Les Risques De L Intermédiation Bancaire

l’étroitesse des marchés locaux dans un contexte d’intégration régionale peu poussée et un environnement général des affaires hostile : lourdeurs administratives ; infrastructures déficientes ; manque de crédibilité de l’appareil judiciaire ; intermédiation financière insuffisante et des régimes fiscaux désincitatifs. De nombreuses entreprises restent petites et informelles, et ont recours à des technologies simples qui n’imposent pas l’utilisation intensive des infrastructures. Leur petite taille

2006, panique boursière : décrochage des titres financiers et perte de confiance dans le système financier + arrêt de spéculation et crise de liquidité) 2012 : Crises des dettes souveraines Baisse valeur de l’actif + stagnation valeur passif Risque de solvabilité Impact sur les entreprises (plus d’embauches, licenciements, baisse innovations, chômage, revenu et consommation) Système Financier : Ensemble des institutions mais également des règles et des pratiques qui permettent de mobiliser

financiers et des banques ? Chapitre 4 : le secteur financier public Chapitre 5 : les systèmes financiers en Europe et dans le monde Partie II : risque et rentabilité financière Chapitre 6 : le risque de défaut : incertitude sur la qualité des débiteurs Chapitre 7 : le risque d’illiquidité : incertitude sur le comportement des déposants Chapitre 8 : le risque de taux d’intérêt : incertitude sur l’évolution des taux d’intérêt Chapitre 9 : la rentabilité des établissements de crédit Partie I :

dans le contexte de la crise financière, examiner les opérations de ré-intermédiation d’actifs initialement détenus par les OPCVM. Contrôle sur pièces et sur place conduit du 20 mars au 13 juin 2008, la commission bancaire a établi un rapport de contrôle, le 23 octobre 2008, communiqué à la société SGAM qui a produit des observations. Les griefs observés par la commission : Le rôle actif de la filière de contrôle des risques du pôle GIMS dans les opérations de transfert de portefeuilles, ce qui

séance sont à connaître en vue de l’examen (sections 1 et 3 ci-dessous). Ce chapitre a pour objectif de pénétrer au cœur de la firme bancaire pour analyser et comprendre la logique de fonctionnement de celle-ci et la manière dont le résultat bancaire se forme. Schématiquement, nous avons vu dans le premier chapitre comment est structuré le bilan de la firme bancaire : « Produits » : Emplois illiquides (crédits) Titres acquis « Matière première » : Ressources liquides Titres émis

banques ? * Réduction de couts de transaction par la réalisation d’économies d’échelles (nombre important d’opération). Un cout de transaction est le temps et l’argent dépensé pour faire une transaction * Gestion et partage du risque : par concentration du risque et par une meilleure adaptation aux besoins des ménages (assurance vie) = activité de transformation * Expertise dans la possession et la gestion de l’information sur les emprunteurs, permet de surmonter l’asymétrie d’information

mise en œuvre a permis aux établissements non bancaires d’accéder directement aux marchés. Cela a réduit l’activité traditionnelle des banques qui assuraient l’intermédiation entre l’épargne des particuliers et les besoins de financement. Parallèlement, le risque bancaire a évolué. L’essor des marchés de capitaux et la multiplication des montages financiers sophistiqués ; sont les sources de la rentabilité bancaire et d’une aggravation rapide du risque assumé par les établissements de crédits. Dés

concentrer sur le financement ou l’aide des Etats pour le développement des PME africaines. Les systèmes financiers en Afrique comme ailleurs sont dominés par les banques ce qui ne permet pas aux PME une recherche de financement autre que les concours bancaires. Le financement des PME est donc un sujet d’actualité que ce soit en Afrique ou ailleurs .Dans cette optique, notre étude s'articulera autour de trois parties dont la première traitera du cadre conceptuel dans lequel évolue les PME tandis que la

2 circuits de financement : * Intermédiation bancaire * Marchés financiers * 3 sources de financement : * Marchés financiers * Recours au dépôt des établissements de crédit : les épargnants déposent des fonds que la banque pourra utiliser pour octroyer un prêt à un investisseur * Création monétaire : les banques peuvent accorder des crédits sans forcément avoir des réserves d’épargne * Economie où financement bancaire prédomine : économie d’endettement

économique dans la mesure où : Cela réduit la quantité de fonds disponibles pour l' investissement via la baisse des dépôts bancaires ; cela affecte la qualité de l' investissement par la modification de comportement des intermédiaires financiers. Comme le souligne Shaw (1973), "les plafonnements effectifs à la baisse des taux créditeurs réels intensifient l' aversion pour le risque et la préférence pour la liquidité des intermédiaires. Les banques accordent une place privilégiée dans leur portefeuille