Libération-Sud

INTRODUCTION Les relations internationales, aussi loin que l’on puisse remonter, ont toujours été orientées ; quelles soient Nord-Nord, Nord-Sud ou même Sud-Sud, les enjeux de toute nature restent le socle de ces rapports souvent ambigus. Quand l’on en vient penser la question de développement, qui s’oppose à celle du sous-développement, il apparaît clairement que l’essentiel des échanges mettent souvent en présence des coopérations multilatérales et ou bilatérales entre les pays et avec

Transnationales  :   le   produit   mondialisé   étudié   pendant   l’année   devait   montrer   l’existence   de   grandes   entreprises   mondialisées,   qui   font   produire   dans   les   pays   du   Sud   tandis  que  la  conception  des  produits  est  faite  dans  les  pays  du  Nord.        -­‐ D’autres   organisateurs   participent   aux   échanges   mondialisés,   notamment   les   institutions

situations de crise. LES PAYS AFRICAINS PRODUCTEURS DE DIAMANTS Afrique du Sud, Botswana, Namibie Tout d’abord, il faut rappeler la place que tient le diamant dans l’économie africaine et par la même occasion le fait simple, mais parfois oublié, qu’il y a des pays où le diamant n’est pas ou n’est plus synonyme de conflit et où il représente un marché prospère et correctement organisé. Historiquement, c’est en Afrique du Sud que le diamant a d’abord été exploité sur le continent. Les premières découvertes

novembre 2010. Auteur : Benjamin MASSE-STAMBERGER L’analyse va porter sur un article paru dans l’hebdomadaire « l’Express » du 10 au 16 novembre 2010. Ce dernier parle du cinquième sommet du G20, organisé les 11 et 12 novembre à Séoul (Corée du Sud). * La forme : Premièrement, sur le plan de la forme de l’article, nous pouvons voir que le titre est « Beaucoup de bruit pour 20 ? », ce qui laisse entendre que le journaliste ne va pas faire l’éloge du G20. Une photo des différents chefs

et du Mozambique fût enclenché bien après la « vague décolonisatrice ». Différents mouvements nationalistes se crée dans les années 50/60 : FNLA (front de libération national Angolais) MPLA (mouvement des populations de libération de l’Angola) Unita (union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) FRELIMO (front de libération de Mozambique) RENAMO (résistance national Mozambique) Le Portugal (à l’inverse des autres puissances occidentales), refuse l’indépendance de l’Angola et du

grands principes du droit qu’il apprend et la réalité de la vie dans son Inde natale. Il s’intéresse aussi aux autres religions, christianisme, islam et approfondi sa connaissance de l’hindouisme.   Reçu comme avocat, il part pour l’Afrique du Sud défendre les intérêts d’une entreprise indienne sur place. Là, choqué par la violence du racisme dans ce pays où la discrimination raciale est dans la loi, il prend fait et cause pour les travailleurs indiens exploités dans les champs et dans les mines

jamais été aussi faible que depuis un demi-siècle, même si l'on assiste en fin de période à un infléchissement très signifiactif de cette tendance au "déclin". ( La Chine ne réalise qu'environ 3% du commerce mondial, devant la Corée du Sud mais derrière les Pays-Bas. Elle ne représente que 2,4 % des exportations US (en comptant les produits réexportés depuis Hong Kong). Si la Chine est l'un des principaux pays destinataires des investissements directs internationaux, l'essentiel de ces

déséquilibre réel entre la pratique linguistique, l’option politique de la pratique linguistique et l’environnement frontalier linguistique, essentiellement anglophone. Bien sûr, le Mozambique partage des langues communes avec ses voisins : Afrique du Sud (zoulou, shangane), Swaziland (siswati), Zimbabwe (shona), Malawi (yao, lomwe), Tanzanie (swahili, makonde). Pour mieux rendre compte des dynamiques linguistiques et des dynamiques d’usages au Mozambique, nous allons privilégier trois axes : un survol

Inégalités raciales et nouvelle colonisation en Afrique australe 1. La situation en Afrique australe présente cette originalité que le mouvement de reprise de la colonisation est le fait des colons eux-mêmes en opposition avec leur métropole. 2. En Union sud-africaine, les dirigeants blancs établissent une législation instituant l'apartheid à partir de 1948. Ce sont donc les colons blancs qui maintiennent un système «colonial» sur la majorité noire. Ces mesures ne prendront fin qu'en 1991 et Nelson Mandela

autobiographie: « Un long chemin vers la liberté » pour vous présenter ce leader charismatique. Nelson Mandela a écrit en majeur parti ce livre en prison avec le soutien de ses confrères de l’ANC (congrès national africain), et l’a achevé en 1990 après sa libération. De son véritable prénom : Rolihlahla qui signifie en langue Xhosa « celui qui crée des problèmes », Nelson fut le prénom anglais qui lui a été attribué, le premier jour de l’école par son institutrice Miss Mdingane. Une pratique très courante