Les Subsistances

confédération et la rend inefficace. B- l’inconvénient de la stricte égalité au sein de la confédération. Le problème majeur que pose la confédération et qui la paralyse à tous les niveaux est celui de la subsistance de la souveraineté cette subsistance fait régner à son tour une stricte égalité entre ces derniers. De prime abord, au sein du conseil fédéral, chargé d’agir au nom de la confédération, les décisions sont prises selon la règle fondamentale de l’unanimité qui confère

d’utiliser et d’affecter les ressources limitées en vue d’obtenir la plus grande satisfaction des besoins des individus et des institutions a donné naissance à l’économie politique en tant que science. L’équilibre entre moyens de subsistance et volume de la population divise les penseurs depuis PLATON (427 – 348 av. J.C.) dont la « République » ne devait compter ni trop peu, ni trop d’individus jusqu’à Karl MARX (1818 – 1883) pour qui, le capitalisme accumulateur des richesses est

néolithique ou « Age de la pierre récente » qui débute en -8 000 et se termine au cours du Ier millénaire avant J. C. Cette leçon permet d’aborder dans un premier temps les origines et l’évolution de l’homme et la civilisation (activités de subsistance, outils, mode de vie, organisation sociale, découvertes, habitat, croyances, arts, ...) au paléolithique .Dans un deuxième temps on pourra voir les transformations radicales (naissance de l’agriculture, de l’élevage, sédentarisation, nouveaux outils

changement car les graisses animales sont moins onéreuses que le cacao pur souche. Ce changement peut sembler insignifiant, pas si sûr car si le consommateur occidental perd un peu le goût si prononcé du pur cacao, l’africain de l’ouest, lui, perd sa subsistance car sa production de cacao n’a plus d’acheteur. Pour la Côte d’Ivoire, cela se chiffre à 297 millions d’euros. (ii) Lorsque les lobbyings réapparaissent : l’exemple du coton américain Une règle de la mondialisation est la libéralisation

La propriété privée a le double aspect individuel et social selon qu’elle sert l’intérêt particulier ou regarde le bien commun. Tout homme y a droit, et ce droit lui vient de la nature et donc du Créateur, afin que chacun puisse pourvoir à sa subsistance et à celle des siens. Mais il est un double écueil contre lequel il importe de se garder soigneusement : l’individualisme et le collectivisme. Le premier est la négation ou l’atténuation à l’excès de l’aspect social et public du droit de la propriété

permet à l’homme d’acquérir les moyens de sa survie. Contrairement aux animaux, il ne peut subvenir à ses besoins sans cela. Aussi, l’être humain doit-il vendre sa force de travail en échange d’un salaire qui lui permet d’acquérir ses moyens de subsistance. En travaillant, il perd néanmoins sa liberté car il est contraint de se soumettre à des règles: se rendre dans un lieu imposé -bureau ou usine-, respecter des horaires fixes, se plier à des hiérarchies et accepter des ordres. Pour obtenir les moyens

descendre les échelons. * Plus value : Différence entre la valeur de biens produit par cette force de travail et salaire de subsistance. * Force de travail : Le salaire de la force de travail dépend du prix des biens et services nécessaire pour assurer la survie de l’ouvrier, de sa famille et sa reproduction. C’est ce qui va s’appeler le salaire de subsistance, celui qui va être versé au propriétaire par la bourgeoisie. * Holisme méthodologique : Manière de comprendre les phénomènes

sociaux : la Préhistoire concernerait les populations dont la subsistance est assurée par la prédation au sens ethnologique4. Ces groupes de chasseurs-cueilleurs, pêcheurs, collecteurs exploitent des ressources naturelles disponibles sans les maîtriser. La Préhistoire stricto sensu comprendrait donc le Paléolithique, l’Épipaléolithique et le Mésolithique. la Protohistoire concernerait les populations dont la subsistance est assurée par la production5. Ces groupes d’éleveurs et d’agriculteurs

travail se mesure, comme toute marchandise, par la quantité de travail nécessaire à sa production (le temps nécessaire pour produire les subsistances nécessaires à la reproduction de la force de travail). La rémunération du travail est définie comme une norme sociale et non naturelle. Mais, en raison du chômage, elle oscille socialement autour du salaire de subsistance ; le salaire payé aux travailleurs correspond à la valeur de leur force de travail. Marx démontre ensuite qu’il existe une plus-value

salaire de subsistance est le salaire en dessous duquel on ne peut pas descendre, dans certaines circonstances les salaires peut s’élever au dessus du salirai de subsistance 3ème critère : les mécanismes démographiques qui va jouer un rôle dans les salaires (si population nombreuse  baisse salaire, si pop faible  manque de main d’œuvre  augmentation des salaires). Au final SMITH constate que au long terme le salaire versé aux ouvriers est le plus souvent un salaire de subsistance. Néanmoins,