Les Tares De La Société

à cette religion. On parlera en ce cas d'antijudaïsme. - l'hostilité et les persécutions s'adressant à un groupe distingué comme une supposée « race ». Cette idéologie raciste (ou racialiste) pointe les Juifs comme groupe distinct au sein de la société, les Juifs ont une culture, une mentalité et une religion différentes de celles des populations voisines ; c'est un antisémitisme selon des critères supposés de race. Cet antisémitisme est apparu à la fin du XIXe et à l'orée du XXe siècle, qui disqualifie

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR SESSION 2012 CULTURE GENERALE ET EXPRESSION Aucun matériel n’est autorisé - Durée 4 heures Première partie : synthèse (40 points) Le sport, miroir de notre société Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants : Document 1 : article de Sébastien Duret, journaliste pour foottofeminin.fr 26 juin 2011 avec leur aimable autorisation Document 2 : « Le sport en perte de valeurs » publié par L’express.fr 2 août 2006 avec leur aimable autorisation

tout devient sublime: c’est le monde auquel aspire le Poète. Le drame Baudelairien Baudelaire fut toute sa vie un malheureux. Il souffrit du remariage de sa mère, de sa solitude morale, de sa gêne matérielle, de ses déceptions de carrière, de ses tares physiques. Toutes ces misères expliquent la profondeur de son “spleen2”, auquel il tenta d’échapper avec une obstination vaine et pathétique. Héritier des romantiques, Baudelaire manifeste lui aussi une mélancolie profonde qui fait penser à un retour

Extrait de « Information-Communication / Fiches de synthèse », Denis BENOIT, Les Editions d’Organisation, 1995, pp. 67-76 Fiche 5 Critique de la communication 1. Pourquoi critiquer "la" communication ? Dans nos sociétés, un engouement massif pour la communication est aujourd'hui manifeste. Mais, plus qu'un simple enthousiasme éphémère, la communication serait devenue à la fois : -une mode, c'est-à-dire une manière "passagère" de se comporter qui est actuellement parfaitement patente et extrêmement

de citer les hommes avant les femmes. Dès lors le ton est donné. Il va s’agir d’un renversement de la tendance imposée par une société phallocratique. Le point de vue de l’auteur (et celui de la narratrice) est de déterminer par des règles sociales plusieurs fois séculaire qui font de la femme victime perpétuelle non seulement de quelques hommes mais de toute la société entière. En effet, à la page 11, le mariage est défini de la manière suivante : la femme devient une chose au service de l’homme

La Société bloquée, éd. Le seuil-Points/Essais, 1995, 40F < société bloquée ne signifie pas société figée, où l’évolution et l’adaptation sont impossibles. < elle admet cependant des blocages permanents et persistants qui s’adaptent aux évolutions dont elle est indépendante, ces blocages résidant dans les systèmes de gouvernement, d’organisation et de décision. < problématique générale : comment et pourquoi se perpétuent les mêmes mécanismes de blocages, en dépit « des extraordinaires perturbations

des cryptes et des catacombes. La loi du silence est à l’origine de toutes les initiations véritables, elle se perd dans la nuit de la préhistoire, sans contestation possible Pourquoi, dès lors, s’en servir comme d’une machine de guerre contre les sociétés initiatiques et en particulier la Maçonnerie ? La raison en est simple, on a perdu le sens de cette loi. Les profanes et les ennemis de cette institution la considèrent, ou tout au moins feignent de la considérer, comme un aveu, mêlé d’hypocrisie

la leçon du vieillard turc: « le travail éloigne de nous trois grands maux, l'ennui, le vice, et le besoin» (chapitre trentième). À la fin du conte, il parvient à se ménager une existence acceptable. Son entourage en fait autant; « toute la petite société» connaît alors un bonheur raisonnable. Reposant sur des éléments romanesques traditionnels, Candide est un conte fortement parodique et ironique. Une telle forme littéraire assure au public une lecture facile et à l'auteur une totale liberté, mise

cette situation sociale qui place la femme en minorité au sein de la société, mais aussi comme nous allons le voir, grâce à la nouvelle condition de la femme induite par le passage à la société industrielle, des mouvements contestataires, qui se revendiqueront bientôt comme féministes, vont voir le jour. Nous verrons donc en quoi les mouvements féminins ont permis une évolution de la situation de la femme au sein de la société française à partir de 1848. Nous allons donc voir les mouvements féministes

la totalité, dans la révolution comme dans l’I.S., sur la fusion magique, un jour, de la spontanéité enfin libérée (celle des masses, et celle de Vaneigem) avec la cohérence : dans de telles noces de l’identification, les problèmes vulgaires de la société réelle et de la révolution réelle seront instantanément abolis avant même que l’on ait eu le déplaisir de les considérer, ce qui est évidemment une aimable perspective pour philosophie de l’histoire en fin de banquet. Vaneigem a manié par tonnes le