Liberté d'expression

c’était les mauvais chiffres du chômage, c’est devenu, par la grâce de Valls, le quenelleur Dieudonné. On peut lire sur le web que bien loin d'approuver le comportement et les propos de l'humoriste, de nombreux internautes défendent surtout la liberté d'expression et dénoncent la censure, malgré les propos antisémites de l'humoriste qu'ils dénoncent. Selon eux, supprimer ses spectacles n'est pas la meilleure solution. Bien au contraire, elle contribue à alimenter le buzz autour de Dieudonné et à lui

Les contextes politiques : 1804 - 1815 => Empire Napoléon Ier, Waterloo => rétablissement de la monarchie sous la Restauration. 1815 -1824 => Règne de Louis XVIII 1824 - 1830 => Règne de Charles X (diminution de la liberté d’expression) 1830 => Révolution 1830 - 1848 => Roi Louis- Philippe, monarchie de juillet 1848 => Révolution : fin de la monarchie 1848 - 1851 => IIe République : abolition de l’ esclavage, de la censure et de la peine de mort => s’achève : coup d’Etat de Napoléon III

DESERTEUR C'est en 1953 que Boris Vian écrivit la chanson « le déserteur », elle fut publiée en 1955, à la fin du conflit en Indochine et peu avant la guerre d'Algérie. Ce texte est emblématique de la poésie engagée française et un symbole de la liberté d'expression face a la censure instauré a l'époque. La littérature engagée est un genre qui se met au service d'une cause (politique, culturelle …) et qui invite le lecteur a la réflexion et à l'action en faveur de la cause défendue par l'auteur. De nombreux

Internet qui est ultra-surveillé voir interdit. CONCLUSION La censure a donc était, et l’est encore, très utilisée par les gouvernements car elle permet de contrôler le peuple. En France elle est aujourd’hui interdite car il y a le droit à liberté d’expression (qui peut d’ailleurs lui aussi avoir des effets négatifs).Mais dans le reste du monde la censure est encore très fréquente.

et de critères spécifiques qui sont établis par un corps dominant (pouvoir institutionnel, conventions sociales) donc ici le régime politique totalitaire, sur un autre qui est dominé, ici l’interprète. Ces valeurs et critères gouverneront la liberté d’expression d’une personne, à la fois au niveau public et personnel. Autrefois la censure était monnaie courante et permettait une régulation du pouvoir, afin de maintenir l’ignorance du peuple et pouvoir mieux le manipuler. Contrôler l’information permet

leur fonction. L'obligation de réserve oblige les fonctionnaires à s’exprimer sur leurs opinions de façon mesurée, de manière à ce que leurs opinions politiques, soit conforme aux intérêts du service public. L’obligation de réserve limite la liberté d’expression du fonctionnaire. Mais selon La ville d’Auxerre Mr L. a manqué à cette obligation en diffusant des idées allant à l’encontre de l’ordre public. 3) Par manque de preuve le 10 novembre 2004 le Tribunal Administratif de Dijon en à conclue

à la vie privée Section 2. Le droit à l’image Paragraphe 1. La notion de droit à l’image Paragraphe 2. La diffusion de l’image d’une personne Paragraphe 3. Les exceptions au droit à l’image 2ème Partie. La Commission de l’Informatique et des Libertés (CIL) Section 1. Statut et Composition Paragraphe 1. Statut Paragraphe 2. Composition de la Commission Section 2. Les missions de la CIL Section 3. Les attributions de la CIL Section 4. Les droits des personnes (Citoyen) Paragraphe 1. Droit

population gagnait de plus en plus de pouvoir dans la société. Cette dernière était capable de se forger leur propre opinion des décisions rendues par l’état, de les contredire et ainsi d’apporter l’anarchie générale dans la communauté. La liberté d’expression apporte de l’anarchie puisqu’il n’y a plus qu’un seul détenteur d’autorité. Tous se rebellent contre les décisions de l’état et la population veut obtenir plus de pouvoir et en conséquence le gouvernement est renversé. Donc, oui les sophistes

l’intention de celui qui fait la blague. Ce n’est qu’en sachant cela que l’on peut se permettre de juger une plaisanterie. Mais il y a des limites à tout, et l’humour n’échappe pas à la règle. Respect de la Soah, de la religion, des juifs… la liberté d’expression est de plus en plus attaquée au nom de la notion de « respect » et de « tolérance ». Le mot racisme, qui a l’origine désignait l’idéologie qui consiste à hiérarchiser les différentes races entre elles y a perdu tout son sens. On parle aujourd’hui

français, et les histoires les « moins drôles » provoquent parfois des poursuites judiciaires. Si la législation française est plutôt tolérante vis-à-vis de l’humour, qui jouit comme toute forme artistique de la primauté donnée à la « liberté d’expression » dans la Constitution, encore faut-il pouvoir justifier qu’il s’agit bien toujours de cela lorsque l’on s’aventure sur un terrain glissant, au risque d’être accusé d’« injure » ou de « diffamation ». « On peut rire de tout, oui, mais à condition