Les Suppliantes

Les habits bien coûtent toujours cher.) Lin Aiyu se penche pour regarder le prix sur l’étiquette. CERISE 是你决定我到底好不好看。 (C’est toi qui décides si tu veux que je sois jolie ou non.) Lin Aiyu fait non de la tête. Cerise se décompose. CERISE (suppliante) 妈妈，求你了。 (S’il te plaît maman.) LIN AIYU 不行。 (Non) CERISE 求你了，求你了嘛！ (S’il te plait ! S’il te plait !) Lin Aiyu ne changera pas d’avis. 2e scène : Dans l’appartement DANIEL Tu vas faire quoi ? Cerise entre. CERISE Tu t’y connais

regard dans le début de la scène (les deux personnages se croisent, se toisent, s’ignorent) et parlent aux rôles secondaires. Puis Andromaque cède et implore Pyrrhus : qu’il la tue, elle… Elle s’abaisse même et Pyrrhus, enfin, la regarde de haut, suppliante, à ses pieds. Son triomphe est tel qu’il jubile et la nargue. Mais c’était une feinte d’Andromaque, suivant en cela les conseils de Céphise. Pyrrhus réagit mal, car il ne fait pas confiance à Andromaque, et elle est obligée de s’adresser à nouveau

théatral à la sordide réalité de la guerre. Si l'on s'intéresse aux thèmes des pièces d'Euripide, on peut notamment constater que ce dernier n'hésite pas à écrire des pièces aux implications politiques claires. Plus anciennes, Les Héraclides et Les Suppliantes sont tournées vers le patriotisme, que l'on retrouve aussi dans Thésée. À l'inverse, des pièces plus récentes déplorent les conséquences de la guerre, la ruine, le deuil et la captivité, sur un ton presque pacifiste; c'est le cas d’Andromaque, des

sa féminité, elle est punie par où elle a péché, violée par un homme qui lui-même avait pris l’apparence d’une femme. La violente scène que peint Titien représente bien cette lutte de Callisto, qui se débat tant qu’elle peut, tout en renonçant, suppliante, consciente de son impuissance face à « l’agresseur ». La virilité de la nymphe qui lui arrache sa robe n’est pas sans faire penser à cette « femme masculine » qui la déflora. Diane elle-même peut faire douter quant à son identité : peut-être s’agit-il

suivante : il ne nous combattait pas, mais il faisait comprendre que, si on l’attaquait, il ne manquerait ni de force ni de volonté pour résister. Les ambassadeurs qu’il envoyait auprès des Césars, tantôt présentaient ses demandes comme celles d’un suppliant, tantôt parlaient d’égal à égal » (Velleius Paterculus, Histoire romaine, II, 9). La puissance militaire des Marcomans est telle que les Romains décident d’envahir leur royaume en mobilisant près de la moitié de leurs effectifs militaires avec 14 légions

aimes ! Je t'en prie, va loin d'ici. Fuis tant qu'il est encore temps. Je te rejoindrais plus tard quand tout sera calmé ici ! Antigone : Non, non et encore et toujours non ! Hémon : Te souviens-tu de ce fils que nous rêvions d'avoir ? Antigone, suppliant : Arrêtes Hémon ! Je t'en prie ! Hémon, qui la prit dans ses bras : Fai le pour lui et pour moi ! Pour aimer la vie tant qu'il nous reste un peu de bonheur ! Anigone qui hésite maintenant : Mais je ne peux plus reculer maintenatn, de plus, mon

machine" voulait dire qu'une personne arrivait de façon impromptu , à la fin de la pièce . 5/Les tragédies .Eschyle: né vers 526 av J-C et mort en 456av J-C. Il a entre autres écrit : les perses, les sept contre Thèbes ,l'orestie ou encore les suppliantes. Sophocle: né vers 495 av J-C et mort vers 406 av J-C. Quelques unes de ses oeuvres: Antigone, électre,les limiers. Euripide: né en 480 av J-C et mort en 406 av J-C. Quelques oeuvres: téléphe,les crétois,égée,palamède. .Les thèmes tragiques

Hitler montre avec quelle détermination il compte diriger les Allemands vers la victoire . Le discours de propagande selon Hitler « L'âme de la masse n’est accessible qu’à tout ce qui est entier et fort [...]. La masse préfère le maître au suppliant, et se sent plus rassurée par une doc- trine qui n’en admet aucune autre près d’elle. La tolérance lui donne un sentiment d’abandon ; elle n’en a que faire [...]. La faculté d’assimilation de la grande masse n’est que restreinte, son entendement

parfaitement intégrées à la tragédie. Des liens subtils se tissent ainsi, dès l'exposition, entre le prologue et la parodos. Ils sont d'abord d'ordre visuel : le choeur des vieillards thébains sous la direction de leur coryphée succède au groupe des jeunes suppliants conduits par le prêtre de Zeus. La cité apparaît ainsi à travers deux tableaux contrastés et complémentaires : à l'enfance s'oppose la vieillesse, au statisme le mouvement de la danse, au silence le chant. Des échos s'établissent du dialogue parlé

vengeance. AU CAS OÙ :Homère : L’Iliade, L’OdysséeSophocle : Ajax, Antigone, Œdipe roi, Electre, Les Trachiniennes, Philoctète, Œdipe à ColoneEuridipe : Alceste, Médée, Hippolyte, Les Héraclides, Andromaque, Hécube, Héraclès furieux, Les Suppliantes, Ion, Les Troyennes, Iphigénie en Tauride, Électre, Hélène, Les Phéniciennes, Oreste, Iphigénie à Aulis, Les Bacchantes, Le CyclopeOvide : Les Métamorphoses, Les Fastes