Les Suppliantes

communication entre les deux personnages rend leur amour encore plus contraignant. En effet, il arrive souvent que les réponses données par Carmen ne concordent pas avec les questions posées par Don José : «Changeons de vie Carmen, lui dis-je d’un ton suppliant…»/«moi d’abord, toi ensuite. Je sais que cela doit arriver.» Malgré les supplies de José Navarro, Carmen reste froide et ne se préoccupe pas de ce qu’il lui a dit. Elle qui supporte mal l’indifférence des hommes envers sa personne, elle montre clairement

hallucinait à cause du choc etqu'elle devait voyager seule. > > > > Alors qu'ils se retournent pour la questionner,ils découvrent qu'elle était partie et un policier l'avue courir en folle. > > > > Elle criait au travers tous les bruits alentours, suppliant tout le monde : S'il vous plait, aidez-moi à trouver mes garçons. Ils ont quatre ans et portent des chemises > > bleues, leurs jeans sont bleus aussi... > > > > > > Un policier s'écrie : Ils sont dans ma voiture !!! > > Ne vous inquiétez pas

pour le mêler dans l'occasion avec de l'eau de neige. Je découpais tranquillement mon pain, quand un bruit très léger me fit lever les yeux. Devant moi se tenait un petit être déguenillé, noir, ébouriffé, dont les yeux creux, farouches et comme suppliants, dévoraient le morceau de pain. Et je l'entendis soupirer, d'une voix basse et rauque, le mot: gâteau! Je ne pus m'empêcher de rire en entendant l'appellation dont il voulait bien honorer mon pain presque blanc, et j'en coupai pour lui une belle

et maigre on la retrouve fragile et dvote elle porte le deuil de D.J. elle nest pas incluse au troupeau des mugissantes opposition lexicale sourire/mugissement, brillt/noir, douceur/se tordaient . Est-ce la seule qui a touch D.J. en position de suppliante, tout son drame tient dans le rime signifiante amant/serment Sa prsence aux Enfers, de mme que celle des autres personnages victimes de D.J. invite lire le pome comme une fantasmagorie ne de limagination de D.J. Ceci expliquerait laspect presque

retrouve fragile et dévote - elle porte le « deuil » de D.J. - elle n’est pas incluse au troupeau des mugissantes : opposition lexicale sourire/mugissement, brillât/noir, douceur/se tordaient . Est-ce la seule qui a touché D.J. ? - en position de suppliante, tout son drame tient dans le rime signifiante : amant/serment Sa présence aux Enfers, de même que celle des autres personnages victimes de D.J. invite à lire le poème comme une fantasmagorie née de l’imagination de D.J. Ceci expliquerait l’aspect

fille du commandant Tarpéius, si elle accepte d’ouvrir les portes de la citadelle du Capitole. Grâce à cette trahison, ils surprennent les Romains. Romulus invoque Jupiter alors que la bataille fait rage dans la cité. Les Sabines interviennent en suppliant les deux ennemis de faire la paix et de se réconcilier. Dès cet instant, les deux peuples fusionnent et font de Rome leur capitale, Romulus et TitusTatius étant roi à tour de rôle. Les Romains prennent le nom de Quirites. On répartit la population

← Un récit héroïque car Ulysse échappe à tous ces dangers par sa ruse, grâce à l’intervention des dieux (Hermès, Athéna, Ino Leucothée, Eole, ect…) mais aussi par son charme (physique + parole persuasive). Sa première attitude face à l’autre est suppliante, il flatte ect… Parfois il utilise sa force physique, il a des qualités de guerriers et s’est illustré à la guerre par ses qualités physiques et intellectuelles (cheval de Troie). C’est aussi un chef de guerre qui sait se faire obéir de ses hommes

Proposition de corrigé 211 :  1. Présentation : Ce document est un extrait d'une tragédie d’Euripide , les Suppliantes. Il s’agit d’un dialogue entre Thésée, héros athénien mythique et un Héraut thébain, messager d'une ville rivale d'Athènes. Euripide (480-406 avant Jésus Christ) est l’auteur de nombreuses tragédies (genre inventé en Grèce, où des puissants sont soumis aux dieux et à la fatalité de leur sort). Le théâtre était un des principaux divertissements des Athéniens, le théâtre avait

bataille. Tout se passa si rapidement. Une balle le traversa en plein milieu du cœur. La foule jubila. Ils l’avaient tué pour me faire souffrir. Pour me faire regretter d’avoir dévié du bon chemin. Le dernier souvenir que j’ai de lui est son regard suppliant, sa bouche se remplissant de sang et ses gémissements. Quelques mois après ce drame je décidai de quitter cette ville et de tout recommencer. Je m’étais fait de nouveaux amis, j’avais arrêté de travailler comme comptable et m’étais dédié à ma

cause du froid, mais plutôt par ce qu’il venait de ce passer. Le souffle nous entourait tel un tourbillons, projetant chacun de nous le long des parois. Des cries de plus en plus effrayants se mêlaient à nos propres hurlements. Des cris d’enfants suppliants leurs parents de les sortir de là … des parents appelaient leurs enfants comme pour les rassurer… Simon et Adrien ne hurlait plus, leurs corps étaient si lourds que Alain et moi comprîmes qu’ils s’étaient évanouit. Nous étions plus que deux à