Les Ultraroyalistes

Sainte-Hélène, il devint Pair de France et Ministre d'État. Mais, en 1816 après avoir critiqué le pouvoir, il fut privé de son poste et des revenus qui y étaient attachés, et dut vendre la Vallée-aux-Loups. Il se jeta dès lors dans l'opposition ultraroyaliste et devint l'un des principaux rédacteurs du Conservateur, le plus puissant organe de ce parti. Le meurtre du duc de Berry, en 1820, le rapprocha de la cour. Il fut nommé la même année ministre de France à Berlin, puis ambassadeur en Angleterre

de ce durcissement, de ce retour en arrière : la réaction qui va se poursuivre avec le futur roi. Le 16 septembre 1824 Louis XVIII meurt, Le comte d'Artois son frère monte sur le trône : il devient Charles X. Ce nouveau monarque fait partis des Ultraroyaliste et cléricaux, il admire l'Ancien Régime. Il est contre les idées révolutionnaires dont il entend "fermer les dernières plaies". 27.28.29 juillet 1830 : Les trois glorieuses sont la conséquence de 4 ordonnances édictées par Charles X. " La France

l’Ancien régime au congrès de Vienne en 1814 et 1815 pose des difficultés et des désaccords au sein des peuples d’Europe. La France se veut renouée avec la monarchie à la suite de la Charte mise en place par Louis XVIII qui va alors a l’encontre des ultraroyalistes qui eux souhaitent un retour à la monarchie absolue ce qui laisse des libertés en France ainsi que du changement malgré les rapides oppositions des antagonistes à la Révolution et au libéralisme. Néanmoins, ce redécoupage de l’Europe ne tient

d'État et pair de France ; mais ayant, dans La Monarchie selon la Charte, attaqué l'ordonnance du 5 septembre 1816 qui dissout la Chambre introuvable, il est disgracié et perd son poste de ministre d'État. Il se jette dès lors dans l'opposition Ultraroyaliste, et devient l'un des principaux rédacteurs du Conservateur, le plus puissant organe de ce parti. Le meurtre du duc de Berry, en 1820, le rapproche de la cour : il écrit à cette occasion des Mémoires sur la vie et la mort du duc. En 1821, Il est

�n�o�t�a�m�m�e�n�t�, la loi Gouvion Saint-Cyr, imposant aux futurs officiers l'entrée par concours dans uneécole militaire ou le passage par les fonctions de sous-officier, et plusieurs lois sur la presse abolissant censure et autorisation préalable. - Les ultraroyalistes (ou "ultras"), qui souhaitent un retour à l'Ancien Régime et refusent l'idée même de la Charte. Ils disposent d'une majorité écrasante dans la Chambre élue en 1815 ("Chambre introuvable"). Avant d'être dissoute en 1816, cette Chambre prône l'exécution

expérience parlementaire paradoxale (octobre 1815-septembre 1816) : Plusieurs tendances politiques vont se révéler après la chute de Napoléon : - les ultraroyalistes, partisans du retour de l'Ancien Régime. - les libéraux, davantage enclin à un compromis entre liberté moderne et ordre d’Ancien Régime. Après l’abdication de Napoléon, les ultraroyalistes qui sont du côté du roi vont instaurer (pour stopper la Révolution qui renverse les partis) la Terreur blanche contre les Bonapartistes et les anciens

sous l’Empire il la défend dans des articles et dans son discours de l’académie française. Sous la Restauration il défend la liberté de la presse. Il est alors inclassable dans le domaine politique. Sous la restauration, il était « ultra » (= ultraroyaliste). Il est considéré comme hostile à la liberté. Il n’est ni dans un camp ni dans l’autre. Il estime que le retour à l’AR est impossible. « Il ne faut pas être un demeurant d’un autre âge ». Chapitre 2 : La montée du socialisme L’inspiration

en trois. Les Contres-révolutionnaires condamnaient la révolution en bloc et affirmait que la terreur était indissociable des principes de 1789, affirmation allant dans le sens d'une pensée catholique et royaliste favorable à la naissance des Ultraroyalistes. La pensée contre-révolutionnaire se développe très vite, avec Edmund Burke qui prédira la dictature française dés 1790, ainsi qu'avec Jacques Mallet du Pan, Joseph de Maistre et Louis de Bonald. Ne pouvant s'exprimer pacifiquement, sa presse

Dans cette partie, c’est donc le Père Sorel, rusé et malin qui domine Mr. De Rénal sur la négociation et au-delà de cette échange Mr. Sorel semble prendre une revanche sur les ultraroyalistes. II) Le repli (ligne 31-51 fin)Tout d’abord, on peut observer l’énervement du maire qui ne support plus cette négociation. En effet, on a le champs lexical de la colère, je cite : « Finissons-en » ; « la colère lui donnait

transmission héréditaire avec laquelle elle se partage le pouvoir législatif. Si Louis XVIII essaie durant son règne de donner un semblant d’équilibre à un régime à vocation inégalitaire, l’assassinat du Duc de Berry, la montée en puissance des Ultraroyalistes et enfin l’arrivée au pouvoir de Charles X en 1824 consacre la dérive absolutiste de la monarchie restaurée. Les différents partis de l’opposition, royalistes modérés, républicains et Bonapartistes s’unissent contre le régime totalitaire et liberticide