Lexecution Robert Badinter

La peine de mort en France Au XXIe siècle, la peine de mort est encore en vigueur dans de nombreux pays. Plus de vingt ans après son abolition en France, le combat mené par Robert Badinter, infatigable avocat des droits de l’homme, n’a pas encore convaincu toutes les démocraties. Des Etats-Unis à l’Asie en passant par le Proche-Orient, beaucoup de pays recourent encore à la peine capitale comme moyen ultime de châtiment. La France, quant à elle, a été le dernier pays de la Communauté européenne

l'inefficacité des peines de substitution ; le résultat de ce premier projet fut un maintien de la peine de mort mais le recours à la torture aboli. Le dernier projet d'abolition de cette peine a été fait en septembre 1981 par le ministre de la Justice Mr Robert BADINTER aussi avocat et garde des Sceaux, cet homme à porté la peine de mort à l'abolition, cette discussion se passa et fut voté entre le 17 et le 18 septembre à l'Assemblée Nationale, ainsi qu'au Sénat les 28 et 30 septembre de cette même année.

Bibliographie 8 L’abolition de la peine de mort est un long combat de deux cents ans. Il a été marqué par de nombreuses tentatives depuis la Révolution jusqu'à l’abolition en 1981. Ceci a put être possible grâce au changement de gouvernement et à Robert Badinter. C’est pour cela que l’on va s’intéressé tout d’abord à l’historique de la marche vers l’abolition en France et puis faire l’état des lieux de la peine de mort dans le monde. I- Historique 1- Dates importantes abolition Au cours de ces deux

condamné à mort diminue au vingtième siècle. Enfin , en 1981, François Mitterand devient président qui était pour l’abolition. Le vingt-neuf août 1981, un projet de loi est présenté à l'Assemblée Nationale par Pierre Mauroy, premier ministre et Robert Badinter, garde des sceaux. Il est voté le dix-huit septembre   par trois cent soixante-neuf voix pour, cent treize contre. Le trente septembre, plusieurs amendements du Sénat sont rejetés. Après l'Assemblée nationale, la loi est officiellement adoptée

Victor Hugo : Victor Hugo (1805/1885) 2 € Est un écrivain qui a beucoup agit politiquement a son époque et était un homme très en avance sur son temps | N°125 L'intellectuel Jeudi 20 Décembre | La peine de mort : La peine de mort en France a été abolie en 1981 par le président de la République François Mitterrand, faisant de la France un des derniers pays de la Communauté européenne à l'abolir. | Le dernier jour d'un condamné : Le roman qui a fait réagir |

obligatoire et, à défaut, tant que le texte n’est pas publié, il n’est pas obligatoire (les citoyens ne sont pas censés en avoir eu connaissance). Chapitre 2 : La loi contre la peine de mort La loi est proposée au nom du Gouvernement, par Robert Badinter, garde des Sceaux et ministre de la justice à l’Assemblée Nationale, en France : « J'ai l'honneur, au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France...». Le débat a

 Le discours sur l'abolition de la peine de Mort de Robert Badinter . Robert Badinter, né le 30 mars 1928 à Paris, est un avocat, universitaire, essayiste et homme politique français. Président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995, il est principalement connu pour son combat en faveur de la réinsertion des détenus et contre la peine de mort, dont il obtient l'abolition enFrance le 9 octobre 1981 en tant que garde des Sceaux '(Ministre de la justice ) , La peine

refusons […] parce qu’elle est pour nous l’antijustice, parce qu’elle est la passion et la peur triomphant de la raison et de l’humanité. » Robert Badinter « Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne. » Cette anecdote de Victor Hugo illustre bien le propos de Robert Badinter, célèbre avocat réussissant à abolir la peine de mort en France. Il affirmait que : « Cette justice d’élimination, cette justice d’angoisse et

par le nouveau président socialiste, francois Mitterrand. «J'ai l'honneur, au nom du gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale, l'abolition de la peine de mort en France» , avait déclaré la veille le Garde des Sceaux¹ Robert Badinter, avocat et militant inlassable de cette cause. L'abolition votée à une large majorité (seuls 117 députés s'y opposèrent), rencontrait cependant l'hostilité de l'opinion publique. 62% des Francais se disaient favorables à la peine de mort, selon

l'aide du ministre de la Justice Robert Badinter, François Mitterrand va signer le texte de loi qui va ensuite être voté par les députés et affirmé par les sénateurs. 4- Les années 70 sont marqués par l'affaire Buffet-Bontem qui va divisé la France en deux. Bontem était le complice de Buffet qui est accusé d'avoir tués une infirmière et un gardien. Seulement les deux accusés seront condamnés de la même façon alors qu'il n'ont pas les mêmes torts. Robert Badinter, à l'époque avocat de Bontems est