Les Troubadours

ensemble à coté des remparts pour l'évacuation rapide des reste d'animaux ; chaque métier avait sa rue. Les jongleurs étaient considérés comme un métier pauvre : c'est un métier de rue ; les ménestrels et les troubadours étaient des métiers où l'on gagnait assez d'argent et les chevaliers troubadours étaient un métier où l'on gagnait beaucoup d'argent. La vaisselle creuse était pour les paysans et la vaisselle plate pour les seigneurs. La cheminée sert uniquement à faire la cuisine. Cela fait 4000

Montal (p.17) et sa servante, Guy de Servières, (le cousin de Raymond et l’ancien compagnon de jeux de Agnès), et son vieil écuyer Pons. Ils sont alors rejoints par un jeune troubadour : Jean l’Oiselet, accompagné de la jeune Espagnole Flor, qui affirme connaître le pèlerin. Il apporte de précieux indices : selon le troubadour, le pèlerin devait rencontrer une dame afin de « s’acquitter d’un devoir envers un mort. » Raymond de Pleaux fait constamment preuve d’énervement, d’ironie, et il interrompt

précisant les hauteurs et le nom des notes, s’aidant pour mémoire de la notation. La musique s’émancipe peu à peu, donnant naissance au drame liturgique et aux mystères. La musique profane se démocratise également avec l’apparition des trouvères et troubadours dont les plus grands noms sont Adam de la Halle et Guillaume de Machaut. Vient ensuite l’ère de la polyphonie, ce que l’on appelle plus communément l’Ars Antiqua (IX° - XIII° siècles), avec l’Ecole de Notre-Dame de Paris ( dont Léonin et Pérotin

------------------------------------------------- L’amour courtois DEFINITION L’amour courtois, forme d’amour idéalisé, apparait dans le Midi grâce aux poèmes chantés par les troubadours du Moyen-Age. (Guillaume IX, duc d’Aquitaine). Du XI au XIIIème siècle, la perception de la femme dans la société seigneuriale change grâce aux troubadours (comme Pétrarque, Dante) qui entourent la femme de dignité, d’honneur et de respect. La femme devient l’incarnation de la vertu et de la noblesse. L’amour courtois

représentée d’une manière idéalisée. Prenons par exemple les troubadours. Ils parlaient de la femme aimée comme d’un objet sacré, ils faisaient tout pour la contenter, même risquer leur vie et leur honneur. Cette manière d’agir était en elle-même une forme d’art, partie de la culture troubadouresque. On ne devait ni même avoir vu la femme aimée, pour savoir qu’elle était infiniment belle et infiniment noble. Donc, on voit dans l’art des troubadours une représentation vraiment idéaliste et standardisée de

geste qui sont des poèmes narratifs , généralement anonymes , destinés à être chantés . Elles retracent les exploits héroïques et les hauts faits des chevaliers . Elles ont été progressivement élaborées à partir des récits oraux propagés par les troubadours et les trouvères . La plus célébre chanson est la chanson de Roland qui a été composée vers 1090 : Dans une bataille d'arrière garde à Roncevaux , Roland , neuveu de Charlemagne , trouve la mort . On ne sait rien de l'auteur , peut-être nomme

l’appelant en Planèze a l’impression d’avoir quitté le pays d’oc et de se retrouver en terre “ de France ”( … ) Le langage lui aussi s’y singularise. N’exagérons rien ! Cette langue romane qu’on emploie au palais du Dauphin d’Auvergne, dont les troubadours ourlent leurs vers, a la même origine dans toute la province : le latin populaire ( “fora ” = dehors ; “hort ” = jardin etc...) transmis de bouche à oreille et donc plus ou moins déformé, transformé, qui a emprunté au gaulois quelques mots ( braies

chevaliers, château fort, adoubement, guerre, tournois, Troubadours, noblesse, donjon. chevaliers. Ils sont faits chevaliers lors de la cérémonie de l’adoubement. Ils doivent savoir combattre à cheval et doivent s’entraîner à faire la guerre (tournois) ; Dans leurs châteaux forts, ils ont un même mode de vie. Dans la grande salle du donjon, ils font des repas, égayés par des jongleurs, des musiciens, des troubadours. Peu à peu, s’estimant différents des autres hommes, ils forment

alors que son frère Wilhelm Grimm le rejoint un an plus tard pour entreprendre des études similaires. 

Depuis 1806 les frères Grimm commencent à rassembler des contes, et en 1807 ils publient dans certaines revues des articles sur les Maîtres troubadours. En 1808, leur mère décède et c’est à Jacob de prendre en charge toute la famille. Pour cette tâche, il trouve un poste de directeur de la bibliothèque privée de Jérôme. En 1809, Wilhelm, d’un tempérament assez maladif, entreprend une cure à Halle

s’affranchir les cités bourgeoises, le grand siècle de la lyrique courtoise, avec les troubadours dans le Midi et, dans le Nord, les débuts de la littérature romanesque, Tristan et Iseult, et les créations d’un Chrétien de Troyes. » A ce propos, il ne faut pas oublier que le grand père de notre Aliénor est le duc d’Aquitaine Guillaume IX surnommé Le Troubadour. Elle fut elle-même appelée reine des Troubadours. Dans son duché, elle est reine, sa cour est composée de vassaux et de poètes empressés