Les Risques Liés Aux Immobilisations

placement …………………………………………………… I – Présentation de la norme …………………………………………………………………… II – Examen des problématiques de la norme …………………………………………………… III - Divergences de principe avec les normes marocaines ……………………………………… Section V : IAS 16, Les immobilisations corporelles ………………………………………………… I – L’approche par composants ………………………………………………………………… II – Les principaux points de divergence avec le CGNC ……………………………………… Section VI : IAS 17, Comptabilisation des contrats de location ……………………………………… I - Définition

valeur est plutôt basée sur son patrimoine que sur ses perspectives de croissance. 5 L’actif net comptable Calcul de l’actif net comptable Actif fictif Actif réel Capitaux propres Dettes et provisions pour risques et charges Actif net comptable = Actif réel - Dettes et provisions pour risques et charges Actif net comptable = Total actif – actif fictif - Dettes et provisions ……. Actif net comptable = Capitaux propres - Actif fictif 6 L’actif net comptable Quels sont les actifs fictifs ? 1. Les

normes comptables IFRS 3. Bilan consolidé de Maroc télécom selon les normes IFRS en 2008-2009 3.1. Périmètre de consolidation de 2009, 2008 et 2007 3.2. Analyse du bilan : Augmentation du goodwill en 2009 3.3. Analyse du bilan : Baisse des immobilisations incorporelles Conclusion Introduction La communication financière est devenue une fonction essentielle pour les entreprises. Sous la pression de divers acteurs ; les marchés financiers, l’état…, les entreprises sont engagées dans des

intermédiaire (la banque) qui va mettre en liaison deux parties : Les demandeurs de fonds qui ont un besoin de financement Les prêteurs de fonds (épargnants par exemple) qui confient leurs ressources au banquier 2 Les banques prennent les risques que les épargnants ne veulent pas prendre ainsi que l’assurance de la liquidité. Elles sont des emprunteurs/ prêteurs intermédiaires (ou indirects) qui font circuler les fonds des prêteurs ultimes vers les emprunteurs ultimes. LE BANQUIER : UN

régularisation et assimilés . . . . . . . . . . . 1.1.1.1.1 1.1.1.1.2 1.1.1.1.3 1.1.1.2 Analyse des postes du passif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonds propres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions pour risques et charges . . . . . . . . . . . . . . Dettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes de régularisation et assimilés . . . . . . . . . . . 1.1.1.2.1 1.1.1.2.2 1.1.1.2.3 1.1.1.2.4 1.1.2 Le compte de résultat et les

entre ce que rapportent le placement et le capital que l'entreprise a investi ; -      La  liquidité  de  placement,  c'est  l'aptitude  de  l'entreprise  à  récupérer ses  liquidités rapidement sans perte de capital ; -      La sécurité ou le risque de placement qui peut soit protéger, soit altérer le capital investi d'une perte éventuelle et donc faire en sorte que l'entreprise récupère au moins son capital investi ; -      La fiscalité du placement qui est aussi un critère important. On  

de résolutions Assemblée Générale Mixte du 22 avril 2011 169 170 175 2 Rapport de Gestion 2010 du Conseil d’Administration 2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5. 2.6. 2.7. 2.8. 2.9. Activité du Groupe en 2010 Rapport sur les comptes sociaux Facteurs de risques Organisation du Conseil d’Administration Rémunérations des mandataires sociaux Informations concernant le capital social Informations sociales et environnementales Annexe : Filiales et participations Annexe : Résultats financiers sur cinq ans 64

mettre en avant la relation croissance-rentabilité d’une entreprise. Le TPFF repose sur le principe suivant : l’excédent brut d’exploitation doit financer en priorité les investissements en besoin en fonds de roulement d’exploitation et en immobilisation corporelles. En fait, l’analyse fonctionnelle, issue de plan comptable, diffère de l’analyse par les flux, proposée par G.Murard ; cette dernière abandonne l’autofinancement comme notion centrale, flux composite qui mélange des éléments structurels

liquidités »[1]. A partir de cette définition, la notion de trésorerie peut s’entendre soit en termes de stocks (assurée par l’analyse statique par le bilan), soit en termes de flux (assurée par l’analyse dynamique par les flux). Les stocks et les flux sont liés par la relation suivante : Situation de trésorerie en début de période + encaissements pendant la période - décaissements pendant la période = situation de trésorerie en fin de période 1-1-1- L’analyse statique par le bilan : La trésorerie

facteurs de risques dans le monde des affaires poussent de plus en plus les chefs d’entreprises à s’intéresser à la maitrise des risques. Nous sommes rentrés dans une ère où les organisations sont amenées à gérer des risques de tout ordre. Ces risques peuvent se présenter sous plusieurs aspects et ce, en fonction du secteur d’activité, qu’il soit bancaire, industriel ou commercial. Nous pouvons citer entre autres, les risques opérationnels, les risques environnementaux, les risques déontologiques