Les Souhaits La Fontaine

 Commentaire Les animaux malades de la peste   Voir la poésie La Fontaine commence à publier ses fables en 1668. Ces fables visent à donner sous une forme légère et ludique un enseignement moral. Pour cela, il va partir d'une histoire grâce à laquelle il vas illustrer une morale. Nous allons étudier une fable appelée « Les animaux malades de la peste » écrit en 1678. Ici, le récit présente des animaux qui tiennent conseil et qui cherchent à déterminer lequel d'entre eux est le plus coupable

1902. II. Résumé de l’œuvre Acte I Le prince Golaud, fils de Geneviève (Fille du roi Arkël gouvernant le royaume d’Allemonde), quitte le château et s’enfonce dans la forêt. Là, il y fait la rencontre d’une jeune fille pleurant près d’une fontaine. Il lui demande qui elle est, d’où elle vient et quelle est la personne qui lui a fait du mal. La jeune fille prénommée Mélisande est apeurée et assez réticente à l’idée de lui répondre clairement. Toutefois, Golaud aperçoit une couronne au fond

vifs, et des ressorts comiques. Dans ces courts récits, des situations plutôt courantes sont mises en valeurs afin d’en extraire des idées et des enseignements que l’auteur insère dans ces récits. C’est grâce au très célèbre fabuliste Jean de la Fontaine, que la fable a occupé, occupe toujours, et occupera une place si importante dans l’apprentissage du français. Dans le dictionnaire Petit Robert, on peut lire la définition suivante : « Apologue : petite fable visant à illustrer une leçon de moral

mange, on nous gruge,  On nous mine par des longueurs;  On fait tant, à la fin, que l'huître est pour le juge,  Les écailles pour les plaideurs.  Cette fable est la vingt-et-unième du premier livre appartenant au premier recueil de La Fontaine .Elle est parue en même temps que le recueil c'est à dire en 1668 .L'histoire raconte que des Abeilles et des Bourdons, en désaccord sur la propriété de miel, consultèrent une Guêpe. Celle-ci les départagea en leur demandant de produire du miel

 ayant chanté / Tout l'été » => répétition du son [té], comme une chanson.  La Cigale rêve d'un art où elle pourrait ignorer la réalité du monde. Pourtant, cette réalité se  rappelle à elle par un besoin fondamental : se nourrir (« crier famine »).  La Cigale souhaite l'aide de la fourmi, comme un artiste a recours à un mécène pour vivre  (mécène = Personne qui aide financièrement, par goût des arts, un artiste) => Position  d’infériorité.  Mais cette insouciance peut mener la Cigale à sa perte :   ­ « fort dépourvue » ­> mis en valeur car à la rime

Remarquons les adjectifs possessifs " ta justice, tes lois " qui montrent la ruse du serpent qui entre dans cette parodie de justice engagée par l’homme pour mieux établir son innocence et sauver sa vie. L’appel à témoins qui va suivre permettra à La Fontaine de dénoncer l’arbitraire de la justice rendue par l’homme. Une seule et même thèse est défendue par la vache, le bœuf et l’arbre. Tous trois donnent raison au serpent qui affirmait : " Que le symbole des ingrats/Ce n’est point le Serpent

J'aime beaucoup cette fable dynamique car elle dénonce bien les oppositions entre la liberté et la servitude. La Fontaine dénonce les mœurs de son temps et l'attitude du roi. A l'époque de J. de la Fontaine, le royaume était régné par Louis XIV qui régné de manière totalitaire. On peut comparé le chien (fort, beau, gras, poil luisant) aux sujets direct de Louis XIV c'est à dire les ducs, seigneurs et princes qui étaient riche avec des grandes maisons voir palais mais qui devaient soumettre au roi

Le texte de la fontaine permet de mettre au jour les caractéristiques majeures de l'aologue, qui vont déterminer le rôle du lecteur et sa manière de lire ces récits: _la légèreté de l'apologue va de pair avec la recherche d'un "pouvoir" argumentatif. La fontaine, auteur classique, reprend bien entendu à son compte l'idéal du miscere utile dulci formulé par la poète latin Horace. Il s'agit de "mêler l'utile au doux", c'est à dire l'attrait d'une histoire anecdotique et narée avec légèreté à une efficacité

LA La Cigale et la Fourmi Lecture analytique de La Cigale et la Fourmi Introduction : Cette fable est la première du livre I des Fables de Jean de La Fontaine, écrivain classique du 17ème siècle, né en 1621 à Château-Thierry et mort à Paris en 1695. La Fontaine appartient au courant littéraire du classicisme comme Boileau, Molière, Racine, Perrault. Dans la Querelle des Anciens et des Modernes, il se range du côté des Anciens, défendant ainsi l’Antiquité et ses auteurs qu’il admirait. D’ailleurs

 JEAN DE LA FONTAINE -né en 1621 dans une famille bourgeoise cultivée et aisée -entrée à l’Oratoire en 1641, commence à écrire puis quitte l’Oratoire et fait des études de droit à Paris -marié à Marie Héricart en 1647 -en 1657, rencontre avec Nicolas Fouquet, surintendant des Finances, qui sera son mécène -en 1661, Fouquet est disgracié et emprisonné par Louis XIV, La Fontaine est poursuivi pour disgrâce royal par sa fidélité à Fouquet, donc s’éloigne de la capitale et va dans le Limousin