Lettre 81 Relation Hommes Femmes

qui agence les correspondances. La préface où il se présente comme le passeur des lettres est un subterfuge. Les lettres en elles-mêmes permettent de nouer et d’entretenir une liaison interdite par la société ou impossible par la parole. La lettre divulguée est une défaite pour celle qui l’a écrite et entraîne une déchéance sociale. (Mme de Merteuil pour avoir transgressée sa règle énoncé dans la lettre (81) « Ne jamais écrire » subira une déchéance sociale qui l’obligera à l’exil. 2)

seconde partie, à la lettre 70, envoyée par Valmont à Mme de Merteuil, et datée du 11 septembre 17** (sachant que la première lettre est envoyée le 4 août 17**et la toute dernière du 14 janvier 17**). L’action est donc bel et bien commencée puisque nous sommes au moment, où juste avant, Mme de Merteuil a dénoncée la relation qu’entretenait Danceny avec Cécile, à Mme de Volanges sa mère. Dans cette lettre 70, Valmont y décrit un diner passer en la compagnie de Prévan. Cette lettre, et par conséquence

droit que l'homme les femmes ne se révoltent pas car elles sont comme formatées dans cette culture Kwei-Lan, l'héroïne est éduquée pour plaire à son mari, ainsi que à la famille de son mari Mes attentes pour la suite : savoir comment s'est déroulé le mariage ? Et comment Kwei-Lan va t'elle faire pour plaire à son mari Jeudi 6 mars : Chapitre II : ma première impression sur le frère de l'héroïne est qu'il a l'air un peu macho les hommes peuvent rendre visite aux femmes, mais pas le contraire

Lecture analytique : extrait lettre 81 des Liaisons Dangereuses- 1782 Travail préalable : 1) Comparez le premier paragraphe et les § suivants : quel sentiment transparaît dans ce premier paragraphe ? Par quels moyens est-il exprimé ? 2) Relevez les passages qui décrivent la condition des jeunes filles dans cette société. 3) Montrez que cette lettre est le récit d’une éducation. Quelles en les étapes successives ? Quelles sont les finalités de cette éducation ? 4) Quel champ lexical

clans : les libertins manipulateurs (Valmont et Merteuil) face aux vertueux (Volanges, Rosemonde, Tourvel). La vertu, sous la plume de Laclos, semble n'être exigée que des jeunes femmes. D’autre part, cette vertu peut prendre dans les LDD un visage plutôt ridicule, inhumain, froid et peu épanouissant : en effet, les femmes vertueuses sont des dévotes, des prudes dans ce roman. Il ne faut pas oublier que vertu ne signifie pas impeccabilité, absence de péché, mais capacité à juger le mal et à réformer

Elle est de bons conseils et elle met en garde la Présidente sur l’amour des hommes, mais jamais ne juge la relation Valmont-Tourvel qui lui rappelle les aventures de sa jeunesse. En effet Mme de Rosemonde connaît bien les hommes et elle prévient Tourvel de leur égoïsme et de leur superficialité pour ce qui est des sentiments et qui ne veillent qu’à leur propre bonheur et plaisir contrairement aux femmes. (cf. L.130 : « Ne croyait pas, ma chère Enfant, que leur amour soit semblable

____________________________________________________________ _____________________ ‘’Les liaisons dangereuses ou Lettres recueillies dans une société, et publiées pour I'instruction de quelques autres’’ (1782) Roman épistolaire de cent soixante-quinze lettres, et 390 pages Les lettres sont précédées d'un ‘’Avertissement de l'éditeur’’ et d'une ‘’Préface du rédacteur’’. Le roman s’ouvre sur une lettre de la jeune Cécile de Volanges, qui va sortir du couvent pour être mariée à un certain Gercourt

|M |1. son orgueil démesuré, son narcissisme |Lettre 81 « qu’ai-je de commun avec ses femmes inconsidérées ? » | |E | |« je puis dire que je suis mon propre ouvrage » | |R | |Omniprésence des marques de 1ère personne | |T

(il écrit seulement quelques contes en vers dans la tradition de La Fontaine, deux livrets pour l’Opéra). Son modèle est Rousseau. Il choisit comme épigraphe aux Liaisons la phrase de Rousseau : « j’ai vu les mœurs de mon temps et j’ai publié ces lettres ». Militaire de carrière, il prend un congé pour l’écrire. Son objectif est d’écrire une œuvre qui lui permette de passer à la postérité. Frustré dans ses espoirs de promotion militaire, il a pensé trouver dans la publication d’un roman à succès,

paraissent Les Liaisons dangereuses, qui remportent un immense succès. Cinq ans plus tard, il provoque un scandale en critiquant les théories de Vauban sur l’art des fortifications (Lettre à MM. De l’Académie française sur l’éloge de M. de Vauban). Ceci s’ajoute à des essais audacieux sur les droits des femmes (De l’éducation des femmes). Il doit quitter ses fonctions militaires. Pendant la révolution française, commissaire aux armées, il contribue à la victoire de Valmy. Il est emprisonné sous la Terreur