Les Yeux dans les Bleus

le bleu de l’arc-en-ciel, a des longueurs d’ondes précises entre 480 et 460 nm, l’indigo, lui, va de 450 à 440 nm et ils sont suivis du violet dès 430 nm. Ce que nous voyons bleu, un objet bleu par exemple, est bleu parce qu’il réfléchit les rayons bleus de la lumiere qui l’atteint et absorbe les autres. Les couleurs sont perçues par les cones de la rétine. Difficile à produire , les progrès de sa fabrication sont faibles jusqu’au 12è siècle. Le bleu des Egyptiens était fabriqué à base de cuivre

nommée Jénane qui élevait deux enfants. L'un s'appelait Asmar, le fils de la nourrice aux yeux noirs et l'autre était Azur, le fils du châtelain aux yeux bleus. La nourrice les élevait équitablement et aimait Azur comme son fils. Les années passaient et Azur devenait un jeune enfant resplendissant. Ses cheveux étaient courts et dorés comme les rayons du soleil. Mais l’attention était retenue par ses yeux vifs et étincelants d'un bleu presque insoutenable. Asmar, son frère de lait, était un jeune

dans le visage, auquel il mettait de longs coups de pinceau d'or. Il était haut et fin. Les cheveux fanés et la barbe blonde un certain prestábanle pareil avec Saint Jean un Évangéliste. Mais ce qui m'a plus impressionné c'était ses yeux, merveilleusement purs et bleus, pleins de douceur , Il était un peintre. Cet homme était un artiste. Un vrai artiste. Il parlait de son art, de ses idéaux, avec une ferveur religieuse, comme un prêtre peut parler de son culte. Malgré sa connaissance profonde

portait une chemise à carreaux, un jean usé au niveau des genoux ainsi que des bottes montantes marrons, la montre plaqué or fixée à son poignet droit indiquait 14h23, quant à son visage il restait dans l’ombre ne laissant apparaître que de petits yeux bleus et des dents d’une blancheur éclatante. Il sortit du bar et se retrouva dans les rues de Portland, il décida d’aller à son appartement se changer. Une fois chez lui, il opta pour un sweat gris à capuche, un jean bleu délavé et des baskets noires

Un chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert : mais non, seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis Courbait sa tête humiliée. Il avait pour asile, il avait pur appui Une blanche aubépine, une fleur comme lui Dans le grand ravage oubliée. -Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux ! Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus Comme le ciel et comme l’onde, Pour que dans leur azur, de larmes orageux, Passe le vif éclair de la joie

donner son sang Allez donner le vôtre Vous êtes bon apôtre Monsieur le Président Si vous me poursuivez Prévenez vos gendarmes Que je n’aurai pas d’armes Et qu’ils pourront tirer. Boris Vian (1920 - 1959) Bêtise de la guerre Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille, Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons, Toute pleine du bruit furieux des clairons, Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie, Hideuse, entraîne l’homme en cette ivrognerie, Nuée

scientifiques et surtout objectives existant sur ce problème. J’ai essayé d’en faire un résumé et d’en tirer ce qui peut être intéressant du point de vue de l’élevage, à savoir : Vérifier si certaines idées qui circulent sur la relation couleur des yeux / présence de tache colorée / longueur de poil / surdité sont fondées ou non. Essayer de comprendre ce qui se passe ou du moins repérer les facteurs de risques afin d’organiser la reproduction de manière à diminuer la fréquence d’apparition de chatons

deux histoires racontées simultanément qui semblent au premier abord complètement indépendantes, l’une en 1910 et celle d’un jeune homme qui se nomme Nour.Il fuit avec ses parents les chrétiens, qui veulent à tout prix soumettre son peuple les hommes bleus. L’autre histoire est celle de Lalla, jeune femme du désert, qui est orpheline et qui vas tenter de fuir avec son amoureux car elle est contrainte par sa tante à un mariage forcée. Cette histoire se déroule en partie dans le même cadre géographique

soir quelquefoisUn chœur dansant de jeunes filles.Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis,Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis,Courbait sa tête humiliée ;Il avait pour asile, il avait pour appuiUne blanche aubépine, une fleur, comme luiDans le grand ravage oubliée. Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux !Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleusComme le ciel et comme l’onde,Pour que dans leur azur, de larmes orageux,Passe le vif éclair de la joie et des

mieux est de laisser le lecteur décider de ce qu'il veut croire ou non. Cette histoire vient peut être de mon imagination mais chaque jour des hommes sont condamnés à la peine de mort,ce que je trouve révoltant. J'éspère qu'un jour la Franceouvrira les yeux, et se rendra compte qu'en enlevant la vie à des hommes, même les pires, nous devenons nous mêmes des meurtriers. J: En effet nous savons que vous êtes très engagé politiquement: Les Turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil. Chio, l'île des