Les Verrières

Séance 6 Julien garde d’honneur Julien Sorel est précepteur des enfants de M. de Rênal, le maire de Verrières, dans le Jura. Il est devenu l’amant de Mme de Rênal. Lors de la visite à Verrières d’un roi étranger, Madame de Rênal obtient de son mari que Julien fasse partie de la garde d’honneur. Le jeune homme défile donc à cheval, sous un uniforme militaire ; il peut ainsi, pour quelques heures, réaliser son rêve le plus cher : s’identifier aux officiers de napoléon, qu’il admire secrètement

précurseur du Réalisme. Il s’emploie à décrire les travers de la politique telle qu’ils le furent réellement à l’époque en se basant sur des faits divers tels que celui de l’affaire Berthet qui l’inspira fortement pour sa chronique de 1830. Résumé : Verrières, à l’époque de la Restauration française… Julien Sorel est le cadet d’une famille de charpentiers, de père en fils, et est méprisé par son père et ses frères pour son goût des livres au détriment de celui des travaux manuels. Julien nourrit une

historiques depuis le 28 décembre 1984. Le bâtiment rassemble quatre matériaux : La pierre (pour la façades et ses statues), le fer (comme structure porteuse), la fonte (notamment pour l'ornement des colonnes intérieures) et le verre (avec deux grandes verrières sur la façade pour offrir de la légèreté et de la transparence). Cette gare a connu une réhabilitation de son intérieur, et des travaux de façade en 2006. Des feuilles d'or furent ainsi posées, comme le projet de Laloux le prévoyait à la base.

Stendhal – Le rouge et le noir • Auteur Stendhal (Marie-Henri Beyle) • Titre Le rouge et le noir • Date oeuvre 1830 • Résumé Julien Sorel, jeune provincial de Verrière sur le Doubs issu d’un milieu modeste et artisan est fortement impressionné par sa lecture du Mémorial de Sainte-Hélène qui le convainc que, depuis la Révolution, la place dans la société ne dépend plus de la naissance mais du mérite. Il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte et fait montre d’une

le rouge et le noir -         Le « sort à venir » contraste avec «  le souvenir encore présent des 24h qu’il venait de passer à Verrières ». On remarque ici que tous les temps sont réunis : passé, présent, futur. -         Il repense à ce qu’il s’est passé chez Mme de Rénal. Se perd en hypothèse (« que serait-il » «  si ») sur ce qu’il aurait pu se passer. Il se rend compte qu’il aurait pu être découvert, qu’il était en danger => se voit comme un brave. On remarque que la scène se répète lorsqu’il

Le narrateur donne son avis sur l’opinion publique de province.Il fait un commentaire sur un trait de caractère particulier, sur la mentalité des gens de Verrière. Selon l’auteur, il serait conservateur et fermer à la nouveauté.Il utilise le présent de vérité général.Dans cette société du 19ème siècles, sous le règne de Louis 18, les travailleurs, les maçons...etc sont mal vueon voit qu’il y a un refus de

Sorel pour lequel il n'éprouve pas des sentiments précisément " filiaux ". Dans son village de Verrières il est distingué par le curé Chélan à cause de son intelligence. Il a appris un peu de latin et l'histoire avec un chirurgien major libéral, et rêve de la gloire d'un Napoléon, mais songe à parvenir en entrant dans les ordres. Il devient d'abord précepteur des enfants de M. de Rênal maire de Verrières, et réussit à gagner le cœur de la pure et charmante Mme de Rênal. Son entreprise de séduction

d’une telle actualité que l’on ne sait pas très bien par où le prendre. Limitons-nous à l'intrigue pour commencer. Monsieur de Rênal est industriel à Verrières, en Franche-Comté. Il s’est fait une belle fortune. Il est aussi maire de sa commune. Julien Sorel, lui, est le plus jeune fils du " père Sorel " qui a une petite scierie également à Verrières. Il a étudié et envisage comme possible une position ecclésiastique. Quant à Madame de Rênal, c'est une femme peu compliquée, ne manquant pas de jugement

l’incipit du roman, nous nous retrouvons directement face à la description de Verrières par Stendhal. Ce dernier nous indique par exemple que «cette petite ville peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté». Bien que Verrières soit une ville fictive et entièrement imaginée par le narrateur, elle nous permet de nous immerger dans la province du XIXe siècle ce qui rend le début du roman d’autant plus captivant. Verrières fait aussi l’objet d’une grande description; Stendhal se plaît à se pencher

Verrières (livre premier, chapitres I à XXIII) Avant le début du roman, Stendhal, comme à son habitude, fait figurer un « Avertissement » qui souligne que le texte a été composé pendant les événements de 1830 et écrit en 1827, soit pendant l’affaire Berthet. L’histoire débute par le récit d’un promeneur qui découvre la « jolie ville au bord du Doubs » qu’est Verrières, les scies à bois sur la rivière, la fabrique des toiles peintes et surtout celle de clous qui appartient à Monsieur le maire, décrit