Les Yeux dans les Bleus

INCIPIT ORIGINAL A/ Mise en place du cadre spatio-temporel 1. Repères temporels a/ La mention d'une date : « hiver 1909-1910 » crée un effet de réel pour authentifier le monde qui suit, mais, il s'agit d’une date du calendrier chrétien : ces hommes bleus, qui ne sont encore désignés que par le pronom "ils", entrent dans l'histoire avec des dates qui ne correspondent pas à leur histoire réelle, cette date est donc discordante. b/ La date : 1909/1910 :c’est l’histoire vraie de la montée vers

chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée ; Il avait pour asile, il avait pour appui Une blanche aubépine, une fleur, comme lui Dans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux ! Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus Comme le ciel et comme l'onde, Pour que dans leur azur, de larmes orageux, Passe le vif éclair de

d’antan á la destruction, au malheur, au désespoir causée par l’invasion turque. 2)La description de l’enfant et l’offre du poète 1)Dans la deuxième strophe, en utilisant le groupe nominal complément de nom aux yeux bleus, Victor Hugo décrit l’apparence physique de l’enfant ; ses yeux bleus symbolisent l’innocence et la sérénité désormais perdues de ce jeune grec. Grâce aux épithètes lié et détaché (grec et assis), l’auteur nous renseigne sur l’identité et la posture du garçon .Il est assis car désespéré

parents, venons-en à en parler un peu d'eux : ma mère Pierrette, rousse, yeux bleus, 1m68, est très très mère-poule, attention si vous avez cinq minutes de retard, c'est le genre à vous appeler pour vous demandez ce que vous faites, je n'ai qu'une chose à dire : Madredious !! En plus elle dit souvent non vous savez comme sur Facebook : « Maman est-ce que je peux.. -Non ! » Madredious Et mon père, ah mon petit papa, bruns yeux bleus, 1m81, & lui c'est le genre qui dit oui tout le temps, quand c'est

de l'autre coter de la mer pour délivrer la fée des djinns . Son père était trop âgé pour le retenir il parti avec un bateau mais il fait naufrage et tombe dans un clan pauvre mais il avait des yeux bleus et dans leur pays les yeux bleus porte malheur et ces pauvres partent car ils avaient peur des yeux d'Azur . Azur s'endormit et au réveille il fait semblant d'être aveugle pour ne pas faire peur au gens. Un pauvre gitan lui demande de l'aide parce que lui aussi voulait aller délivré la fée

chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée ; Il avait pour asile, il avait pour appui Une blanche aubépine, une fleur, comme lui Dans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux ! Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus Comme le ciel et comme l'onde, Pour que dans leur azur, de larmes orageux, Passe le vif éclair de la joie

quelquefois Un chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée ; Il avait pour asile, il avait pour appui Une blanche aubépine, une fleur, comme lui Dans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux ! Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus Comme le ciel et comme l'onde, Pour que dans leur azur, de larmes orageux, Passe le vif éclair de la joie et

plutôt blond aux yeux verts alors que ses parents était tous deux bruns aux yeux noirs. Un jour lorsqu'il était sous son arbre habituel à regarder tout ces enfants jouer, une bande de 4 mioches vint vers Cyril : - Salut, moi c'est Loris Fournier, dit le premier des quatre, il devait avoir 12 ans. Il était blond aux yeux bleus et a la peau bronzée. On est tous frères et sœurs continua-t-il, - Hello ! Moi c'est Célia chantonna une enfant d'une dizaine d’année, elle avait les yeux verts et aux

résolue vers le côté féminin : « le sexe avait hésité », « hermaphrodite », « comme une femme » sont des expressions ambiguës mais tournées vers le côté féminin. Cela est renforcé par une progression allant de l’expression vague « air fille » jusqu’à « yeux de filles » qui est plus ambigu. Cette ambiguïté est augmentée d’une série de termes : les termes « mince et joli », « la race s’affinait » et « devenait délicate » suggèrent la délicatesse, la finesse féminine. L’image de son regard (« douceur du

chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée ; Il avait pour asile, il avait pour appui Une blanche aubépine, une fleur, comme lui Dans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux ! Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus Comme le ciel et comme l'onde, Pour que dans leur azur, de larmes orageux, Passe le vif éclair de