Les Tuniques Bleues

qui avaient lieu à Athènes tous les quatre ans. (Chaque année, lors des Petites Panathénées, on célébrait l'anniversaire de la déesse.) Pendant les Panathénées, on présentait à Athéna, qui était aussi la patronne des tisserands, un nouveau peplos (tunique) tissé par de jeunes filles. La frise illustrait la mise en route de la procession (côté ouest) et les participants à cette dernière (musiciens, cavaliers, prêtres, jeunes filles portant des offrandes, animaux destinés au sacrifice, etc.), qui longeait

porter. - Les hommes Les deux mots d’ordre de la mode chez les hommes sont l’élégance et le confort. Ils portent de longues perruques frisées. Leurs costumes se composent d’un manteau se nommant la casaque et sous celle-ci se trouve une tunique : la cotte. Ils ont la plupart du temps des bas de couleur rouge assortis à leurs vêtements et ils chaussent de hautes bottes ou des souliers pointus qui vers les années 1670 vont se modifier pour y ajouter de hauts talons. Leurs costumes s’enrichissent

faible volume (6.5 cm3), pèse 7 grammes, et a la forme d'une sphère d'environ 24 mm de diamètre, complétée vers l'avant par une autre demi-sphère de 8 mm de rayon, la cornée. Figure 1-1. L'oeil La paroi du globe oculaire est formée de 3 tuniques : • La tunique fibreuse, externe, se compose de la sclérotique opaque en arrière et de la cornée transparente en avant. La sclérotique : c'est une membrane rigide qui donne sa forme à l'oeil. Devant, elle devient la cornée. Membrane fibreuse, résistante

blanc est la lumière, et les anciens en avaient fait la couleur de la divinité : les Egyptiens enveloppaient les défunts dans un linceul blanc pour montrer que la mort délivre l’âme pure de son enveloppe charnelle périssable. Chez les Hébreux, la tunique de lin blanc représentait la pureté du Sacrificateur et la justice divine. A Rome, le blanc était la couleur des vestales (prêtresses qui étaient brûlées vivez lorsqu’elles manquaient à leur voeux de chasteté...). C’était aussi le couleur des druides

incarnat », « mauve », « pourpre » et « rose ». « Je préfère les fleurs roses. » - « des tuniques bleu foncé » ou « bleues foncées » ? Quand deux mots sont utilisés pour former un adjectif de couleur, aucun de ces deux mots ne varie. « Presque toutes ses tuniques étaient bleu foncé. » Si ces deux mots sont eux‑mêmes des adjectifs de couleur, un trait d'union les lie. « Il possédait trois chandails gris‑bleu. » - « -ions » ou « -iions » ? « -iez » ou « -iiez » ? Les verbes qui, au présent

a) Préparation du matériel et tenue de l’aide-soignante. L’Aide-Soignante (AS) est vêtue d'une tunique pantalon, de chaussure lavable, d’un collier, ses cheveux sont lâchés (retenue par un bandeau) et porte des boucles d’oreilles pendantes qui arrivent tous deux au niveau de sa nuque. L'AS qui est dans le couloir s’habille pour rentrer dans la chambre. Elle met une sur-blouse (bleu, manche longue, descendant en dessous des genoux) qu’elle attache dans son dos puis met une première paire

banderole porte sabre et un sabre. L'homme au chapeau haut de forme. Autoportrait de Delacroix qui était issue d'une famille bourgeoise. L'homme au foulard noué sur la tête a une blouse bleu et une ceinture rouge de paysan. Il saigne sur le pavé et se redresse devant l'allégorie de la liberté. Le gilet bleu, l'écharpe rouge et la chemise blanche rappel les couleurs du drapeau triclore. Les soldats. Au premier plan à gauche, un soldat est mort, dépouillé de son pantalon, les bras étendu. Il

laissant voir sa poitrine, le terrain est détérioré (pavés, pierres, bois, etc) mais elle est pourtant pied nus. Cette tenue la rend différente, spéciale. Cette femme tien à sa main gauche un fusil à baïonnette, et à sa main droite le drapeau tricolore (bleu-blanc-rouge) qu'elle agite, probablement, et son visage est aussi tourné vers le peuple, peut être pour lancer un signal d'assaut. C'est cheveux sont noués et coiffée d'un bonnet rouge, plus principalement appelé le bonnet phrygien (symbole révolutionnaire)

impressionniste. Composition Au premier plan, des cadavres gisent sur plusieurs autres, à gauche celui d’un homme dénudé, sûrement un soldat, dépouillé de son pantalon, les bras étendus et la tunique retroussée. On retrouve des couleurs du drapeau (ses chaussettes bleus et sa tunique blanche). Barricade  signature du personnage. Puis à droite sur le dos, le cadavre d’un garde suisse, en tenue de combat et face contre terre celui d’un cuirassier. La foule marche

équitablement et aimait Azur comme son fils. Les années passaient et Azur devenait un jeune enfant resplendissant. Ses cheveux étaient courts et dorés comme les rayons du soleil. Mais l’attention était retenue par ses yeux vifs et étincelants d'un bleu presque insoutenable. Asmar, son frère de lait, était un jeune enfant curieux et fier. Lui était brun, avec des cheveux courts et ondulés, du même noir qui se reflète la nuit sur les ailes du corbeau. Ses yeux étaient d’un sombre profond. La jeune