Les Rapports Maitre Valet Dom Juan Sganarelle

Done Elvire dans le Dom Juan de Molière Introduction La première représentation de Dom Juan se déroule le 15 février 1665 au théâtre du Palais Royal. Molière a fait appel à deux peintres, Simon et Prat, pour le décor, ce qui est une première, et témoigne, tout comme son travail d’adaptation de la légende, qu’il ne s’agissait nullement de bâcler cette pièce. De plus, « un directeur de troupe pressé par l’urgence n’aurait vraisemblablement pas pris le temps, non seulement de créer un personnage

toutes. En effet, on peut s’appuyer sur l’histoire de Dom Juan dans la pièce du même nom de Molière, où le personnage principal subit nombre de péripéties, puis meurt à la fin du livre. Ce sont des faits que le metteur en scène ne pourra pas modifier lors de la représentation, il s’agit en effet de la trame de l’histoire, de l’intrigue. Les événements globaux seront compris d’une manière unique, on peut ainsi s’appuyer sur la scène ou Dom Juan tente de « séduire » l’ermite : quelle que soit l’interprétation

Analyse de texte Dom Juan (Acte III, scène I, page 61-64) Contexte : « Dom Juan » est rédigé par Jean-Baptiste Poquelin, plus connu sous le nom de Molière. Un grand comédien du XVIIe siècle descendant d’une famille bourgeoise. Il est né en 1622 et mort en 1673 d’une maladie brutale. Il se consacre au théâtre dès l’âge de 21 ans en fondant la troupe « l’illustre théâtre » avec Madeleine et Joseph Béjart. Après la faillite de la troupe, il parcourt la France avec ses premières pièces pendant

indiscrets, comédie (Com.-Fr.). L’École des mères, comédie (Com.-Ital.). 1733 L’Heureux Stratagème, comédie (Com.-Ital.). 1734 Le Cabinet du philosophe, journal. Le Paysan parvenu, roman. La publication s’achèvera l’année suivante. Le Petit-Maître corrigé, comédie (Com.-Fr.). 1735 La Mère confidente, comédie (Com.-Ital.). 1736 Publication, désavouée par Marivaux, du Télémaque travesti (parodie, rédigée en 1717). Le Legs, comédie (Com.-Fr.). 1737 Les Fausses Confidences, comédie

Acte 3 scènes 1 Dom Juan Sg superstitieux, DJ athée (sans dieu), cet extrait porte sur la religion. I/La foi du Sganarelle 1) Une foi naïve (croie en tout ce qu’il dit) caractériser par : A) L’enthousiasme :- !? , accumulation l°94/98 , il mine ce qu’il dit « levez les mains » =ds le film , ch lex du merveilleux l°100 B)l’irrationnel l°84/91 il critique 2)L’argument des causes finales -idée de la perfection de la nature qui prouve l’existence d’un créateur l°94/96 -refus d’une existence

Molière Dom Juan, Acte I Scène 3 Introduction : Molière écrit cette pièce de théâtre pour répondre à l’Eglise. La scène étudiée (scène 3, Acte I) est située dans l’acte d’exposition. Après son entrée en scène, on aperçoit Don Juan face à Elvire (une femme abandonnée). De plus, à travers cette scène, Molière arrive à introduire une part importante de comique par l’intermédiaire du valet Sganarelle. I - Une héroïne tragique et pathétique A. La situation - Elvire est

Que ce soit dans Dom juan, dans l'ile des esclaves ou dans Le mariage de Figaro, on retrouve dans chaque extrait le registre comique. Tout en dénonçant les défauts de leurs maître, Sganarelle, Arlequin et Figaro suscitent le rire. Les rapports entre le maître et son valet sont à l'origine d'une force comique. Sganarelle dénonce indirectement l'attitude de Dom Juan : "ce n'est pas à vous que je parle, c'est à l'autre". Les métaphores dépéciatives : "petit ver de terre", "petit mirmidon" et les

Vers la fin de l'année 1664, Molière décide d'écrire Dom Juan alors que sa pièce, le Tartuffle vient d'être censurée. Il reprend dans cette pièce un mythe qui parcourt toute l'Europe, même encore de nos jours, et qui est bien connu du public à cette époque. A la fin de l'acte IV, Dom Juan lance un défi à la Statue du Commandeur d'aller souper avec lui. Depuis ce rendez-vous, il fait figure d'un condamné, où les forces d'en haut ainsi que les personnages le mettent en garde sur ce qui risque de lui

SYNTHESE DOM JUAN CONTEXTE D’ECRITURE DE L’OEUVRE : Contexte religieux : A l’opposé des libertins se trouvent des chrétiens sincères. Parmi eux, deux conceptions de la religion s’affrontent. Certains concilient foi et vie mondaine, d’autres estiment qu’il faut se tenir à l’écart des mondanités, considérées comme des péchés. En découle une moralité rigide fondée sur l’austérité et le respect des valeurs traditionnelles ainsi que la condamnation d’activités comme la danse, le jeu, les

lendemain de sa nuit de noce pour aller séduire d’autres victimes. Dom Juan ne serait donc qu’un coureur de jupons.
Mais n’est-il vraiment que cela ? Évidemment, l’intrigue se noue autour de l’abandon d’Elvire. Mais, durant la pièce, Dom Juan n’aura que peu l’occasion de prouver ses talents d’enjôleur. Ses seules proies sont deux paysannes, faciles à conquérir. Dans cette scène de séduction, une des rares qui soient réellement comique, Dom Juan est finalement ridiculisé, et sa réputation est mise à mal