Les Vices Dans Candide De Voltaire

notre gloire ; Il faut à l’oublier mettre aussi tous nos soins : Si l’on n’en vient à bout, on le doit feindre au [moins ; » - « Couvrez ce sein que je ne saurais voir : » DOM JUAN-MOLIERE - « L'hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. » BAJAZET- RACINE - « Que ne puis-je avec elle expirer de douleur. » - « Ah ! Destins ennemis, où me réduisez-vous ? » - « Ni la mort ni vous-même, Ne me ferez jamais prononcer que je l’aime, Puisque je n’aimerai

telle qu’elle est, sans fioriture ni embellissement. Ils vont s’intéresser à toutes les couches sociales, y comprit les milieux populaires. Cette description aussi exacte que possible de la société peut aussi prendre une dimension satyrique où les vices humains de l’époque sont mis à nus et permet au lecteur d’en prendre conscience. En outre, afin de parvenir à cette illusion référentielle (ou illusion du réel) qu’ils revendiquent, les auteurs réalistes procèdent à de descriptions exhaustives, en

l'ensemble des règles de conduite et de mœurs propres à la morale. Une des plus grandes de ces personnes est Molière. Il disait : « le but de la comédie est de corriger les mœurs » (« Castigat ridendo mores »). La comédie se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant », dit Molière. Cet auteur célèbre français, tout en faisant rire les spectateurs tournait en ridicule les travers humains. Il a ainsi critiqué les faux dévots et les crédules dans Tartuffe ou l'Imposteur, l'avarice dans

Condorcet, Réflexions sur l’esclavage des Nègres E Contre l’esclavage ................................. 190 Voltaire, Candide ; Dictionnaire philosophique, « Guerre » E Contre la guerre ..................... 191 Voltaire, Dictionnaire philosophique portatif, « Torture » ; Beccaria, Des délits et des peines E Contre la torture ................................................................. 193 Voltaire, Lettre à Damilaville ; D’Holbach, Encyclopédie, « Prêtres » E Contre l’obscurantisme religieux ....

xvie siècle par Thomas More, présente un lieu imaginaire afin de donner l'image d'une société idéale et, par contrecoup, une critique du monde réel. Ce genre connaîtra encore un grand succès au xviiie siècle, repris par exemple par Montesquieu ou Voltaire. Fénelon, déjà, à la fin du xviie siècle, en propose une dans son roman Les Aventures de Télémaque. Au cours du septième livre, Télémaque et son précepteur Mentor rencontrent un capitaine de navire dont le frère Adoam leur décrit un pays merveilleux

de « Moi » s'oppose le réalisme cynique de « Lui » qui refuse toute morale pour ne connaître que son intérêt personnel exprimant l'immoralité et l'hypocrisie de la société.Histoire de la satire : en latin, un « mélange » attaquant les vices, les ridicules des contemporains de l'auteur pour une critique politique, sociale, religieuse et idéologique. L'introduction   non-rédigée les éléments pris en notes phrase d'accroche publication posthume

défauts et ses vices, il cherche à dévoiler sa fausseté, son incohérence. Le rire satirique comporte du mépris, parfois même de l'agressivité, mais la satire implique une distance, un détachement. À travers cette dénonciation, l'auteur satirique poursuit un but précis: corriger le monde, rétablir un ordre perdu. Le discours satirique comporte donc deux aspects: d'une part, il y a la dynamique du rire et, d'autre part, la «morale» ou la leçon . Par exemple, dans Candide , Voltaire utilise la satire

lui-même. Deuxièmement, nous parlerons des oeuvres plus optimistes pour contredire Fernandez. Les comédies ont émergé tout d’abord dans la Grèce Antique, c’était un divertissement, un véritable art mais aussi une manière d’instruire la société des vices et vertus de la vie. Le plus grand dramaturge de comédies de l’époque, Aristophane, était extrêmement populaire et ses oeuvres amusaient beaucoup. Lysistrata met en scène des femmes au foyer qui se révoltent de leur destin qui consistait à s’occuper

pain à la sueur de ton front » dit Dieu à Adam dans la Genèse. Le travail même si il est comparé à une malédiction il est inévitable, c'est une nécessité vitale, rien de ce dont nous avons pour vivre ne nous est donné. Comme le dit si bien Voltaire dans Candide : «  Le travail éloigne de nous trois grands maux: l'ennui, le vice et le besoin. ». Cela nous montre donc bien que le travail est obligatoire dans la société pour survivre. Cependant lorsque l'on tient le travail comme une malédiction et que

contrainte et la servitude empêchent | | | |l'épanouissement possible grâce à la liberté.| |Antithèse ; opposition des termes |faits vertueux...vices ; bien nés/vice | | B) Une vision nouvelle de l'espace religieux (satire de la société dans laquelle vit l'auteur). |Vocabulaire religieux |abbaye ; vice, vertu, vile, vertueusement