Les Themes Abordes Dans Le Petit Prince

Européens trouvent ça ridicule. - Argument contre les africains : ils préfèrent le verre à l'or --> seulement une question de culture - Si on reconnaît les Africains comme des hommes et qu'on les exploite, on est contre la chrétienté. - S'adresse aux princes d'Europe pour qu'ils fassent des lois. - Les lois découlent de la raison et cette raison est différente selon le pays --> aucune loi absolue. - Pour la séparation des 3 pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) (Lettres persanes) - Cible les travers

humains, effrayés de voir cet animal étrange, lui tirent dessus. Blessé, Rufus est recueilli par un collectionneur de papillon qui devient son ami : très vite, il se rend compte que son ancienne vie lui manque et retourne à la nuit. On retrouve les thèmes chers à Ungerer : changer de monde, changer le monde mais aussi la différence, la peur de l’autre, et surtout l’amitié. Se pose dans cet album la question de l’identité : qu’est-ce qu’être soi-même ? Tout d’abord, présentons le schéma quinaire de

religions, victimes de leur image : le christianisme, l’islam et le judaïsme. - Sources : « Cacher ou punir, le Vatican a choisi » : courrier international mars 2010 «Eglise cherche salut » : le nouvel observateur avril 2010 Tout d’abord on peut aborder le sujet de la religion catholique et du scandale sexuel des hommes d’Eglise qui depuis des décennies ont été tenus cachés au lieu d’être combattus. Les plus hautes figures d’autorité telles que le cardinal Christoph Schönborrn évoque l’idée du célibat

littérature de jeunesse, se constitue véritablement. Elle s’élabore, à cette époque-là, autour des contes d’une part et, d’autre part d’histoires plus réalistes mettant souvent en scène des héros au cœur pur, malmenés puis récompensés de leur vertu (La Petite Fadette, Oliver Twist ) Certes, dès le XIX° siècles, des auteurs reconnus, en Europe et aux USA, écrivent pour la jeunesse : Georges Sand, Charles Dickens, Alphonse Daudet, Hermann Melville, Erckmann Chatrian, Jules Verne et la plus spécialisée

jalousie». Marcel Pagnol puise son inspiration dans le cadre provençal et marseillais. I1 crée, lui aussi, des personnages inoubliables et stigmatise surtout certaines mœurs politiques de 1'époque: «Marius», «Funny», «Jazz», «Topaze». Jean Cocteau aborde la tragédie avec «La Machine infernale», puis «Les Parrents terribles». Jean Anouilh écrit des pièces féroces, pleines d'amertume: «Y'avait un prisonnier», «Le Voyageur sans bagage», «Le Bal des voleurs». De la rencontre entre les auteurs

réalisation d’un documentaire. Une longue phase d’enquête et de rencontres avec des enfants des rues a précédé le film et, pour construire son scénario, la réalisatrice s’est largement inspirée de leur quotidien (moyens de subsistance, regroupements en petites bandes), des peurs des enfants, comme la crainte de la police ou des maisons de correction, mais aussi de leurs aspirations (trouver des parents de substitution, une famille, une écoute, etc.). 2.2. Des comédiens issus du milieu décrit De nombreux

première dimension du roman est le conflit politique qui est un aspect central. Ainsi, les contradictions politiques et les égoïsmes sont générateurs de ces conflits. Au Libéria, ce sont des chefs de guerre qui se succèdent au pouvoir : Samuel Doe, Prince Johnson, Charles Taylor. Il y a aussi une dimension politique transnationale dans le roman. On note ainsi que ces personnages politiques sont souvent manipulés par des forces étrangères. Il y a aussi des intérêts transnationaux qui influent sur les

Printemps de l’âme parce que la journée se déroulent au printemps et parce qu’elles interrogeaient la partie la plus mystérieuse de l’être humain. L’âme. Nous nous sommes posées ici ou là dans des lieux plus ou moins improbables, au gré du vent. Les thèmes ne manquaient pas. La première édition, aux bains de Saillon, interrogeait la relation thérapeutique. Je me souviens d’une table ronde de haute volée animée par le journaliste Jean-Philippe Rapp, l’année suivante à Sierre nous demandions « à qui

français, dont le plus jeune bleuet avait vingt ans, étaient condamnés à mort. Ils devaient être mis entre nos lignes et les lignes ennemies pour être tués par les Allemands. Mathilde qui aimait le Bleuet, veut savoir la vérité sur cette ignominie. Ce petit résumé confirme à peu près les suppositions faites en C1. 2.3) Paratexte •La biographie de l’auteur : Nous en apprenons un peu plus sur l’auteur •Une citation : Une citation de Lewis Carroll, l’écrivain d’Alice au pays des merveilles. •Liste

réalisation d’un documentaire. Une longue phase d’enquête et de rencontres avec des enfants des rues a précédé le film et, pour construire son scénario, la réalisatrice s’est largement inspirée de leur quotidien (moyens de subsistance, regroupements en petites bandes), des peurs des enfants, comme la crainte de la police ou des maisons de correction, mais aussi de leurs aspirations (trouver des parents de substitution, une famille, une écoute, etc.). 2.2. Des comédiens issus du milieu décrit De nombreux