Lettre De Mac Mahon à Jules Simon Le 16 Mai 1877

Intervention de Gambetta à la Chambre de députés (16 mai 1877) ----------------- Commentaire Contexte : • 16 mai : lettre ouverte de Mac Mahon à Jules Simon qui entraîne la démission de ce dernier • 17 mai : Broglie, nouveau président du conseil. Formation d’un gouvernement de combat qui n’a pas la confiance du parlement. Extraits de l’intervention de Gambetta, chef de file de l’Union républicaine, à la chambre des députés (en majorité républicaine). Dans ce discours, qui s’inscrit

se concentre sur le pb du gvrt. Il verse le prix à payer pour la libérat° du territoire . → une gd popularité réforme financière loi du 27/06/1872 : adoption du service militaire → réorganisat° de l'armé française le problème majeur est le régime// on veut rétablir la monarchie : 31/06/1871 : loi Rivet donne à Thiers le titre de « président de la république » renforce le régime républicain 2) le remplacement de Thiers par Mac-Mahon en mai 1873 les relat° sont de + en + tendu entre Thiers

Qu’est-ce-que la crise du 16 MAI ? Mac Mahon , chef de l’état , envoi une lettre de révocation à Jules Simon , dans le cadre de ce régime parlementaire sous la III ème république, Mahon défenseur du régime parlementaire dualiste , monarchiste, il s’oppose au républicain menée par Gambetta , les républicains eux sont favorables à une régime parlementaire moniste , dans lequel le président à un rôle politique effacée . Lac crise du 16 MAI est une confrontation où mac mahon veut un pouvoir fort et

Dissertation: La crise du 16 mai 1877. « La république est le seul remède aux maux de la monarchie, et la monarchie est le seul remède aux maux de la république », cette phrase de Joseph Joubert exprime bien le débat qui a eu lieu dans les débuts de la IIIème république pour savoir quelle serait la nature du régime. Elle est née le 4 septembre 1870, et a pris réellement forme avec les lois constitutionnelles de 1875, mais ce n'est qu'avec la crise de 1877 que le régime a pris la nature que nous

Le droit de dissolution de 1875 à nos jours M. Hauriou : « Le droit de dissolution est indispensable si l’on ne veut pas que le gouvernement de cabinet dégénère en un gouvernement de la Chambre. » Cette phrase résume en grande partie les conséquences que l’on peut tirer de la IIIe et IVe République. En droit public, la dissolution est la décision par laquelle le pouvoir exécutif met fin avant le terme normal aux pouvoirs d’une assemblée délibérante élue : elle peut être politique, administrative

l’Exécutif » (Carré de Malberg). Cette citation qui a été prononcée dans le contexte de la IIIe République illustre un point de vue politique qui résume assez objectivement la situation politique de l’époque. Il s’agit cependant non pas d’étudier le « parlementarisme absolu », ou du moins pas directement, mais le rôle et la place que joue le Président de la République sous la IIIe République. Le rôle:« une fonction remplie par quelqu’un, une attribution assignée à une institution ». La place : « position

DROIT CONSTITUTIONNEL II Sujet de dissertation : « la ‘’Constitution Grévy’’ » A travers le monde, nous avons uniquement connu des monarchies parlementaires, cependant, pour la première fois, les lois constitutionnelles de 1875 instaurent une innovation remarquable. En effet, ses dernières instaurent une République parlementaire. Une loi constitutionnelle est une loi de révision de la Constitution adopté selon la procédure prévue par cette dernière. L’expression est également employée pour désigner

bouleversantes, la Troisième République a été le régime français le plus durable, le plus libéral & celui qui a permit aux pays de surmonter de redoutables épreuves, comme la Première Guerre Mondiale. Le 6 février 1879, Le président de la République, Jules Grévy tient un discours devant le Sénat, surnommé « la Constitution Grévy ». Jules Grévy a été un emblème due à sa manière d'avoir exercer la fonction de Président de la République. Lors de son mandat, il a mis en place des idées républicaines

en 1891. Brillant avocat de conviction républicaine, Jules Grévy est élu député du Jura en avril 1848. Il acquiert sa notoriété lors des débats relatifs à la Constitution. Le 5 mars 1849, il est élu vice-président de l’Assemblée et réélu le 4 avril. C’est à lui que revient la difficile gestion de la crise parlementaire du 16 mai 1877 provoquée par la démission de Jules Simon, républicain modéré, à laquelle l'a contraint le Président Mac-Mahon. Celui-ci nomme un gouvernement dirigé par Albert de Broglie

France. Après un grand débat entre les monarchistes orléanistes et les monarchistes légitimistes pour savoir qui du comte de Paris ou du comte de Chambord devait monter sur le trône, Mac-Mahon est placé au pouvoir pendant sept ans en tant que Président de la République à titre personnel. Les 24 et 25 février 1875 et le 16 juillet 1875, trois lois constitutionnelles sont adoptées afin d’organiser le régime politique de la France. Ces lois sont le fruit d’un compromis entre les monarchistes et les républicains