Les Trois Grandes Lumières

dans la cathédrale de Notre-Dame de Paris sous le nom de Napoléon 1er. Après avoir reçus l’onction du pape. Il se couronne puis couronne l’impératrice. David est chargé de peintre la cérémonie sur un immense tableau qui est achevé en 1808, mais aussi trois autres toiles de la cérémonie : L'intronisation, le couronnement, La Distribution des aigles et l'arrivée à l'hôtel de ville David commence sa réalisation le 21 décembre 1805 dans l'ancienne chapelle du collège de Cluny, près de la Sorbonne, Assisté

Séance n°3 DOM JUAN de Molière : Étude de l'Acte III a) Résumé de l’acte (6/8 lignes) L'acte trois s'ouvre sur Dom Juan et Sganarelle, déguisé, l'un en habits de campagne, l'autre en médecin, qui s'avèrent être en pleine discussion sur les biens faits de la médecine. Lors de cette promenade qui se déroule aux abords d'une ville et d'une forêts, tout deux croisent un pauvre. Celui-ci leurs confie alors qu'il passe ses journées à prier pour les bonnes âmes charitable

« Les Lumières » est un terme qui désigne un mouvement culturel et philosophique qui émerge entre 1650 er 1700 sous l'impulsion de philosophes comme Spinoza, Locke, Bayle, Newton et Voltaire, avant de se développer dans toute l'Europe, et notamment en France, au XVIIIe siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de siècle des Lumières. Par leur engagement contre les oppressions religieuses, thomasiennes et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée

RITUEL_04_2009:rituel.4À LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS DEUS MEUMQUE JUS RITE ÉCOSSAIS ANCIEN ET ACCEPTÉ ORDO AB CHAO SUPRÊME CONSEIL DE FRANCE LIBERTÉ – ÉGALITÉ – FRATERNITÉ Rituel du 4e degré Maître Secret 2009 8, RUE PUTEAUX – 75017 PARIS RITUEL_04_2009:rituel.4 11/03/09 22:57 Page 1LE PRÉSENT RITUEL A ÉTÉ DÉLIVRÉ À LA RESPECTABLE LOGE DE PERFECTION ÉTABLIE SOUS LE TITRE DISTINCTIF : ………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………… À L’ORIENT DE : …………………………………………………………………………

Le corpus est constitué de trois extraits de romans : Le Rouge et le Noir, de Stendhal publié en 1830 ; Les Trois mousquetaires de Dumas paru en 1844 et La Condition humaine de Malrauxpublié en 1933.Ces trois extraits mettent en scène des figures de meurtriers : Julien et Tchen commettent un assassinat, tandis que la meurtrière, Milady, est tuée. On peut se demander comment les lieuxsoulignent la gravité du geste qui va être accompli. 1) Toutes ces actions sont accomplies dans des lieux écartés

laquelle s’oppose à la tradition de la peinture académique, reléguant la scène au rôle de faire-valoir. Il faut savoir que Manet, met en œuvre dans cette scène trois amis intimes : au premier plan, Berthe Morisot, sa belle-sœur, débout à ses côtés la violoniste Fanny Claus et derrière ces deux jeunes femmes, se tient Antoine Guillemet. De plus, ces trois portraits n’appartiennent à aucune situation, en raison de l’absence de fond ou d’élément extérieur au cadre, en dehors du cache-pot qui ne sert qu’à rompre

Les Lumières INTRODUCTION Le nom général de Lumière désigne le courant de pensée philosophique qui parcourt l’Europe au 18e siècle, et qui se répand à partir de la France. L’idée de « Lumière » se réfère à une nouvelle façon de penser le monde et à une lutte contre l’oppression des autorités politiques et religieuses qui maintiennent le peuple dans l’obscurantisme. Ces idées émancipatrices initialement issues d’une élite intellectuelle majoritairement bourgeoise se sont peu à peu immiscer dans

chinoises PiYing et les wayang kulit d'Indonésie. Utilisé d'abord à des fins religieuses (évoquer l'âme des morts) et d'exorcisme, il est rapidement devenu une forme particulièrement séduisante de spectacle populaire, mettant en scène aussi bien de grands poèmes épiques que des satires politiques ou grivoises. Le théâtre d'ombres est l'un des arts dramatiques de la Chine ancienne encore pratiqué.        On dit que sous la dynastie des Han de l'Ouest (206 av. J.-C. – 24 ap. J.-C.), des servante de

buildings et leur lumière. Dans le texte Thérèse Raquin l’on assiste tout d’abord à une description de la nature : «En face, se dressait le grand massif» l.2 puis par la suite une personnification de celle-ci : «Les rayons pâlissent dans l’air frissonnant, les arbres vieillis jettent leurs feuilles.» l.6. La condition humaine ne parle en termes de nature que de la lumière, une lumière artificielle puisqu’elle provient d’un building : «La seule lumière venait du building» l.6. Cette lumière est en opposition

choix de ma première planche symbolique. Il se trouve au cœur de l’atelier et il est à l’origine de ma première « faute ». Cela ne s’oublie pas !! Je l’ai foulé du pied ! Il a attiré mon regard pour une autre raison ; le sol de la cuisine de ma grand-mère était carrelé de cette façon. Cela se faisait d’ailleurs dans beaucoup de maison à l’époque d’après guerre. Souvenir émotionnel qui rappelle les rencontres familiales du jeudi après midi, avec mes oncles et tantes et surtout mes cousins et cousines