Les Suppliantes

commence alors par manifester de la bonté à Ulysse en ne s'enfuyant pas face à son apparence effrayante. Lorsqu'il l'implore de l'aider, Nausicaa lui répond : "Tu ne seras pas privé ni d'habits, ni d'aucune chose qu'il convienne d'offrir aux misérables suppliants"(chant VI, vers 120-121). "Il nous faut l'accueillir"(chant VI, vers 207), explique-t-elle à ses suivantes. Ainsi, elle lui donne des vêtements, le laisse se baigner, et ordonne encore à ses suivantes : "Donnez-lui la nourriture et la boisson"(chant

Apostrophe à la deuxième personne : " c'est à toi, Dieu " (l. 3 ). - Reprise anaphorique : reprise du pronom toi (3 premières lignes ). - Verbes à l'impératif : " daignes " (l.4 ), " fais que " (l.6 ). - Répétitions : supplie Dieu. - Formules suppliantes : " s'il est permis à " (l.2 ). - Dieu et ses qualités : * " Dieu de tous les êtres " (l.1 ) : Dieu universel pour tout le monde. * " Dieu de tous les temps " (l. 2 ) : Dieu éternel. * " car tu sais " (l. 18 ) : Dieu peut deviner

tuer elle si il ne peut pas l’avoir, la passion du narrateur vire carrément a l’obsession ici. « Carmencita » le surnom qu’il a donné ici donne la nature de la relation entre les deux personnages. « Changeant de vie, Carmen, lui dis-je d’un ton suppliant » ici il y a l’utilisation d’un registre pathétique le personnage veut faire pitié afin que Carmen cède et viennent avec lui en Amérique, « Allons vivre quelque part où nous ne serons jamais séparés » utilisation d’une hyperbole introduit par le

Apostrophe à la deuxième personne : " c'est à toi, Dieu " (l. 3 ). - Reprise anaphorique : reprise du pronom toi (3 premières lignes ). - Verbes à l'impératif : " daignes " (l.4 ), " fais que " (l.6 ). - Répétitions : supplie Dieu. - Formules suppliantes : " s'il est permis à " (l.2 ). - Dieu et ses qualités : • " Dieu de tous les êtres " (l.1 ) : Dieu universel pour tout le monde. • " Dieu de tous les temps " (l. 2 ) : Dieu éternel. • " car tu sais " (l. 18 ) : Dieu peut deviner le cœur des

Ainsi, l'Age mûr témoigne du cruel abandon de Rodin. Il y est présenté comme un homme à la fin de sa maturité, vertigineusement attiré par l'âge tandis que la jeunesse tente vainement de le retenir. Camille, elle, y est symbolisée l'implorant, le suppliant à genoux, agrippant sa main dans le but de le retenir alors qu'il se détache d'elle pour aller rejoindre son amante. Cependant, l’homme au centre reste hésitant, il paraît partagé entre l’appel de la jeune implorante et le calme et la sécurité que

éléments en 3 parties : le centre principalement occupé par le cheval blessé (qui est transpercé d'une lance et qui se tord de douleur) et la porteuse de lumière, la droite quand à elle, est occupée par une femme en péril(elle lève les bras désespérée, suppliante. Son corps n'est pas visible. On peut comparer cette femme avec l'oeuvre de Fransisco Goya : Très de Mayo peinte en 1814 et conservée au musée du Prado à Madrid de part la position des bras) et la gauche par un taureau (qui rentre dans l'image de

L’importance des augures a) Rite religieux origine Etrusque b) Importance du nombre et du temps Conclusion : L’épisode est mis sous le signe de la volonté divine Texte 2 : Les sabines intercèdent pour la paix I/ Tableau pathétique des suppliantes Attitude de deuil : description réalistes Attitude de supplication : prières verbes Attitudes désespéré :champs lexical du malheur II/ Une lutte fratricide et dramatique Intervention des femmes malgré leur peur Description du combat et de

raconte le retour de Xerxès à Suse après les défaites de Salamine et de Platées - la trilogie l’Orestie, d’Eschyle ? Le sujet de la trilogie de l'Orestie est dabord composées de 3 tragédies centrées sur la geste des Atrides - - Les Suppliantes, d’Euripide ? Le sujet est la guerre des septs chefs.      10/ Quel est le sujet de la comédie « les guêpes » d’Aristophane ? Le sujet des guêpes est le fonctionnement de la démocratie athénienne 11/ En quoi ces sujets concernaient-ils les

recueil (Les Fleurs du Mal). Dans le deuxième tercet, l’auteur apporte un démenti catégorique qui s’exprime en deux temps : L’expression de la souffrance : le premier hémistiche du vers 12 est un double cri du désespoir, peut-être une invocation suppliante (" Ô douleur ! ô douleur ! "). L’action dévorante et irrémédiable du temps : le temps est assimilé à un monstre : il est enfin nommé alors qu’il était omniprésent dans la métaphore des saisons puis désigné par une périphrase (" l’obscure Ennemi

valeur pour le regard du spectateur. Le bleu étant la couleur de la Vierge, porté ainsi par Volumni illustre le fait que c'est elle la mère des enfants, de plus sa peau d'une extrême blancheur renforce ce côté vertueux et son regard, vers Coriolan, suppliant nous indique encore qu'elle tente de le raisonné. L'enfant le plus visible est vêtu de blanc, symbole de pureté et d'innocence. De plus, le jaune et le bleu, porté par Coriolan et Volumni, servent de jonction entre les deux personnages, instaurant