Les Rêveries Du Promeneur Solitaire

parmi les hommes. Celle-ci a inspiré la déclaration des droits de l'homme et la Révolution. 1762 : Émile ou De l'éducation (récit) C'est un livre traitant de l'éducation 1763-1770: Les Confessions (deux parties, autobiographie) 1782 : Rêveries du promeneur solitaire (écrit autobiographique) posthume. 1789 : Rousseau juge de Jean-Jacques ou Dialogues (écrit autobiographique) posthume. IV ) La portée de ses œuvres : Dans ses œuvres, Rousseau s'attaque à l'irréligion des philosophes. Il est parfois

physiques, identifiées et chiffrables. Buffon illustre cette position avec Histoire naturelle. La seconde orientation, tente de concilier nature "mécanique" et celle d'une nature précise. Rousseau exalte ce sentiment de nature dans Les Rêveries du promeneur solitaire. D) La bonne sauvagerie Au XVIII e siècle, la mode est à l’exotisme, les récits de voyages passionnent. Le « bon sauvage » est le fruit de l’imaginaire de tous les grands lecteurs des récits de voyage. Par le biais de divers

chose un nouveau courant littéraire. Ses auteurs auraient bien voulu que cela mène à une révolution populaire, mais il durent se contenter d’un révolution littéraire .Quant à la France on a sous le rôle de Préromantique Rousseau avec Les rêveries du promeneur solitaire ou encore Les Confessions. Il a écrit des textes où il fait sentir à la fois le besoin de parler de soi mais aussi l’amour de la nature. Au XIX eme, Le romantisme est donc un courant littéraire qui prône à laisser l’expression des sentiments

(avec Diderot) Diderot : Jacques le fataliste, Fénélon (les Aventures de Télémaque) Marivaux : le Jeu de l’Amour et du Hasard, l’Île des Esclaves, la Vie de Marianne Montesquieu : l’Esprit des lois, Lettres Persanes Rousseau : Les Rêveries du promeneur solitaire Voltaire : Candide, Zadig Marivaux Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, appelé Marivaux, baptisé le 8 janvier 1688 et mort le 12 février 1763

devenant synonyme de pictural car « dans l'expérience romantique, la nature est perçue à travers le prisme de l'art (originellement, le roman)3. » C'est dans cette acception que le mot fait son entrée dans la langue française avec Les rêveries du promeneur solitaire de Jean-Jacques Rousseau où il donne le qualificatif de romantique aux rives sauvages du lac de Bienne. Coïncidant avec la mode du jardin anglais organisant la nature comme dans un tableau, il s'associe à la notion de pittoresque. À

concurrencer l'adjectif « romanesque », il ne prend son sens moderne que progressivement, par opposition à l'adjectif « classique » (c'est ainsi que l'emploient d'abord Goethe, Schlegel, Stendhal, etc.). En France, c'est Rousseau, dans les Rêveries du promeneur solitaire, qui, l'un des premiers, lui donne son sens actuel en l'utilisant pour qualifier le caractère pittoresque et sauvage d'un paysage. En Allemagne, le même adjectif est utilisé pour désigner la poésie médiévale et chevaleresque

émotions 1° La Chartreuse de Parme, Stendhal (1839) Comment Stendhal montre-t-il que ce paysage est en accord avec lasensibilité de la comtesse ?⟶ Monologue intérieur ⟶ Le paysage : - Support de rêverie et de médiation · Paysage d’état d’âme · Description très lyrique · Permet une réminiscence (la résurgence) du souvenir ⤷ rapport espace / temps · Personnification : engage un dialogue avec l’observateur⤷ Paysage parlant à la sensibilité de la comtesse⟶

la permanence d'un esprit visionnaire et protestataire. II. Les précurseurs Jean-Jacques Rousseau (XVIIIème siècle) ouvre le pré-Romantisme français. (Trois oeuvres - Julie ou la Nouvelle Héloise en 1761, Confessions en 1782 et Rêveries d'un promeneur solitaire en 1776/78 - mettent l'accent sur l'expression de soi et des sentiments, et sur la recherche de l'harmonie entre l'être et la nature qui l'environne. La mélancolie qu'il exprime revoie au thème romantique du "Mal du siècle"). Madame

Page 264 : DU CHÂTELET, Discours sur le bonheur , 1746 Page 265 : ROUSSEAU, Les Rêveries du promeneur solitaire , 1778 Page 266 : LE CLEZIO, L’Extase matérielle , 1967

l’honneur l’élément naturel qui va rapidement envahir tous les tableaux. Désormais la Nature est partout, c’est est elle qui prend le pas.L’homme n’est plus qu’un sujet secondaire, certes, chez un peintre en vogue comme le grand Fragonard, on aperçoit des promeneurs, des amants en quête d’isolement, mais ils sont minuscules, presque invisibles, perdus dans les orgies de frondaisons verdoyantes qui captivent toute l’attention.Comme Rousseau, en quête d’une raison d’être, l’homme du XVIIIème siècle cherche une