Les Risques Simples Et Les Risques Aléatoires

gestion du bilan (de l'actif et du passif) d'une institution contre le risque des taux d'intérêt s'effectue dans un contexte déterministe ou dans un contexte aléatoire. La gestion dans un contexte déterministe suppose que les flux monétaires des engagements sont connus avec certitude et que les flux monétaires des avoirs sont indépendants du niveau général de l'économie. Dans un contexte d'incertitude, la gestion de l'effet du risque des taux d'intérêt sur les avoirs et les engagements d'une organisation

7 8 11 11 13 14 17 19 19 20 22 23 26 28 31 31 31 31 32 33 35 2 Modèle Binomial à une période 2.1 2.2 2.3 2.4 Modélisation probabiliste du marché . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Stratégie de Portefeuille simple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Probabilité risque neutre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Evaluation et couverture d’un produit dérivé . . . . . . . . . . . . . . . 3 Modèle binomial à n périodes 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 "Rappels" de probabilité

calls et des puts en t sont reliés par la relation de parité call put: Ct − Pt = St − KB(t, T ) En effet considérons les deux stratégies de portefeuille: en 0 Port. 1 Achat d’un Put européen en t Achat d’un actif risqué en t Valeur Achat d’un Call européen en t Achat de K actifs sans risque en t Valeur en t Pt St Pt + St Ct d KBt d Ct + KBt en T (K − ST )+ ST (K − ST )+ + ST (ST − K)+ K (ST − K)+ + K Port. 2 Remarquons que l’on a: (K − ST )+ + ST = K 1{ST ≤K} + ST 1{K≤ST } = (ST − K)+ + K 6

Analyse du risque d'exploitation 2ème partie Contrôle de gestion Analyse du risque d'exploitation 2ème partie 2 Table des matières Le risque d'exploitation selon une variable discontinue3 Principe.................................................................................................4 Le plus souvent ce sont les prévisions de quantités qui posent le plus de problèmes..........................................................................................................

AUTEUR : Christian HESS ÉDITEUR : ÉCONOMICA, PARIS DATE DE PARUTION : NOVEMBRE 2000 357 pages prix : 225 francs Sommaire Introduction Chapitre 1 : Définitions et mécanismes de base 1. Définition juridique succincte de l'assurance 2. Modélisation du risque et prime d'assurance 3. Quelques remarques sur le modèle 4. La probabilité de ruine de l'assureur 5. Réduction de la probabilité de ruine de l'assureur 6. Compléments sur la probabilité de ruine : quelques inégalités Enoncés et corrigés des exercices

……………………………….…………………….4 2.2. Choix d’un test statistique……………………………………………………………………….5 2.3. Choix de la région critique et règle de décision………………………………….6 2.4. Risques d’erreur, puissance et robustesse d’un test…..……………….…...7 2.4.1. Risque d’erreur de première espèce ou risque α……… ………...7 2.4.2. Risque d’erreur de deuxième espèce ou risque β……… ………..8 2.4.3. La puissance (1 - β) et robustesse d’un test………………………....8 3. Tests de conformité…………….……………….………………………..………….…10 3.1. Comparaison d’une

THÈME N° 2 LE RISQUE ET LA DÉTERMINATION DE LA GARANTIE : PRÉSENTATION : Le risque est l’évènement déterminé avec toutes les circonstances de sa survenance et toutes les conséquences possibles. Un évènement qui entraîne, s’il survient, l’obligation pour l’assureur d’exécuter sa promesse. Le risque intègre la sphère contractuelle pour être l’évènement aléatoire qui conditionne l’exécution de l’obligation de l’assureur. Pour être assuré, le risque doit être assurable. Par conséquent, l’évènement

LES DIFFERENTS RISQUE DE L ENTREPRISE ET DE L ENTREPRENEUR/ UNE CONGRUENCE? Un risque est un événement ou une action qui affecte la capacité de l entreprise a atteindre ses objectifs ou a assurer sa pérennité, ou encore c est un danger probable lié a l’action d’un décideur. Lors d’une activité au sein d’une entreprise , il y a différents risques ( stratégiques, opérationnels, humains, financiers, lié a la gouvernance, juridique, d’image , lié a l’homme clef…) Aux risques liés aux comportements

combinaisons de ces différents titres. Les portefeuilles sont formés par de telles combinaisons. Les rentabilité des différents titres, et par conséquent la rentabilité des portefeuilles, sont en général entachées d’aléa. L’étude des variables aléatoires relève des probabilités et des statistiques. Bien que l’utilisation de la statistique mathématique ait été délibérément réduite au minimum (au profit d’arguments plus intuitifs et au prix d’une perte apparente de généralité), un minimum de connaissances

. . . . . . . . . . . . . . 29 3.1.2 Choix en présence de risque : théorie de l’espérance d’utilité . 32 3.1.3 Critère de moyenne-variance et portefeuilles efficients . . . . . 34 3.1.4 Détermination de la frontière efficiente en absence de l’actif sans risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.5 37 Détermination de la frontière efficiente en présence de l’actif sans risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 Dérivation