Les Souhaits ridicules

devant le roi et la cour. C’est la dixième œuvre de l’auteur. Cette comédie fait la satire des bourgeois et plus précisément des bourgeois minaudiers, c’est-à-dire les riches gens qui ne possèdent pas de titre de noblesse depuis la naissance et qui souhaite par-dessus tout l’être. La pièce

de son public.Le rire du public est provoqué par une exagération des traits de caractères débauchés des personnages. Au travers de ses personnages déficients, Molière raisonne sur leurs défauts par le biais de l’exposition de ce défaut de manière ridicule. En effet, le rire chez Molière ne repose pas sur l’expulsion d’un ennemi mais sur

I / Registre comique : Balance entre le conte et le ridicule. a - Des archétypes parodiés b - Amour ridicule . Ogre et fée : Un couple improbable c - Une ambiance comique dans un conte féérique. II / Une fable fantaisiste : *la morale a - Omniprésence de Victor Hugo. b - La morale fantaisiste. c - Un enseignement moderne : un mode d'emploi pour amoureux ? I / Registre comique : Balance entre le conte et le ridicule. a - Des archétypes parodiés On remarque dès

juridique et à la succession de son père : il préfère le théâtre. En 1643, il fonde l’Illustre Théâtre avec Madeleine Béjart mais ils n’ont pas de succès. Ils quittent Paris et sillonnent la France. De retour à Paris, c’est le triomphe des Précieuses Ridicules en 1659 qui consacre le génie de Molière (auteur, metteur en scène…). En 1662, première représentation de L’Ecole des Femmes, qui inaugure le cycle des Grandes Comédies de Molière, mais qui suscite aussi des réactions hostiles qui vont se multiplier

la même personne. → Pour lui, la fidélité n'est pas morale : « La belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur d'être fidèle » , « la constance n'est bonne que pour les ridicules ». → Don Juan dénigre la fidélité et la méprise : il utilise pour la qualifier des termes péjoratifs ; " la constance " , " ridicules " , " faux honneur ". Pour lui le plaisir est dans la conquete, il montre son gout pour la nouveauté: " l'amour est dans le changement " , et son gout pour la résistance. →

• Chœur de médecins qui chante et ballet d’apothicaires( désacralisation • Didascalie « cérémonie burlesque » désacralisation de la cérémonie • « Huit porte-seringues »( métiers ridicules. « Six apothicaires, douze docteurs »( le nombre de personnes présentes sur la scène est démesuré( ridicule. • Le mortier sert d’instrument de musique (Le burlesque tient en la désacralisation de la médecine, les chirurgiens qui chantent et l’emploi du latin macaronique. 2) Prétention

: On ne badine pas avec l'amour est un drame romantique, écrit par Alfred de Musset en 1834.Le romantisme est un courant qui émerge au XIXeme siècle et qui souhaite rompre avec les valeurs littéraires antérieures. Cette pièce met en scène deux personnages principaux, Perdican et Camille, réuni dans le château d'un parent commun, qui souhaite les marier, le baron. Ces deux protagonistes se prêtent au jeu de l'amour jusqu'à commettre un meurtre. Cette pièce propose une réflexion sur la complexité de

comparatifs ou superlatifs « j’aime mieux mourir que leur donner bataille » v.9 « je suis des plus légers » v.12 à travers lesquels Matamore cherche à exposer sa bravoure mais il ne réussit qu’à se ridiculiser et montrer son manque de courage : il souhaite mourir au lieu de se ridiculiser en se battant et opte finalement pour la fuite mais tente tout de même de faire passer ces actes lâches pour de la bravoure. Par ailleurs, l’exagération apparaît aussi dans la façon dont il amplifie le danger qu’il

condamnation à mort. => le lecteur parvient à s'identifier à cet homme car le lecteur découvre les souffrances morales et physiques ainsi que les conditions de vie abominables des prisonniers. Il souhaite ressentir les émotions que tout homme éprouverait avant sa propre mort. b. Le lecteur souhaite s'identifier à un idéal et vivre de nouvelles expériences avec un personnage principal hors du commun voire extraordinaire. Ex : Zadig écrit par Voltaire en 1747. Ce roman met en valeur Zadig qui

mort » → Dom Juan évoque la mort pour qualifier l'acte de fidélité qui conduit à l'ennuie et à la mélancolie. Le fait d'être enfermé dans un quotidiens lassant et rythmé de gestes coutumiers. Outils 2 : termes péjoratifs « faux honneur » « des ridicules » → Dom Juan critique les hommes fidèles qu'ils trouvent hypocrites, et stupides. Il démontre que ces hommes ne cherchent qu'à prouver qu'ils sont honnêtes et bon, tandis que l'acte même de fidélité et repousser au second plan comme un alibi pour