Les Ultraroyalistes

Chambre en place et déstabilisant Charles X, qui se croit populaire. Alors seulement, les Parisiens se révoltent et, après la Révolution de Juillet 1830, Charles X abdique et s'exile. 1822 Loi répressive sur la presse En 1822 est votée par les ultraroyalistes la loi qui censure la presse opposante. 1830 Révolution de Juillet ( les Trois Glorieuses ) et Louis-Philippe Les Parisiens montent des barricades dans toute la capitale, se battant contre les troupes de Charles X, ayant voulu faire

En juillet-octobre 1815 la Terreur blanche frappe surtout des fidèles de l’Empereur: bourgeois protestants, républicains ou bonapartistes sont victimes des représailles catholiques et royalistes. En août il y a une élection d’une chambre ultraroyalistes, la “Chambre introuvable”, qui pratique une politique de réaction; Louis XVIII la dissout en septembre 1816 et fait place à une Assambleé plus modereé. B.2.2.- Gouvernements des constitutionnels (1816-1820). Louis XVIII fait appel à des

politique ultra de Charles X Le 24 mai 1825 Charles X est sacré à Reims, une nouvelle période de compressions des libertés s’amorce. Le premier coup porté au régime parlementaire est fort : par Ordonnance, le 8 août, le prince Jules de Polignac, ultraroyaliste, est appelé à la tête du ministère. Le conflit éclate et Charles X dissout la Chambre le 16 mai 1830. Le droit de dissolution est conforme à l’usage parlementaire, en revanche Charles X ne prend pas en compte le verdict électoral. La rupture est

Le Romantisme et le Mal de siècle La période de la Restauration est traversée de courants contradictoires. Aidés des congrégations religieuses qu’animent les principes de la Sainte-Alliance, les ultraroyalistes remettent en cause les conquêtes de la Révolution et de l’Empire. La bourgeoisie libérale, positiviste et matérialiste, forte des progrès scientifiques, préside à l’éclosion d’un monde nouveau. Le moderne s’oppose à l’ancien. En art, le classique s’oppose au romantique. La France s’ouvre

politique assez trouble : - Une partie des Français fidèles à la révolution et à l'empire refusent le retour des bourbons en Louis 18, l'autre partie est quant à elle fidèle a louis 18. Et subissent toutes deux la pression et les attaques des ultraroyalistes. - Le gouvernement est assuré tour a tour par des tendances rivales, chacune apportant une nouvelle loi sur la presse. Et parmi les 4 ordonnances publiées par Charles 10, (1824-1830), l'une d'elle,(ordonnance Polignac), prévoie de supprimer toutes

publie La Monarchie selon la Charte, où il attaque l'ordonnance du 5 septembre 1816 qui dissout la Chambre introuvable, il est disgracié et perd son poste de ministre d'État. D’octobre 1818 à mars 1820 il se jette dès lors dans l'opposition ultraroyaliste, et devient l'un des principaux rédacteurs du Conservateur, le plus puissant organe de ce parti royaliste opposé à Decazes, devenu président du Conseil le 19 novembre 1819. Le meurtre du duc de Berry, en 1820, le rapproche de la cour : il écrit

Révolution. En juillet−octobre 1815 la Terreur blanche frappe surtout des fidèles de l'Empereur: bourgeois protestants, républicains ou bonapartistes sont victimes des représailles catholiques et royalistes. En août il y a une élection d'une chambre ultraroyalistes, la Chambre introuvable, qui pratique une politique de réaction; Louis XVIII la dissout en septembre 1816 et fait place à une Assambleé plus modereé. B.2.2.− Gouvernements des constitutionnels (1816−1820). Louis XVIII fait appel à des modérés:

foule. X. Aube Victor Hugo décrit le paysage d'un lever du soleil. Puis il critique Troplong et Baroche. XI. Vicomte de Foucault, lorsque vous empoignâtes L'auteur semble faire référence au conflit qui opposa Jacques-Antoine Manuel aux Ultraroyalistes. Puis il critique le régime impérial, et Napoléon III, qui corrompt le système politique. XII. A quatre prisonniers Victor Hugo s'adresse à ses fils et à ses deux amis qui ont été jugés coupables et emprisonnés suite à leur opposition au

appliquée. Enfin, il dispose à l'article 14 de la charte du droit de légiférer par ordonnance « pour l’exécution des lois et la sûreté de l’État » . Cette esquisse de régime parlementaire est cependant remise en cause par Charles X qui, étant ultraroyaliste, "vivait sur l'idée que la souveraineté n'appartenait pas à la nation mais à lui-même" (B. Chantebout, Droit constitutionnel). En 1829, alors que la chambre n'est pas "ultra", ce Roi nostalgique de l'Ancien Régime met en place un gouvernement

privé, mais Napoléon supprimera dès 1807, l’étude de droit constitutionnel qui traite des régimes politiques et qui les classe notamment en régimes autoritaires. En 1819, l’enseignement du droit public est restauré mais dès 1822, le gouvernement ultraroyaliste le supprimera une nouvelle fois. En 1834, Guizot sera à l’initiative de la création d’une chaire de droit constitutionnel en espérant que l’enseignant fera l’éloge de la charte de la monarchie de juillet. Le cours en question sera confié à Pellegrino-Rossi