Les Totalitarismes Points Communs Et Différences

Problématique : Quelles sont les spécificités des régimes totalitaires ? Définitions : Totalitarisme : Idéologie qui prétend contrôler la totalité des aspects de la vie des hommes. Dictature : Concentration des pouvoirs entre les mains d’un homme, d’un parti ou d’une classe. Il y eut plusieurs régimes totalitaires en Europe pendant l’entre-deux guerres : - En Italie avec Mussolini (1922 – 1945) - En URSS avec Staline (1924 – 1953) - Au Portugal avec Salazar (1933 - 1968) -

Stalinisme et nazisme : deux totalitarismes Ici, on posera plus les cadres de la réflexion. Les éléments du devoir ne sont pas originaux. Donc voir comment on mène une réflexion à partir d’éléments simples. Sujet piège à plusieurs titres, très dangereux et glissant. Risque d’une dérive politique et d’une copie militante, cherchant à montrer que l’un est pire que l’autre, type : Staline c’est pas beau, mais ça part d’un projet généreux et humaniste alors que le nazisme est affreux par essence ;

critère de la culture c'est la diversité. Conséquence pour votre sujet. A quelle condition peut dire qu'on n'est cultivé? Se cultiver n'est-ce pas se rendre différent de ceux qui ne le sont pas? A quoi tient cette différence? cette différence est-elle définitive? Quel genre de différences la culture peut-elle produire? Bachelard cite J. Hering: "La personne la plus évoluée sera toujours par la plus grande étendue de son horizon à même de comprendre celles qui lui sont inférieures... tandis que

L'Etat: 1e aspect : On peut définir l’Etat comme une construction à la fois sociale et institutionnelle. Il n’y pas d’Etat sans institutions. Construction sociale car elle est l’objet d’action de groupes sociaux. 2e aspect : du point de vue des individus comme partie prenante de ces institutions. On peut considérer l’Etat comme la naturalisation progressive de la domination d’un groupe social. Cette hypothèse conduit à envisager l’Etat non pas comme une institution mais aussi comme le terme

cause dans le contexte ou sa relation avec les autres lois. Pour lui, l’État est un tout, il annonce la nation de système sociale, de structure sociale. Il cherche des liens objectifs qui relient les liens sociaux entre eux. Il confesse « je n'ai point tiré mes principes de mes préjugés mais de la nature des choses » ( préface ). « On dit ici ce qui est et non pas ce qui doit être » ( livre 2, chapitre 4 ). Ces précurseurs ont décrits des situations dont les politiques actuelles font toujours usage

KARL POPPER, La société ouverte et ses ennemis (1962). 1) Ce texte écrit par Karl Popper, grand épistémologue du XXe siècle, a pour thème une forme précise de totalitarisme politique qui prétend faire le bonheur du peuple tout en lui imposant un mode unique d’existence. Ce totalitarisme pouvant désigner des expériences politiques diverses, mais semblables sur le fond : on peut le trouver dans le fondamentalisme religieux, dans les différents fascismes, dans certaines idéologies

connaissaient d’un point de vue institutionnel que des pasteurs et des consistoires. Dans l’Eglise anglicane, au dessus des pasteurs, il y a les Evêques. Or, tous les réformés d’Angleterre n’acceptent pas ce type d’organisation (on parle souvent d’organisation épiscopalienne), nombreux sont ceux qui sont aussi en désaccord sur certains points de doctrine, et l’ensemble de ceux qui critiquent cette proximité entre l’Eglise anglicane et l’Eglise catholique sont regroupés, quelques soient leur différence, sous une

les crises de 1929 et de 2008 ? Pour répondre a notre problématique On étudieront d'abord les ressemblances frappantes entre les deux séquences de crises. Puis leurs différences. 1. Ressemblances : Le déroulement des crises de 1929 et 2008 présentent des similitudes: D'abord, Le premier point commun est le rôle néfaste des banques qui est en même temps la nature économique du choc, à savoir une déflation par la dette dont l'origine réside dans une politique monétaire

sont pas passives, elles n'attendent pas dans un stock passivement. « La vérité n'est pas quelque chose qu'il faut découvrir, c'est quelque chose qu'il faut créer. » -Descartes : « Je pense donc je suis » Il a construit le concepte du cogito. Différence entre les thermes Création, Découverte, Invention. La Création : terme fortement apparenté à la religion. « Dieu qui créa … ». Idée de création EX NIHILO, crée a partir de rien. La Découverte : acte qui consiste a révélé quelque chose qui existait

la tolérance. L’usage pratique évolue de façon singulière en fonction des groupes, des individus…Le langage de surface lui évolue par rapport aux contraintes de la société et son évolution entraîne une évolution des rapports de forces. Cette différence entre valeur théorique et valeur pratique qui sont variables à l’intérieur du schème théorique, n’est pas facile à établir. Un lapsus : c’est une structure incorporée (Bourdieu). Je me comporte d’une manière que je n’arrive pas à penser comme