Les Suppliantes

la fin le bon sens eut le dessous. La queue commanda et conduisit, tirant à l’aveugle tout le corps, tant qu’enfin elle tomba dans un trou plein de pierres, où le serpent se meurtrit l’échine et tout le corps. Alors elle s’adressa, flatteuse et suppliante, à la tète : « Sauve-nous, s’il te plaît, maîtresse ; car j’ai eu tort d’entrer en lutte avec toi. » Cette fable confond les hommes rusés et pervers qui se révoltent contre leurs maîtres. Esope – (VIIe-VIe siècle av. J.-C) La tête et

(Les Perses, Les Sept contre Thèbes, Les Suppliantes, la trilogie de l'Orestie : Agamemnon, Les Choéphores, Les Euménides, et Prométhée enchaîné) ; de Sophocle, 7 tragédies aussi (Ajax, Antigone, Les Trachidiennes, OEdipe-roi, Électre, Philoctète, OEdipe à Colone), plus des fragments d'une huitième (Les Limiers) ; d'Euripide, 19 tragédies plus des fragments de quelques autres (Alceste, Médée, Les Enfants d'Héraclès, Hippolyte, Andromaque, Hécube, Les Suppliantes, Électre, Les Troyennes, La Folie d'Héraclès

| | SOPHOCLE | -Ajax -Philoctète | -Electre | -Oedipe roi -Oedipe à Colonne | -Les Trachiniennes | EURIPIDE | -Les Troyennes -Hécube -Andromaque | -Electre -Iphigénie en Tauride | -Les Phénicienne -Les Suppliantes | -Alceste -Héraclès furieux -Les Héraclides | V . Les costumes La Grèce antique connaît déjà la notion de costume : Les acteurs mettent des vêtements qui ne sont pas ceux de la vie quotidienne . Il s'agit de faciliter l'identification

auteur)http://www.youtube.com/watch?NR=1&v=oR2TkGHkkzYESCHYLE :né à Éleusis (Attique) vers 526 av. J.-C., mort à Géla (Sicile) en 456 av. J.-C., C’est un des plus grands tragiques. Il a gagner 13 fois le concours tragique.. L’Orestie et les suppliantes sont deux de ses plus grandes pièces. | | | Théâtre romain : court historique, 3 éléments caractéristiques, 2 auteurs (courte biographie et 2 titres d’œuvres significatives par auteur) | | Moyen âgeLe ______ siècle | Drame liturgique : 3

Vénus peut aussi être interprétée comme une complainte du mal-aimé. Le dernier paragraphe insiste sur l'insensibilité et l'inaccessibilité de la Vénus colossale. La statue reste de marbre et ne condescend pas à abaisser son regard jusqu'au fou suppliant.

 Sujet : "Vices et vertus de la démocratie athénienne " Ce document est l'extrait d'un dialogue entre Thésée, héros athénien mythique et un Héraut thébain, messager d'une ville rivale d'Athènes.Il est tiré des " Suppliantes ", une tragédie d'Euripide (480-406 avant Jésus Christ), un athénien auteur de nombreuses pièces de théâtre. Le sujet de ce dialogue est politique, les deux intervenants comparent les institutions de leur cité d'origine.Le V ème siècle est un temps d'apogée

femmes ou que deux hommes épousent une seule femme. Lorsqu’elle entendit cela, elle fut prise de panique, sortit de chez elle affolée et alla voir les autres femmes mariées; le lendemain, une foule de mères de famille arrive au Sénat. Pleurant et suppliant, elles demandent qu’une femme soit mariée à deux hommes plutôt que deux femmes à un seul homme. Les sénateurs qui entraient à la curie se demandaient avec étonnement ce qu’était ce dérèglement des femmes et ce que signifiait cette requête qu’on leur

véritable action ancrée dans le présent qu'il entreprend au cour de la pièce. La pièce débute sur une apostrophe d'Œdipe au peuple de Thèbes : « Enfants, jeune lignée de notre vieux Cadmos, que faites-vous là ainsi à genoux, pieusement parés de rameaux suppliants ? », qui ne cessera de s'interroger, d'abord sur les causes du mal qui ronge la ville, puis sur le meurtrier de Laïos et enfin sur lui-même. Cette forme interrogative nous montre qu'il est alors totalement ignorant de ce qui façonne son présent

commencement de la scène, Phèdre s'adresse à lui avec humilité et en l'appelant "seigneur". Par ce procédé, elle accentue sa propre infériorité et se rend déplorable aux yeux d'Hyppolite. Elle sollicite son attention, dans une première partie, de manière suppliante. ---> "Jamais femme ne fut plus digne de pitié ~~ Et moins digne, Seigneur, de votre inimitié". La réponse d'Hyppolite à ces "excuses" est très courtoise, il lui pardonne aussitôt toute les outrages qu'elle eu à son encontre dans le

entamée dès l'an 5008. Sur un total d'environ quatre-vingt dix pièces, il n'en subsiste aujourd'hui que sept. Six d'entre elles sont représentées entre 472 et 458, dans l'Athènes de Périclès : Les Perses (472), Les Sept contre Thèbes (467), Les Suppliantes (peut-être 463) et l'Orestie, sa treizième et dernière victoire (458)9. Eschyle rejoint ensuite la Sicile (où il s'est déjà rendu, à l'invitation du tyran de Syracuse Hiéron, après la représentation des Perses). C'est peut-être là qu'il compose