Lévrier

livre des Propriétés des choses : Etude de l’œuvre : La description : Barthélémy l’anglais à réaliser un lévrier qui se trouve au centre de l’inventaire des animaux, représentés sous forme de grille. On observe cinq colonnes horizontales comportant chacune quatre ou six cases ou sont représentés des animaux. Dans la première colonne ont distingue, un éléphant, un lévrier, un loup, un chien, un lapin et une chèvre. Dans la suivante il y a un cheval, un lion, un bélier et une licorne. Pour

LESBROS Alexia 812 BEAUDET Marie Le Saint lévrier Guinefort, guérisseur d’enfants depuis le XIIIe siècle - Jean Claude SCHMITT - I. A propos de l’œuvre 1. Présentation de l’œuvre et de l’auteur. J. C. SCHMITT : historien français du XX°/XXIe, agrégé d’histoire et ancien élève de l’école des Chartes. Il s’intéresse aux aspects socioculturels de l’Occident médiéval, appréhendés dans une perspective et avec des méthodes anthropologiques, toujours dans

récompensée. En effet, l’histoire de saint Guinefort, basée sur des faits réels, est le récit d’un chien qui a eu le malheur, dans l’exercice de ses devoirs et donc dans sa fidélité, d’être tué par son propre maître ! Saint Guinefort, en fait un lévrier[pic], après avoir protégé l’enfant de son maître couché dans un berceau de l’attaque d’un grand serpent, se fait tuer par son maître, le chevalier de Villars. Le chien avait eu auparavant le temps de tuer le serpent et donc de protéger efficacement

et qui suivent sans varier l'instinct de leur nature ; mais écoutez-moi un moment. Vous dites d'un tiercelet de faucon qui est fort léger, et qui fait une belle descente sur la perdrix : "Voilà un bon oiseau"; et d'un lévrier qui prend un lièvre corps à corps : "C'est un bon lévrier." Je consens aussi que vous disiez d'un homme qui court le sanglier, qui le met aux abois, qui l'atteint et qui le perce : "Voilà un brave homme. [...]

pleins d'énergie, vifs, bruyants, et affectueux. Le Fox Terrier, le Bull terrier ou le Westie, sont des races amicales et très connues. Les chiens courants et les lévriers regroupent des races comme le Saint-Hubert, les teckels, les lévriers, les bassets, qui chassent à l'odorat. Beaucoup sont élevés en meutes dans des chenils. Les lévriers utilisent leur vue et leur capacité à la course. Ce sont des chiens agréables mais qui aiment bien vagabonder. Il existe aussi des chiens « miniatures », des

qui suivent sans varier l'instinct de leur nature ; mais écoutez-moi un moment. Vous dites d'un tiercelet de faucon qui est fort léger, et qui fait une belle descente sur la perdrix : "Voilà un bon oiseau"; et d'un lévrier qui prend un lièvre corps à corps : "C'est un bon lévrier." Je consens aussi que vous disiez d'un homme qui court le sanglier, qui le met aux abois, qui l'atteint et qui le perce : "Voilà un brave homme. "Mais si vous voyez deux chiens qui s'aboient, qui s'affrontent, qui

et qui suivent, sans varier, l'instinct de la nature ; mais écoutez-moi un moment. Vous dites d'un tiercelet de faucon qui est fort léger, et qui fait une belle descente sur la perdrix : «Voilà un bon oiseau» ; et d'un lévrier qui prend un lièvre corps à corps : «C'est un bon lévrier». Je consens aussi que vous disiez d'un homme qui court le sanglier, qui le met aux abois, qui l'atteint et qui le perce : «Voilà un brave homme.» Mais si vous voyez deux chiens qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se

- Les teckels : sont des chiens long et courts sur pattes - Les chiens de compagnie : ce sont des chiens comme son nom l’indique qui servent juste qu’à tenir compagnie à l’homme et ils ne possèdent pas de talent particulier. - Les lévriers : qui sont des chiens spécialisé pour la course. 3) Les chiens aiment le sport donc l’homme en a inventés spécialement pour lui comme : - la course d’obstacle : qui consiste à passer des obstacles avec un temps limité. - le canicross :

et qui suivent sans varier l’instinct de leur nature ; mais écoutez-moi unmoment. Vous dites d’un tiercelet de faucon qui est fort léger, et qui fait une belle descente sur la perdrix: « Voilà un bon oiseau » ; et d’un lévrier qui prend un lièvre corps à corps : «C’est un bon lévrier. » Je consens aussi que vous disiez d’un homme qui court le sanglier, qui le met aux abois, qui l’atteint et qui le perce : « Voilà un brave homme. »Mais si vous voyez deux chiens... [à continuer]

une personne en général, il utilise le pronom personnel « Vous », il s'adresse donc au lecteur : « Voilà un bon oiseau. ». C'est du discours rapporté (discours direct). Ensuite il évoque le combat entre un lévrier et un lièvre. Toujours avec la même construction grammaticale : « C'est un bon lévrier ». Cela se répète encore, avec l'évocation, cette fois ci, de la chasse qui oppose un homme et un sanglier : « Voilà un brave homme ». Ce schéma syntaxique se réitère une ultime fois avec deux chiens, mais