Lettres philosophiques

natuurkundige Sir Isaac Newton. Hij bestudeerde Engelands constitutionele monarchie en de religieuze tolerantie aldaar, die weliswaar niet volledig was, maar wel veel groter dan in Frankrijk. Na zijn terugkeer in Parijs schreef Voltaire de Lettres Philosophiques, waarin hij de Engelse gewoontes en instituties prees en het Newtonianisme als alternatief voor Descartes' rationalisme introduceerde. Het boek werd geïnterpreteerd als kritiek op de Franse overheid en in 1734 moest Voltaire Parijs opnieuw

emprisonné sur lettre de cacher pour la deuxième fois à la Bastille. Il s'exile alors en Angleterre où il découvre la grande liberté d'expression du peuple Anglais il se donne alors pour but de réformer la société française à cette image. Critique de la société Français De retour en France il continue son œuvre avec des tragédies comme La mort de César, critique la guerre dans L'Histoire de Charles XII et la chrétienté dans Epîtres à Uranie. Mais c'est en 1734 que ses Lettres philosophiques qui critiquent

Œdipe (1718), Brutus (1730), L'Histoire de Charles XII (1731), Zaïre (1732), Epîtres à Uranie (1733), Lettres philosophiques (1734), La mort de César (1735), Discours sur l'homme (1738), Zadig (1747), Nanine (1749), Le siècle de Louis XIV (1751), La Pucelle d'Orléans (1752), Essai sur les mœurs et l'esprit des nations (1756), Candide (1759), Traité sur la tolérance (1763), Dictionnaire philosophique (1764), Jeannot et Colin (1764), L'ingénu (1767), La princesse de Babylone (1768).

sont pour la plupart des contes, des romans, des essais ou encore du théâtre. Les plus connus qu'il a pu écrire au cours du XVIII-XIXème siècle sont Zadig ou la destinée, Lettres philosophiques, l'Ingénu ou encore Candide ou l'Optimiste. L’œuvre que nous allons étudiée est Candide ou l'Optimiste qui est un conte philosophique. C'est l'histoire d'un jeune homme éponyme qui va découvrir le monde et remettre en cause la philosophie de son maître, Pangloss, et qui va permettre Voltaire, à travers ce

les connaissances de l'époque, visant à vulgariser le savoir et dénoncer le fanatisme, la superstition ou encore, la tyrannie. Il est d'ailleurs question de cela dans l'article « Paix » de l'Encyclopédie, rédigée en 1765 par Damilaville, homme de lettres français du siècle des Lumières ayant notamment côtoyé Voltaire, Diderot et d'Alembert. Conclusion A travers cet article qui aurait du initialement traiter de la Paix c'est en fait un réquisitoire contre la Guerre que nous fait Damilaville

merveille ; car Dieu est "architecte", "horloger" ,"pragmatique", autant dire philosophe... Voltaire est séduit par les théories de Locke ou deNewton qui posent Dieu comme un impératif de la raison pour résoudre l'énigme du monde (lettres XIV et XV des Lettres philosophiques). Ce Dieu-là n'a pas de nom particulier : il est un être souverain, adoré sous des formes variant selon les moeurs et les nations. Au chapitre 12 de Zadig , des convives appartenant à des races et à des religions différentes se

vrai nom François-Marie Arouet, Voltaire est né à Paris. Ses écrits satiriques sur le Régent en 1716 lui valent d'être exilé. Il récidive et est enfermé pour onze mois à la Bastille. Libéré, il prend un nouveau nom, Voltaire. En 1734, ses Lettres philosophiques sont condamnées au feu et lui à la Bastille. Il se réfugie en Lorraine, chez Madame de Châtelet. Puis il séjourne à Paris, publie la satire Le Mondain, qui fait scandale ; Voltaire s'exile en Hollande. En 1744, il est rappelé à Paris, il devient

Article FANATISME Biographie de l'auteur : Ecrivain français du XVII° siècle, encyclopédiste. Son oeuvre est diverse : tragédies, ouvrages critiques, études historiques et contes philosophiques. Il fut historiographe de Louis XV, élu a l'académie française (1746) ce qui ne l'empechera pas de s'exiler régulièrement car il combattit toute sa vie pour la liberté individuelle. Son oeuvre immense est représentative de l'esprit francais des lumières. Voltaire (1694-1778) François Marie Arouet

avant tout former des hommes du monde et initient leurs élèves aux arts de société : joutes oratoires, plaidoyers, concours de versification, et théâtre. Arouet quitte le collège en 1711 à dix-sept ans et annonce à son père qu’il veut être homme de lettres, et non avocat ou titulaire d’une charge de conseiller au Parlement. Introduit par son parrain, l’abbé de Châteauneuf, dans la société du Temple, milieu de bons vivants et de libertins, l’adolescent, négligeant ses études de droit, y acquiert le goût

1778. Il fut un grand écrivain et philosophe français durant le siècle des lumières et se battit contre le fanatisme qui, selon lui, était un des pires fléaux de l'époque. Ses plus grandes œuvres furent : La Henriade, 1728 Zaïre, 1732 Lettres Philosophiques, 1734 L'Enfant Prodigue, 1736 Zadig, 1748 Micromégas, 1752 Candide, 1759 Traité sur la Tolérance, 1763 Petite Digression, 1766 L'Ingénu, 1767 La Princesse de Babylone, 1768 Sa famille est issue d'un milieu bourgeois. Il perdra sa