Les Sentiments Des Poilus Dans Les Tranchées

stabilisent, la guerre s'enlise. Lers ocnditons de vie des soldats deviennent dee plus en plus rudes (les bombarbements interminables, le gaz, le risque d’infections et de maladies, les patrouilles dangereuses…) ils ne se lavent plus vivent dans les tranchées et ont du mal à survivre, Le nombre des pertes humaines de Première Guerre mondiale militaires et civiles s'élève à plus de 40 millions,la France, elle, a perdu 1 315 000 soldats soit 10 % de la population active masculine. Cela constitue un véritable

que les soldats étaient très motivés et ils voulaient gagner les plus rapidement possible, pourtant au cours de batailles plus de mutiles et de morts s’accumulèrent et les conditions dans les tranchées étaient très durs, il y avait un manque d’hygiène très clair, c’est pourquoi on appela les soldats les poilus. La motivation plus importante pour ces soldats c’est le support que ses familles lui offrent en travaillant dur et parmi les lettres qu’ils écrivent, on voit donc une tentation de l’arrière

les journaux des tranchées rédigés par les combattants eux-mêmes et à l’égard desquels la censure est plus légère. Près de 400 titres ont ainsi été publiés au cours de la période, souvent avec une durée de vie éphémère qui est celle de leurs rédacteurs. Rarement radicalement contestataires ces feuilles de diffusion restreinte témoignent d’une volonté de se réapproprier une parole qui échappe aux combattants et de tourner en dérision le bourrage de crâne. Un journal des tranchées survit durablement

manque de ses proches, doit faire face à la souffrance des combats et des conditions de vie dans les tranchées. Il fallut une force mentale importante à ces « poilus » pour tenir face à l’omniprésence de la mort : les cadavres mutilés pourrissant à proximité des lieux de vie du soldat, la perte des amis au combat, la peur perpétuelle de mourir… De même, la dureté de la vie quotidienne dans les tranchées accrut encore cette souffrance psychologique : la vie exposée aux intempéries (pluie, gel, chaleurs

de la Marne en septembre 1914 . C) Une guerre de position. (TP : la vie dans les tranchés) Aucune armée ne parvient à s'imposer, et, début 1915, les fronts se stabilisent. Les troupes s'enterrent dans des tranchées. La vie dans les tranchées est inhumaine Les soldats ("poilus") vivent dans la boue, l'humidité et le froid. La peur ne les quitte jamais. Les grandes offensives destinées à briser le front adverse sont très meurtrières (Verdun en 1916 fait 400000 morts en 6 mois) et se soldent

volontairement dans les troupes françaises où il est affecté dans l'artillerie, puis dans l'infanterie. Il fait la rencontre de Louise de Coligny-Châtillon, dite Lou avec qui il va vivre une passion autant brûlante qu’éphémère. Lorsqu’il est dans les tranchées, il lui écrira une correspondance.. Toutes les lettres, accompagnées de poèmes sont publiées en 1947 sous le titre : « Ombres de mon amour » puis sous le titre de « Poèmes à Lou ». Apollinaire est aussi à l’origine de nombreuses parutions dont deux

morts au combat. Un an plus tard, dans une carte, il déclara que ce n’était par une guerre mais « une boucherie ». C’était l’un des seuls poilus de la famille à écrire qu’il est autant déprimé de voir tous ces massacres alors que les autres ne parlaient que des lieux où ils s’étaient installés ou de ce qu’ils faisaient sans laisser paraître le moindre sentiment de déprime ou de tristesse. III)Conséquences « humaines » : Le bilan humain est lourd : plus de 8 millions de morts. La guerre a

 Pendant la première guerre mondiale, les soldats ont à leur disposition des armées  connues qui sont développées et des armées nouvelles : ­ Les mortiers (bouches à feu), les grenades à  main, le fsil, les lance­torpilles jouent un rôle  important. ­ Les tranchées, déjà très utilisées lors de la Guerre Civile américaine, deviennent le modèle  de la  1GM ­ Les gaz asphyxiants et les lance­flammes, pourtant interdits par la convention de La Haye en  1899  sont utilisés et redoutés (voir doc 3 p. 87) ­ Les ballons captifs

fait passer la durée du service militaire de 2 à 3 ans, Marcel Gromaire passera 7 années sous les drapeaux. Il se bat en Alsace puis à la Somme et se blesse en 1917. Il participe en 1917 aux mutineries et a la protestation des poilus par des dessins dans les journaux des tranchées comme dans le journal anarchiste Le Crapouillot fondé par Jean Galtire Boissière en 1915. -Marcel Gromaire appela la première guerre mondiale « l’ordure de la guerre ». Il est marqué par cette guerre et en sort renforcé dans

effet de profondeur et déloignement. Panneau central : Après la bataille, la journée. Le pont est brisé empêchant tout acte de fuite. On peut voir des ruines, des maisons détruites et des paysages dévasté par les bombardements. Au premier plan, la tranchée est représentée dans toute son horreur : corps déchiquetés,c’est l’enfer. Au-dessus de cet amas de cadavre et de corps, flotte un squelette. A gauche de la scène, l’unique survivant assiste à la scène dissimulé sous un masque à gaz. Panneau de