac Questions de compréhension et d’approfondissement Acte 1 Répondez aux questions suivantes sur une feuille lignée. 1- À la scène 1, de nombreux personnages arrivent peu à peu et les dialogues s’entrecroisent. Qui parle à qui? Précisez-le en reconstituant les conversations d’au moins trois groupes de personnes. À la scène 1 : Le portier parle au cavalier Le garde parle à la fille (qu’il veut donner un baiser) Le jeune homme parle à son père

Molière, Les Précieuses ridicules, Acte I, scène 6 MAROTTE.- Voilà un laquais, qui demande, si vous êtes au logis, et dit que son maître vous veut venir voir. MAGDELON.- Apprenez, sotte, à vous énoncer moins vulgairement. Dites : "Voilà un nécessaire qui demande ; si vous êtes en commodité d’être visibles." MAROTTE.- Dame, je n’entends point le latin, et je n’ai pas appris, comme vous, la filofie dans le Grand Cyre. MAGDELON.- L’impertinente ! Le moyen de souffrir cela ! Et qui est-il le maître de

dernier annonce à Agnès qu’il est son futur époux. La scène 2 est une tirade d’Arnolphe qui s’étale sur une page recto-verso et celui-ci s’adresse à Agnès. Grâce à cette tirade, nous pouvons nous demander comment Molière critique la vision de la femme dans le mariage lors de la tirade de l’acte III scène 2. Dans un premier temps nous allons étudier 4. En quoi réside le ridicule du personnage dans cette tirade ? [G]Ma réponse :[G] La scène 2 de l'acte III est un moment dramatique et comique