Les Sables Bitumineux

s’effectue immédiatement après le dernier passage du ou des engins de compactage ; – la 2ème phase s’effectue au plus tard en fin de journée. Elle consiste à appliquer une émulsion de bitume suivie d’un épandage de sable. Pour les empierrements, les sables stabilisés au ciment ainsi que les fondations des trottoirs et des éléments linéaires, cette protection peut être remplacée par le maintien humide de la surface pendant 72 heures. Dans le cas des bétons maigres poreux, ceux-ci doivent être protégés

de soufre (SO2), mais ceux-là peuvent être maîtrisés, notamment par la désulfuration des carburants, ou des suies. On estime cependant que si le pétrole est plus polluant que le gaz naturel, il le serait nettement moins que le charbon et les sables bitumineux. On voit sur cette courbe que les émissions de carbone fossile ont considérablement augmentées durant les 80 dernières années. Et on remarque que dans les années 2000, le total de ces émissions atteint la barre des 6,5 gigatonnes

GIEC sur les scénarios d'émission donne une large gamme de scénarios futurs pour les concentrations  en CO2, de 541 à 970 ppm en 2100. Les réserves fossiles seraient suffisantes pour atteindre ce niveau et  continuer les émissions ensuite si le charbon, les sables bitumineux et les hydrates de méthane étaient  largement consommés.  Des  phénomènes  secondaires  du  réchauffement,  comme  la  libération  de  70 000 millions  de  tonnes  de  méthane  après  la  fonte  du  permafrost  en  Sibérie  pourraient  contribuer 

Ontario . Il s’agit de 25% de la capacité de raffinage du Québec. Pour cette raison, il y avait plusieurs acheteurs potentiels. Selon Claude Rocheleau du syndicat des employés de Shell, « Shell a réinvesti les profits engrangés à Montréal dans les sables bitumineux en Alberta » . Il est surprenant que l’entreprise n’ait pas engagé ces profits dans la raffinerie afin que celle-ci ne souffre pas d’un manque d’investissements. Les médias et l’opinion publique Selon Jean-Martin Aussant, porte-parole de

technologique et environnemental de taille pour Total qui en fait une réalité. Pour ce faire, le groupe se positionnes sur 4 activités stratégiques : l’offshore profond, le gaz naturel liquéfié, les gaz non conventionnels et les huiles extra-lourdes & sables bitumineux. Gas & Power Total commercialise du gaz naturel liquéfié (GNL) en Corée du Sud. C’est un client important sur ce secteur pour le groupe. En 2011 un contrat de vente de GNL a été conclu avec Kogas, la compagnie nationale coréenne de gaz naturel

naturelle demanderait des millions d’années pour être achevée. Outre leur épuisement inéluctable, l’exploitation de ces combustibles est à l’origine de problèmes environnementaux relatifs aux dégâts écologiques liés à leur extraction (celle des sables bitumineux de l’Athabasca a été particulièrement médiatisée) et à leur utilisation (réchauffement climatique dont seraient en partie responsables les gaz à effet de serre tels que le dioxyde de carbone massivement émis par leur combustion). Impacts sanitaires

panneaux - hors crédit d'impôts -, mais aussi de toute leur consommation électrique pendant vingt ans. Le nouvel opérateur se rémunérera en revendant le surplus d'électricité produite. Explications. Lire l'article (11 juin 2007) 16- Les sables bitumineux de l'Alberta et le développement durable Voilà plusieurs années déjà que l'exploitation a commencé dans le nord de l'Alberta proche de la foret boréale. Les dégâts sur l'environnement sont déjà perceptibles et gigantesques. Le plus bel exemple

Level Buffalo Head Hills Peace River Fort Chipewyan WOOD B U F FA LO A L B E R TA Fort McKay Athabasca Fort McMurray Wabasca Grande Prairie sca S A S K ATC H E WA N Cold Lake Lloydminster ha At Edmonton Red Deer Calgary Sables bitumineux Pétrole Gaz Lethbridge ÉTATS-UNIS 0 250 500 km A force de cadeaux fiscaux, d’absence de régulation et de laxisme environnemental, les conservateurs au pouvoir en Alberta ont transformé, avec l’aide d’Ottawa, le nord de la province

des entreprises pétrolières. On a pu voir ceci il y a quelques jours lorsque l’UE a cédé face au lobby pétrolier par rapport à la demande de la commission européenne de créer un label pour les émissions de CO2 générées par l’exploitation des sables bitumineux. Ce sont les entreprises Shell, BP et Total qui ont mit la pression sur La Haye, Londres et Paris afin de faire refuser cette proposition. On peut parler de conflit d’intérêt du fait que le pouvoir politique est pour l’essentiel resté national

mais encore à un stade préliminaire, souligne une de ses porte-parole. La compagnie a déjà étudié la possibilité de faire construire une centrale au Canada, dans la province de l'Alberta, pour fournir l'énergie nécessaire à l'extraction des sables bitumineux de ses gisements dans la région de l'Athabasca en remplacement du gaz devenu très coûteux. Des études ont été récemment relancées par les autorités canadiennes. Total accumule les bénéfices […] et dispose des moyens de sa diversification.