Les Tuniques Bleues

Ce tableau est une représentation de l’empereur Marc-Aurèle sur son lit de mort, avec son fils Commode et certains de ses amis philosophes. Au centre du tableau se trouve l’empereur Marc-Aurèle, le visage pensif, avec des yeux bleu, une peau ridé, une barbe et des cheveux noir qui commencent à devenir gris, avec un voile rouge/marron sur l’arrière des cheveux. Il est adossé à des coussins, tourné vers le côté gauche du tableau, avec un drap marron bordé d’or qui lui recouvre ses jambes recroquevillées

barbe et cheveux long puis visage imberbe et cheveux court. Vêtement pour la femme : Chiton également puis péplos – vient recouvrir le bras pour effet sur la manche. Juste drapé différent par rapport à l’homme. S’habiller = manière d’honorer les Dieux Bleu couleur de l’aristocratie Blanc couleur de Minerve Rouge couleur du dieu Mars Femme= Chignon, nattes, coiffure orné de rubans + période des couvre-chefs chapeau en paille pour se protégé du soleil. Chapitre 4 : Rome de 500 av Jc à 400 après Jc Civilisation

Liberté. Le gilet bleu, l’écharpe rouge et sa chemise répondent aux couleurs du drapeau. Cet écho est une prouesse. Les soldats : Au premier plan, à gauche, le cadavre d'un homme dépouillé de son pantalon, les bras étendus et la tunique retroussée. C’est, avec la Liberté, la deuxième figure mythique tirée d’une académie d’atelier, d’après l’antique, appelée Hector, héros d’Homère, héroïsé et réel. A droite, sur le dos, le cadavre d’un suisse, en tenue de campagne : capote gris-bleu, décoration rouge

Vatican. 1- Analyse iconographique : L’œuvre représente Octave ou Octavien qui fut le I er empereur romain et fils adoptif de Jules César. Ici Auguste est représenté en imperator (titre donnée à l’empereur sous l’empire romain), Il porte une tunique courte, une cuirasse et le paludamentum qui définit littéralement en latin manteau, c’est une sorte de draperie portée par les empereurs à cette époque. Il est représenté sous les traits d’un homme mur d’une quarantaine d’années. Auguste s’appuie

les sages-femmes sont vêtues de pantalons blancs et de tuniques roses, • es puéricultrices portent des tenues blanches à parements verts anis, • les aides-soignant(e)s sont vêtu(e)s de tenues blanches à parements fuchsia, • les auxiliaires de puériculture portent des pantalons blancs et des tuniques blanches à parements roses, • les intervenants au bloc opératoire (médecins,infirmier(e)s et brancardiers) portent des tenues vertes ou bleues, • les employées du service hospitalier (ESH) sont vêtues

LE TEXTE THÉÂTRAL ET SA REPRÉSENTATION 4 s heure Sujets 13 à 16 Mourir sur scène Polynésie, septembre 2009 (Séries ES-S) Corpus 1. A. CAMUS, Caligula, acte IV, scène 14, 1944. 2. E. IONESCO, Le roi se meurt, 1962. 3. L. GAUDÉ, Le Tigre bleu de l’Euphrate, 2002. Annexe : E. IONESCO, « Expérience du théâtre », Notes et Contre-Notes, 1966. Texte 1 Albert Camus, Caligula, acte IV, scène 14, 1944 Caligula, empereur romain dément et sanguinaire, est assassiné en 41 après Jésus Christ par une conjuration

imposante. Le mari, lui, met une grande tunique rouge avec une ceinture. Les broderies sont les mêmes. L’association du dragon et du phénix représente une parfaite harmonie. Les couleurs sombres telles que le bleu foncé, le gris ou encore le noir devaient être évitées pour ne pas attirer la malchance sur le couple. Les couples ayant un budget moins élevé portent des vêtements plus simples. Par exemple, l’épouse peut porter une qipao rouge et dorée et l’époux une tunique dragon. Cependant, de nos jours

Enée blessé Analyse : La fresque n’a ni perspective ni paysage : l’accent est mis sur les personnages placés sur un fond bleu uniforme. Au premier plan se trouvent trois personnages. Au centre, un guerrier blessé est appuyé sur sa lance. Il porte encore son épée de combat à l’épaule gauche. Il se tient debout sur sa jambe gauche pendant qu’un homme agenouillé opère sa cuisse droite avec un scalpel ou un forceps ; à droite le guerrier entoure de son bras un jeune enfant qui pleure. Ce groupe

hijab est formé sur la racine arabe hajaba, qui signifie cacher, dérober aux regards des autres. Ce voile cache les cheveux, les oreilles et le cou, ne laissant voir que l'ovale du visage. Décrété part les musulmans, il est souvent complété par une tunique ou un imperméable. Ce voile s'appelle aussi lithâm (cache-nez) ou encore khimâr, terme générique qui désigne tout ce qui couvre la tête: mantille, châle ou écharpe. Tandis que cette image représente le tchador. Ce vêtement traditionnel

nous dit que le costume emblématique, substitut d'identification, n'a plus aucune importance - notre univers social est saturé de quasi-uniformes ( le patron de IBM a rappelé par écrit à ses ingénieurs qu'ils n'étaient pas obligés de porter complet bleu et chemise blanche, et le marché informatique en est encore tout secoué ) nous connaissons tous les costumes de gauchiste, d'étudiant, de professeur moderne, de femme libérée, de Lacan, d'énarque, d'indigène de l'avenue Poincaré, d'Abbé Pierre (voir