Libertinage érudit

et la liberté de publication. 2/ - Qu’appelle-t-on le libertinage ? Le libertinage est un courant de pensées né au XVII ème siècle en Italie. Il affirme l’autonomie de l’homme face à l’autorité de la religion donc la liberté d’esprit. Au XVIII siècle le libertinage c’est l’esprit critique contre la religion et le dogme. - Qu’elle est la différence entre le libertinage érudit et le libertinage des mœurs ? Le libertinage érudit est une façon de penser avec liberté, avec l’esprit critique

d'opinion, d'expression, ou encore la liberté de publication. 2 – L'être humain est trois paradoxes qui sont le corps et l'esprit, les passions et la raison ainsi que la sensualité et la méditation. 3 – Le libertinage est une manière d'imposer sa liberté. La différence est que le libertinage érudit est une façon de penser qui met en valeur l'ouverture d'esprit et l'esprit critique, alors que celui des mœurs est une façon de vivre, une personne qui aime la séduction, le luxe et la dépense amoureuse.

libertinMembres du groupe :----Pour guider vos recherches :-Quelle est l’étymologie du mot « libertin » ? Quel est le parcours de l’évolution de ce terme ? - Quelle distinction peut-on réaliser entre le libertinage de mœurs et le libertinage d’esprit  (ou « érudit ») ? -Quels aspects du libertinage incarnent les deux héros de Manon Lescaut? Repérez des exemples précis et organisez-les.Groupe 2  : Exposé à préparer pour le …../……/…………

naissance au courant libertin. C’est ainsi que le libertinage et la libre pensée apparaissent. Avec le temps, ces courants de pensées extrêmement liés, connaîtront une évolution intellectuelle et historique telle qu’ils joueront un rôle déterminant dans l’organisation de notre société actuelle. I . LE LIBERTINAGE 1. DEFINITION DU LIBERTINAGE. Le terme libertin vient du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi ». Le libertinage est un courant de pensée né au XVIe siècle

paysan La Statue du Commandeur Laquais de Dom Juan La Violette Ragotin M. Dimanche, marchand La Ramée, spadassin Suite de Dom Juan Suite de Dom Carlos et de Dom Alonse, frères Un Spectre * ACTE I : Présentation de Dom Juan : le libertinage amoureux. * Décor : un palais au travers duquel on voit un jardin | Action | Scène 1 :Sganarelle,Gusman | Sganarelle dépeint son maître à Gusman, valet de Done Elvire, que Dom Juan vient d’abandonner après l’avoir épousé. | Scène 2 :Dom

du tabac et l’éloquence de l’argumentation. -parallélisme de construction : « non seulement… mais encore » qui donne au discours une forme de thèse. Questions rhétorique : « partout ou l’on se trouve ? » Une annonce de la thématique du libertinage Sganarelle parodie l’éloquence avec laquelle Dom juan fait l’éloge des vices réprouvés par la société. Morale des plaisirs prônés par le valet n’est pas sans rappeler l’hédonisme de Dom Juan. Considéré comme un remède pour certain médecin

• La nuit de Valognes : (1991) Pièce d’Eric-Emmanuel SCHMITT. C’est un Don Juan moderne « racheté » par l’amour d’un garçon. • Don Juan : (1998) film réalisé par Jacques WEBER à partir du texte de Molière II. Qu’est-ce que le libertinage : Le libertinage est un courant de pensée, intellectuel, tendant à la revendication au droit à la liberté de pensée et à la remise en cause des dogmes religieux. Il est né au XVIe siècle en Italie, issu de la Renaissance, puis il se manifesta en France

sera soumis à des mesures d'isolement, ni quand son enfant succombera. Paneloux au contraire, malgré (ou à cause de) (anticléricalisme latent de l’œuvre occupe une place de premier plan. Jésuite érudit et militant, défenseur chaleureux d'un christianisme exigeant également éloigné du libertinage moderne et de l'obscurantisme des siècles passés, il symbolisera l'attitude de la foi en présence du mal. Au début, il est sûr de lui, comme le montre son premier prêche Mes frères, vous êtes dans

La Peste : le personnage de Paneloux * Le personnage : * Il apparaît pour la première fois à la page 25, il fait l’objet d’une brève introduction. C’est un jésuite érudit et militant, très estimé dans la ville, même des athées, c’est donc un personnage très important. * Il est de taille moyenne et trapu, sa voix forte et ses lunettes d’acier, donnent une impression de force et de solidité. Il n’hésite pas à dire les dures vérités. * Il meurt malgré sa foi, il s’en remet à Dieu et

janséniste qui ce base essentiellement sur l’augustinisme dans sa forme la plus pessimistes : la grâce divine n’est accordé qu’à un petit nbr d’élu prédestiné. L’apparition de courants aussi excessifs provoquent, par réaction, les différentes formes de libertinage (cf III). Aussi renforcement du Gallicanisme (doctrine qui cherche à assurer l’autonomie de l’Eglise de France au sein de l’Eglise catho romaine et à préciser son statut face au pape et au pouvoir royal) avec notamment le concordat de 1516 qui