Les Souhaits ridicules

soins on emploierait Pour la rendre idiote autant qu'il se pourrait. Dieu merci, le succès a suivi mon attente ; Et, grande, je l'ai vue à tel point innocente, Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait, Pour me faire une femme au gré de mon souhait". Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace

ont révérée ? BÉRALDE.- Bien loin de la tenir véritable, je la trouve entre nous, une des plus grandes folies qui soit parmi les hommes ; et à regarder les choses en philosophe, je ne vois point de plus plaisante momerie ; je ne vois rien de plus ridicule, qu’un homme qui se veut mêler d’en guérir un autre. ARGAN.- Pourquoi ne voulez-vous pas, mon frère, qu’un homme en puisse guérir un autre ? BÉRALDE.- Par la raison, mon frère, que les ressorts de notre machine sont des mystères jusques ici, où

""Plaignez la laideur.." à changer d'opinion sur l'araignée et l'ortie qui sont tout deux connotées péjorativement. Par conséquent cette œuvre est romantique parce que Hugo incite le lecteur à aimer ("..rien n'exauce et ...tout châtie/Leur morne souhait.../La vilaine bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour !"). Texte B: * Charles Baudelaire frappe d'emblée l'imagination du lecteur par une opposition forte : « un été si doux » / « une charogne infâme ». La chose doit être surprenante

existe sans doute des actes qu’on ne peut jamais être contraint d’accomplir, et auxquels nous devons préférer subir la mort la plus épouvantable : car les motifs qui ont contraint par exemple l’Alcméon d’Euripide à tuer sa mère apparaissent bien ridicules. Et s’il est difficile parfois de discerner, dans une action donnée, quel parti nous devons adopter et à quel prix ou quel mal nous devons endurer en échange de quel avantage, il est encore plus difficile de persister dans ce que nous avons décidé

lui cachant quelque chose. Lui étant persuadé d'une scène d'adultère entre les deux, sera finalement calmé en apprenant que Horace à pris seulement le ruban à Agnès... Pour finir, le comique de caractère employé par Arnolphe le rendant complètement ridicule sans qu'il ne s'en rende compte. Arnolphe, collectionnant les défauts, persiste à croire qu'il est quelqu'un d'important en se faisant appeler : "Mr De La Souche", mais n'est finalement rien d'autre qu'une personne à part entière...

tente d’amuser le lecteur, puisque son œuvre reste avant tout une comédie, et pour cela, il s’appuie sur de nombreux types de comiques et de procédés.On trouve par exemple du comique de situation, qui contribue la plupart du temps à donner un aspect ridicule et divertissant à la scène, et amène ainsi le lecteur au rire.Dans l’acte III, scène V, on assiste à un quiproquo, puisque Thomas Diafoirus, le jeune médecin, pense faire une déclaration à Béline, la belle-mère, alors qu’il s’adresse en fait à Angélique

très précise et distinguée. Il semble être le maitre de cérémonie : l’illusionniste (cf : le film du même nom). On peut donc dire que ce personnage pourrait être Alcandre car c’est le seul a connaître l’illusion et à pouvoir manipuler comme il le souhaite le père de Clindor. Il montre que ce qu’il lui plait. Par exemple, la première didascalie nous dit clairement que les vêtements que le sorcier montre sont des costumes de comédiens, or, Pridamant va l’ignorer jusqu'à la dernière scène où Alcandre

des inventions humaines qui ne sont en fait qu’un ensemble de superstitions « l’imagination à peine à s’en représenter d’autres » (Lettre 125). Les religions véhiculent l’intolérance et le fanatisme car dans la lettre 57 le casuiste est tourné en ridicule. L’intolérance est incarnée par la révocation de l’Edit de Nantes par Louis XIV «  tous les arméniens de perse de quitter le royaume » (lettre 85) il plaide aussi dans cette lettre en faveur du pluralisme religieux utile à la bonne marche de l’Etat

veut toujours plus, notamment dans le plaisir de la nourriture. Francion avoue tout de même que ce qu'il fait n'est pas de l'ordre de la vertue car il désigne le fait de peu manger par les termes « bonnes grâces » lignes 49 et 50, et dit qu'il ne souhaite pas appliquer cela « je ne pouvais entrer en ses bonnes grâces » lignes 49 et 50. Par la suite, Francion explique que son surveillant s'adressait à lui lorsqu'il faisait son discours sur « l'abstinence » ligne 50 ; Francion représente donc celui

la perruque du pseudo prince). Le Prince de Mantoue est lui aussi un personnage comique de par son rôle ridicule qu’il endosse, en effet il a une manière très orgueilleuse de parler. De plus son travestissement en valet ne lui fait pas perdre son autorité, il exige que tout soit fait quand il le veut, mais il en oublie sa nouvelle classe sociale, il devient meme un personnage grotesque et ridicule, ce qui fait rire le spectateur.Ainsi Alfred de Musset dresse le portait de personnages comiques en leurs