Libertinage érudit

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Paris, C. de B. vient de la Bourgeoisie de robe. Il s’adonne aux « plaisantes » incertitudes d’une vie libre, celle des tavernes et des cabarets de l’époque, où la liberté de mœurs va de pair avec la liberté de pensée. Il fréquenta les libertins érudits qui, notamment dans le domaine philosophique, vont à l’encontre des idées communément admises. C’était un écrivain polygraphe, volontiers satirique pratiquant le grave comme le burlesque. Loin de se chercher un genre qui lui amènerait la gloire, il

représentants avec Est-il bon est-il mauvais (qui n'était pas promise à la scène). Système culturelle organisée avec des tas de vecteurs qui unissent le théâtre au public. Question de l'idéologie et de l'existence dès le 17ème d'un courant : le libertinage Libertinage : courant de pensée du 17ème puis du 18ème siècle qui met en avant une dimension anti-religieuse, voire matérialiste. Ce courant est un courant philosophique qui est le fait d'une aristocratie minoritaire, de théoriciens et auteurs d'Italie

changer ses habitudes, il est prêt à tout. Il planifie tout : « je lui en prépare de plus efficaces » (l.57) → il est prévoyant, il planifie. Il adopte une attitude religieuse en allant à la messe (l.67-68). C'est un maître du langage : il est érudit (il cite La Fontaine), il est cultivé (il utilise un argument d'autorité : La Fontaine l'a dit alors c'est vrai ; il prend pour exemple de grands modèles). De plus, il sait utiliser la flatterie et l'euphémisme (ex : il flatte Merteuil pour éviter

cite: la vrai création romanesque utilise le réel et n'utilise que lui, avec sa chaleur et son sang, ses passions et ses cris. Texte1: Deuxième partie, premier prêche de Paneloux   Paneloux: Jésuite érudit et militant, défenseur chaleureux d'un christianisme exigeant également éloigné du libertinage moderne, il symbolisera l'attitude de la foi en présence du mal. Au début, il est sûr de lui, comme le montre son premier prêche. Contexte: Sermon de clôture d'une semaine de prières collectives. Pluie

Littérature qui montre crûment le rôle dominant de l'argent et les luttes pour la promotion sociale : la liberté est sans emploi dans un monde dur, et la sincérité amoureuse constamment brimée par l'immoralité et les contraintes sociales. Le terme "libertinage" désigne maintenant la liberté des moeurs. Libertin : (du latin libertinus : affranchi) : alors qu'au XVIIe siècle, le libertin était plutôt un libre penseur sceptique et méfiant à l'égard de tous les dogmes, au XVIIIe siècle, le mot désigne

distinguent l'homme des autres créatures dans ce qu'il a de plus accompli». Il désigne un courant de pensée qui a traversé l'Europe pendant la Renaissance.Orgines du mouvement: - invention de l'imprimerie en 1430 la découverte de manuscrits grâce aux érudits grecs de 1453 suite à la prise de Constantinople explorations de nouveaux mondes: Christophe Colomb en 1492 avec l'Amérique mais aussi Fernan de Magelan et Vasco de Gama. Découvertes en astronomie avec les travaux de Nicolas Copernic et de

estimant qu'il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul. Il représente symboliquement le résistant tardif et la recherche égoïste du bonheur. Père Paneloux : il représente le clergé. Prêtre, jésuite érudit, militant et défenseur chaleureux d'un christianisme exigeant, éloigné du libertinage moderne et de l'obscurantisme des siècles passés. Il symbolise la présence de la foi en présence du mal. Il interprète la peste comme un fléau divin et une punition collective. Lors de son premier prêche

révolutionnent la vision que l'on avait du monde : • l'invention de l'imprimerie (1450) : les ouvrages reproduits à des centaines d'exemplaires permettent de diffuser les savoirs dans toute l'Europe • la découvertes des manuscrits grâce à l'arrivée des érudits grecs qui se sont repliés en • • Europe après la prise de Constantinople (1453) et qui ont apportés avec eux des œuvres inédites les explorations de nouveaux continents avec les voyages de Christophe Colomb qui découvre en 1492 l'Amérique, de Fernand

sans l’autre : le libertinage et la dévotion. Je me garderai bien de tenter ici de donner de ces grandes catégories des définitions précises, mais leur emploi est d’abord commandé par les textes où elles ne cessent d’être mises en avant. Le libertinage forme une catégorie presque exclusivement négative, qui indique la corruption intellectuelle et morale, la dissolution de la piété et des mœurs, la transgression des lois — personne ne pouvant ni ne voulant revendiquer le libertinage ainsi entendu —