Les Tronçons Du Serpent

vertèbre, et les deux morceaux de cette tortueuse fantaisie se rejoindront sans peine. Hachez- la en nombreux fragments, et vous verrez que chacun peut exister à part. Dans l’espérance que quelques-uns de ces tronçons seront assez vivants pour vous plaire et vous amuser, j’ose vous dédier le serpent tout entier. J’ai une petite confession à vous faire. C’est en feuilletant, pour la vingtième fois au moins, le fameux Gaspard de la Nuit, d’Aloysius Ber- 1. Arsène Housset, dit Arsène Houssaye (1815-1896)

touché au but Douleur Je ne pouvais te faire plus belle offrande Jason lève tes yeux gonflés de larmes Jason tu m'avais oubliée Reconnais maintenant ton épouse Je pars comme j'en ai l'habitude Une route s'est ouverte dans le ciel Il y a pour moi deux serpents attelés Je vois leurs cous écailleux Tiens, père, garde tes enfants Moi je m'envole emportée par le char ailé. […] Texte N : Richard Matheson, Le journal d’un monstre (1950) Texte intégral de la nouvelle : X – Aujourd’hui maman m’a appelé monstre

Maurice T. Maschino Une crise sans fin ? Ce qui attend les Algériens en 2013 E ● 2013, année du serpent d’eau selon le calendrier chinois, est celle de l’expectative pour les Algériens qui attendent une victoire à la CAN-2013, une visibilité politique à la veille de l’élection présidentielle, un meilleur pouvoir d’achat et une probable révision constitutionnelle ● On ne sait, pour l’heure, si les serpents de mer sortiront de l’eau en cette nouvelle année. ◗ UNE PHOTOCOPIE POUR NOUS ALGÉRIENS Sauf

puits, le bas des murs disparaît dans les orties. Ce puits n’a point pour devanture la large dalle bleue qui sert de tablier à tous les puits de Belgique. La dalle bleue y est remplacée par une traverse à laquelle s’appuient cinq ou six difformes tronçons de bois noueux et ankylosés qui ressemblent à de grands ossements. Il n’a plus ni seau, ni chaîne, ni poulie ; mais il a encore la cuvette de pierre qui servait de déversoir. L’eau des pluies s’y amasse, et de temps en temps un oiseau des forêts

entière se déployait à leurs pieds, comme une mosaïque en 3D. Côté sud, derrière le lac, un chapelet de temples s’égrenait sur une hauteur. Côté nord, un aqueduc s’étirait vers les 74/1102 collines de Berkeley. Des équipes d’ouvriers réparaient un tronçon endommagé, sans doute lors de la toute dernière bataille. – Je voulais l’entendre de ta bouche, dit Reyna. Annabeth se retourna. – Entendre quoi de ma bouche ? – La vérité. Convaincs-moi que je ne commets pas une erreur en te faisant confiance. Parle-moi

bâti sous Jacques Ier par le grand trésorier d'Angleterre, qui est le bisaïeul du comte régnant. On y voit le lit d'une comtesse de Salisbury, d'un prix inestimable, entièrement fait d'un bois du Brésil qui est une panacée contre la morsure des serpents, et qu'on appelle milhombres, ce qui veut dire mille hommes. Sur ce lit est écrit en lettres d'or: Honni soit qui mal y pense. «Edward Rich, comte de Warwick et Holland, a Warwick−Castle, o l'on brûle des chênes entiers dans les cheminées. «Dans

bâti sous Jacques Ier par le grand trésorier d'Angleterre, qui est le bisaïeul du comte régnant. On y voit le lit d'une comtesse de Salisbury, d'un prix inestimable, entièrement fait d'un bois du Brésil qui est une panacée contre la morsure des serpents, et qu'on appelle milhombres, ce qui veut dire mille hommes. Sur ce lit est écrit en lettres d'or: Honni soit qui mal y pense. «Edward Rich, comte de Warwick et Holland, a Warwick−Castle, o l'on brûle des chênes entiers dans les cheminées. «Dans

bâti sous Jacques Ier par le grand trésorier d’Angleterre, qui est le bisaïeul du comte régnant. On y voit le lit d’une comtesse de Salisbury, d’un prix inestimable, entièrement fait d’un bois du Brésil qui est une panacée contre la morsure des serpents, et qu’on appelle milhombres, ce qui veut dire mille hommes. Sur ce lit est écrit en lettres d’or : Honni soit qui mal y pense. Edward Rich, comte de Warwick et Holland, a Warwick-Castle, où l’on brûle des chênes entiers dans les cheminées. Dans

monstres, puis les récits norvégiens de l’évêque Pontoppidan, les relations de Paul Heggede, et enfin les rapports de M. Harrington, dont la bonne foi ne peut être soupçonnée, quand il affirme avoir vu, étant à bord du Castillan, en 1857, cet énorme serpent qui n’avait jamais fréquenté jusqu’alors que les mers de l’ancien Constitutionnel. Alors éclata l’interminable polémique des crédules et des incrédules dans les sociétés savantes et les journaux scientifiques. La « question du monstre » enflamma

puis les récits norvégiens de l’évêque Pontoppidan, les relations de Paul Heggede, et enfin les rapports de M. Harrington, dont la bonne foi ne peut être soupçonnée, quand il affirme avoir vu, étant à bord du Castillan, en 1857, cet énorme serpent qui n’avait jamais fréquenté jusqu’alors que les mers de l’ancien Constitutionnel. Alors éclata l’interminable polémique des crédules et des incrédules dans les sociétés savantes et les journaux scientifiques. La « question du monstre » enflamma