Les Trois Unites Andromaque

révolutionnaire ? Tout d'abord, nous étudierons le contexte historique ainsi que le contexte socio-économique, afin d'amener le contexte littéraire et le contexte culturel de ce siècle. Le contexte historique ème Le XVII​ siècle en France, voit se succéder trois rois : Henri IV, de 1589 à 1610, Louis XIII, de 1610 à 1643 ( où de 1610 à 1617 il est sous la régence de Marie de Médicis ), et enfin Louis XIV de 1643 à 1715 ( où de 1643 à 1661, il est sous la régence d'Anne d'Autriche ). Henri IV, fils de Jeanne

à cet égard de nombreux problèmes puisque, notamment, il ne respecte pas du tout la règle de bienséance, bien au contraire, c'est un théâtre très violent. "Andromaque, dans Euripide, craint pour la vie de Molossus, qui est un fils qu'elle a eu de Pyrrhus.[…] ici il ne s'agit point de Molossus. Andromaque ne connaît point d'autre mari qu'Hector ni d'autre fils qu'Astyanax. J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse." Racine Le

grand-mère, où il reçoit une solide formation intellectuelle avant de rentrer en classe de philosophie au collège d’Harcourt. Quelques années plus tard, il rentre à l’Académie française. Il a écrit de nombreuses œuvres telles que La Thébaïde (1665), Andromaque (1667), Les Plaideurs (1668), Britannicus (1669), et d’autres encore, cependant Phèdre s’affirme comme son chef d’œuvre, elle est sa dernière tragédie avant un long silence de douze ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et à la

en 1639, Racine est célèbre pour ses tragédies classiques. Après avoir reçu une éducation janséniste à Port-Royal, le jeune Racine cherche à se rapprocher du Roi et à s'affirmer comme auteur de théâtre. Il connait son premier succès en 1667 avec Andromaque. Les années 70 consacrent son génie littéraire : Bérénice (1670), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677) remportent un franc succès auprès du roi et de ses contemporains. En 1677, Racine abandonne le monde du théâtre, se marie et devient historiographe

temps qui passe. ême si toutes les tragédies ne se finissent pas par des morts, la souffrance et la mort sont souvent présentes. - Le tragique s’exprime par des contradictions, des dilemmes qui trouvent une issue le plus souvent dans la mort (ex : Andromaque qui doit choisir entre la vie de son fils ou le mariage avec l'assassin de son mari). - Le style : les phrases interrogatives, les exclamations expriment la détresse du personnage. On retrouve souvent des apostrophes ou des invocations. Les phrases

provoqué des émotions différente tout au long de cette pièce. « Un mot pout un autre » de Jean Tardieu est une forme d’humour bien particulière et poussé dans un extrême, celui de l’incompréhension et de la moquerie des hommes. En effet dans cette pièce trois femmes, surement deux bourgeoises et une servante, discutent dans un salon avec des phrases qui nous semble incompréhensible. Leur discussion est enfaite une suite de mot qui ne correspondent absolument pas a ce qu’elles veulent dire, mais grâce aux

exprime un sentiment de révolte contre l’ordre établi, auquel il oppose l’exaltation d’un moi intime et lyrique. Lyrime : expression de soi Les principes du mouvement : * Se libérer des règles classiques pour la liberté de création (règle des trois unités ; temps, lieu, action) * Exprime les passions du moi et texte fondé sur le lyrisme (expression de sa propre souffrance) * Réaliser le mélange des genres et des registres Les thèmes : * L’expérience de la solitude * La communion

sublimes et des accents grotesques en même temps. Il y a aussi une idéologie, un mélange entre esthétique et éthique (Hugo en 1830 est monarchiste). Déjà dans sa préface de Cromwell il avait condamné les trois unités, les bienséances (commence dans une chambre à coucher, contacts physiques), pour revendiquer la liberté de composition : « le drame romantique ne prend sa véritable dimension que sur scène. […] son but est d’impressionner le spectateur

l'exposition.  Pour réduire l'écart entre le temps de la représentation et le temps de l'histoire, une convention du théâtre classique (XVII e siècle) a fixé à vingt - quatre heures la durée de l'action représentée  cf. la règle des tro is unités : unité de temps (en un seul jour), unité de lieu (dans un décor unique) et unité d'action (une seule intrigue principale).  Au XIX e siècle, les règles du théâtre classique sont re jetées par les R omantiques ; l'action peut alors

d’avantages décrits que les personnages. Le récit se déroule mi-février à Paris près de la gare Saint-Lazare, dans l’impasse d’Amsterdam, le quartier de l’Europe, rue de Rome. Roubaud est sous-chef de gare et la mère Victoire est citée. Le texte comporte trois paragraphes : Le premier présente les personnages, le second les lieux et le troisième les voies ferrées et la gare. On peut supposer, grâce aux riches descriptions de cet incipit descriptif, que le train évoqué par un grand signal rouge à la fin