Les Sources Du Droit Musulman

« On peut avoir une lecture de la religion, selon les exigences du féminisme. Pour certaines, on peut être féministe musulmane. Les féministes de la Méditerranée ont toujours interrogé la religion. Celles qui sont islamistes défendent l'idéologie, mais c'est la religion qui a préséance. Le féminisme islamique n'existe pas dans les pays arabes, c'est une pensée occidentale. » Wassyla Tamzali est de passage au Québec. L'avocate, essayiste et féministe algérienne réfléchit sur le pouvoir du féminisme

Est-ce difficile ? Surement ! Mais non infaisable. Mais que veut dire le mot ‘cohabitation’ ? On sait très bien, en France, lorsqu’un gouvernement socialiste doit cohabiter avec un président de droite ou vice versa ou lorsqu’un président socialiste comme Mitterrand doit cohabiter avec un gouvernement de droite, c’est très difficile. A l’instar du grand leader français le général De Gaulle qui disait : ‘’ Je me suis toujours fait une certaine idée de la France’’ ; moi aussi je me suis faite une certaine

sur cette église aucun signe chrétien : pas de croix, pas de clocher, on pourrait presque penser qu’il s’agit d’un bâtiment administratif. Pourquoi une telle sobriété ? Les autorités répondent que c’est simplement pour ne pas « provoquer » les musulmans. Mais quelle provocation peut signifier une croix, quand sa présence est justifiée ? Une église est un lieu de culte, dont la fonction principale est de donner un espace pour prier aux catholiques, la croix n’est qu’un symbole qui peut signifier

propos du concept des « droits de l’homme »1. Les leçons de cette expérience interrogent d’autres pays à travers le monde, en particulier la France, comme on va le voir. Nous prolongeons donc ici, intellectuellement, les très anciennes relations entre la France et l’Iran. 2 Une rencontre internationale a eu lieu du 18 au 20 octobre 2003 à l’Université Shahid Beheshti de Téhéran, sous la présidence du professeur Ardeshir Amir-Arjomand, titulaire de la Chaire UNESCO des Droits de l’homme, de la paix

croire à la sincérité des islamistes d’Ennahda, qui jurent depuis un an ne pas vouloir instaurer la Charia'h, alors que Ghannouchi écrit, que la Charia'h est la « source principale de toute législation », que le rôle d’un chef d’Etat est d’accomplir la religion, d’éduquer l’Oumma selon l’islam et que le souverain doit être impérativement musulman ?". Durant sa campagne, Ennhada ont dit qu’ils n’appliqueraient pas la Charia en Tunisie car cela n’aurait aucun effet décisif. Cependant, il revendique les idées

Le Calife Uthman ibn Affan. Le Calife Uthman ibn Affan. Préambule : - les sources historiques consultées Introduction : - la justice sociale du Prophète - la conformité des deux premiers califes de l’islam au modèle Prophétique - le cas Qurayshite - Uthman avant son califat 1. L’élection d’Uthman ibn Affan 2. Le cas Ubayd Allah ibn Umar 3. La concentration des richesses 4. Retour

LA CIVILISATION ARABO MUSULMANE REMARQUES : J’ai développé les différentes parties afin que vous ayez une question complète. Vous deviez aborder ces différents points, mais de façon moins dense. Un point commun : personne ou quasiment n’a défini l’expression : « arabo musulmane » (voir plus loin dans l’introduction). Bien entendu, la religion islamique doit être présentée : mais, il faut notamment en retenir les aspects qui ont modelé une civilisation particulière, que ce soit au niveau de

sur les sociétés (IS) en 1988 et de l’Impôt Général sur le Revenu (IGR) en 1990, en remplacement des différents impôts cédulaires et de la contribution complémentaire. Cette réforme a été suivie par une phase de baisse des taux, le renforcement des droits des contribuables et la promulgation de la charte de l’investissement. Parallèlement, la réforme tarifaire a été initiée afin de simplifier et d’aménager les quotités tarifaires a niveau douanier. La configuration du système fiscal en vigueur présente

jilali bouabid Master : Sociologie Politique et Dynamique Social Semestre :2 Les réformiste de la Nahda ou Les révolutionnaires du réformisme musulman de la Nahda plan Introduction: * Critique du despotisme Le courant salafiste-réformiste de la Nahda (Renaissance) * d’Abderrahman Al Kawâkibî(1849-1903) * Mohamed Abdou (1849-1905) * Rachid Rédha (1865-1935). conclusion Bibliographie Introduction Critique du despotisme

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