Les Suppliantes

Hyperboles « immuable » Insistance de la célébration « il faut te célébrer » c) Expression de la supplication Emploi de l’impératif Formule soulignant la mise à distance du suppliant « daigne regarder » « fais que + subjonctif » d) Souhaits difficiles Contenue de la demande difficile à réaliser ( aides des hommes) Capacité de supporter la misère de la condition humaine. Dépassement de toutes les formes de diversité

Études complémentaires: le monologue d’Oreste Acte II, scène 3/ Étude de la scène 4, Acte V / Étude d’un extrait de Bérénice Étude d’ensemble: le personnage d’Oreste Activité complémentaire: Les élèves se sont rendus à une représentation des Suppliantes

témoignent de l’amour qu’il a pour elle , on relève le passage :«Le conte n’a que pour vous de l’affection, moi je vous aime »  . On peut aussi remarquer les scènes ou Éllénore tente de dissuader Adolphe de partir en le retenant par les bras et en lui suppliant de ne pas partir : « Je t’en supplie, ne pars pas ». La scène de tir avec le pistolet pourrait peut- être représenter la fois où Adolphe a défendu Éllénore d’un de ses amis. Le roman se déroulant au dix -neuvième siècle, le style vestimentaire semble

n’ai entendu le nom de ce défunt homme, s’exclama Vincent. - C’est pourtant l’homme que vous avez sauvagement violenté et fini par tuer, reprit l’agent, outré. - Je ne suis en rien impliqué dans cette histoire, répondit le présumé coupable, l’air suppliant. » Quand le bourreau arriva, il était déjà midi pile et la foule se ruait pour prendre connaissance de l’assassin du neveu de Godefroi. Vincent, quant à lui, dans sa camisole, scandait à toutes les portes de la ville, qu’il était innocent. L’heure

femme les bras levé, elle implore secoure ou elle part en enfer -> domination de l’ennemi, bombardement enfer venant du ciel, elle à la bouche ouverte ce qui signifie la douleur. - Une femme à genoux à terre qui regarde une bougie , elle est suppliante -> Souffrance et Pitié - Une femme bras droit levé et tendu, elle tient une lampe -> Signifie l’Espoir avec la Lumière Les représentations triangulaires des flammes représentent la douleur. Au centre : * Un cheval Blessé, transpercé

Chouette Langue commune: Grec Croyance en plusieurs dieux : polythéiste Passé commun : mythes fondateurs Fierté d’un régime politique unique : démocratie b- Les caractéristiques du modèle démocratique inventé à Athènes Doc.1 : Extrait des Suppliantes d’Euripide 1- Présenter le document. Extrait d’une tragédie d’Euripide écrit vers 422 avant Jésus-Christ source directe (=même époque qu’époque étudiée) Destinataire : spectateurs Athéniens Thème : comparaison entre 2 systèmes politiques

Hector, le défie et le tue avec l'aide d'Athénail. Il traîne sa dépouille trois fois autour de la ville avec son charil  avant de la ramener dans le camp achéen. Achille fait pourtant preuve d'humanité en laissant le roi Priam, venu dans sa tente en suppliant, emporter le corps de son fils pour lui accorder des dignes funéraillesil Il obéit ainsi à sa mèreil envoyée par les dieux mécontents du traitement infligé à la dépouille du hérosil Certains racontent ensuite l'arrivée de Penthésilée, reine des Amazones

Arrêtez de manger comme cela ! Vous me faites honte, vous avez beau être un mendiant vous devriez avoir un minimum de savoir vivre ! Vous pouvez toujours rêver pour que je vous invite une nouvelle fois à manger avec moi. Renart répondit d’un ton suppliant : - Pardonnez Rosie, mais cela fait si longtemps que je n'avais pas mangé autant de nourriture en une fois, j’avais si faim… Et vous ignorez ce que cela fait d’être un mendiant qui vit chaque jours dans le froid alors que vous vous pouvez rentrer

titre d'un recueil (Les Fleurs du Mal). Deuxième tercet Il apporte un démenti catégorique qui s'exprime en deux temps : L'expression de la souffrance : le premier hémistiche du vers 12 est un double cri du désespoir, peut-être une invocation suppliante (« Ô douleur ! ô douleur ! »). L'action dévorante et irrémédiable du temps : le temps est assimilé à un monstre : il est enfin nommé alors qu'il était omniprésent dans la métaphore des saisons puis désigné par une périphrase (« l'obscur Ennemi

plus ancien dramaturge grec se nomme Thespis, mais nous n'en avons aucune trace. Eschyle est le père de la tragédie. Il est né en 525/524 av JC et est mort en 457/456 av JC. Sept tragédies nous sont parvenues mais il en a écrit une centaine. « Les suppliantes », « Les Perses », « Les Sept contre Thèbes », « Prométhé enchaîné » et une trilogie « L'Orestie » : « Agamemnon », « Les Choephores », « Les Euménides ». Son théâtre est marqué par la violence, la justice divine et le sacré. On remarque dans les