Les Souhaits ridicules

caractère oratoire des phrases : suite d’impératifs (l.23-24-30 etc.), de subjonctifs de souhait l.27 « que tu entres dans mon corps », répétition du mot soleil (4 x en doublet), du vb « voir » l.29 = prière = essai de conjurer la mort. 2) une résistance grotesque Certains aspects lui ôtent tte dignité. • Paraît alors lâche et bouffon « pauvre cerveau » l.43 (médecin) + réplique de Marguerite l.44. • Souhaits d’un égoïsme monstrueux « dessèche et tue le monde entier » l.31, « que tous meurent

inconsciemment que l’habit fait le moine. Justement il n’a pas compris que la noblesse ne consiste pas dans un déguisement, mais dans l’élégance naturelle des gestes, de l’attitude et du propos . Il paraît donc aux yeux du spectateur et du lecteur ridicule ! Il souhaite se montrer comme un homme étant distingué, mais son langage laisse à desirer. Son apparence physique incarne elle aussi le comique du caractère. On est en pleine moquerie et ironie tout au long de la pièce. 2. Par quels personnages Mr

allons faire ensemble, surtout toi car tu devras travailler le maximum, mais en prenant le temps qu'il te faudra. Chaque semaine, je t'enverrai par e mail des questions que tu devras y répondre évidement. Tu peux écrire plusieurs pages si tu le souhaites, cela ne fera que nous aider pour aller de l'avant. Je te demanderai en plus de répondre aux questions, de m'écrire en quelques lignes comment c'est passé ta journée, sans rentrer dans les détails, à part si tu en as envie :), mais si tu as le

la peinture de leurs défauts. C’est une grande atteinte aux vices que de les exposer à la risée de tout le monde. On souffre aisément des répréhensions ; mais on ne souffre point la raillerie. On veut bien être méchant, mais on ne veut point être ridicule. [..] On connaîtra sans doute que, n'étant autre chose qu'un poème ingénieux, qui, par des leçons agréables, reprend les défauts des hommes, on ne saurait la censurer sans injustice; et, si nous voulons ouir là-dessus le témoignage de l'antiquité

politesse : « s'il est permis » l.3 + « d'oser te demander » l.4 → Montre l'humilité (=modestie) de celui qui prie et la soumission de l'homme devant Dieu. ═˃ Invocation solennelle. - Dans la 2ème phrase on passe de la simple prière à Dieu, aux souhaits pour les hommes et surtout, adressée aux hommes → Il s'agit d'une prière détournée ! ═˃ « nous » l.8 + « ceux » l.17 + « hommes » l.16. * La phrase, lignes 8, 9 écarte la responsabilité de Dieu pour mettre en avant celle des hommes, d'où la prétérition

de vouloir se piquer d'un faux honneur d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ! Non, non : la constance n'est bonne que pour des ridicules ; toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs. Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède

différent but selon le souhait du poète. Nous pouvons donc nous demander si la poésie nous rapproche ou nous éloigne du réel. Dans un premier temps nous allons voir que la poésie nous rapproche du réel, puis dans un second temps nous verrons qu'elle nous en éloigne. La poésie cherche à un rapprocher du réel quand elle devient une poésie engagée lorsque le poète veut transmettre un message explicité à son lecteur Tout d'abord, la poésie nous rapproche du réel quand le poète souhaite faire réagir le

abordés : -Satire des medecins. Les medecins sont montrés comme profiteur ayant des connaissance sur la medecine et les maladies (leur sience est purement verbale) mais ne savant absolument pas comment les soigner. Les medecins sont tournés en ridicules puisqu’a la fin de la piece on dit a argan de se faire medecin et qu’il lui suffit de porter un chapeaux le barbe et une robe pour devenir érudit. -Rire de la mort. La mort est très présente dans cette pièce puisqu’Argan a peur de mourir, les

des femmes, une comédie écrite en 1662 qui fut un très grand succès mais aussi l’objet d’une très grande polémique par rapport aux thèmes abordé dans l’œuvre telle que le cocuage. Cette pièce de théâtre narre l’histoire d’Arnolphe qui souhaite épouser une femme ignorante et sotte car c’est le seul moyen selon lui d’éviter le cocuage. C’est tout naturellement qu’il fait éléver une jeune fille, Agnés, qu’il a maintenue dans un état d’ignorance le plus totale possible par ses servants afin

et non pas un constat, contrairement à ce que les trois autres textes proposent. Castiglione commence donc le premier et le dernier paragraphe de l’extrait par l’expression « je veux», renforcée par la présence du subjonctif présent à valeur de souhait, à l’exemple du début du deuxième paragraphe, « qu’il pratique les poètes… ». La vision idéale du courtisan par Castiglione est fondée sur des valeurs humanistes. L’auteur place en effet au centre de sa pensée la formation du courtisan qui doit