Liberté Et Progrès Technique

publiée au bulletin official. Pour l’entrée en vigueur il faut des textes d’applications faits par lhoukouma - la concurrence pure et parfaite selon les classiques est la meilleur (marche =bq d offreur et de demandeurs) ses conditions sont l atomicite, liberte d entree et sortie, transparence...en effet les classiques disent que la concurrence se regle par elle meme (laisser faire et laisser passer, la main invisible) - dunping social lorsqu'on baisse les coûts des charges salariales pemerttant ainsi de

fonctionne comme un organisme vivant, avec des organes qui ont des fonctions d'où l'idée qu'il y a un ordre économique et social naturel qu'il ne faut pas perturber. L'État doit assurer la liberté totale du commerce et du travail. La loi Le Chapelier va supprimer les corporations pour qu'il y ai plus de libertés de métier. Précurseurs du libéralisme. B- Le courant classique (fin 18ème, début 19ème siècle) Les points communs au courant classique, c'est un raisonnement macro-économique, une vision

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doit pouvoir recouper un jugement universel. C'est à partir de là que l'on peut faire le lien entre philosophie morale et philosophie politique. Car l'universel : pluralité des êtres humains, vivre ensemble. Au 18ème siècle, on part de cette idée de progrès, d’idéal de la conscience politique et de la conscience moral. On pense que l’homme est perfectible et qu’il peut atteindre cette perfection grâce à la raison. Et philo moral et politique sont liés dans la convergence de créer un bien commun. La morale

nouvelle organisation de la production et un développement des échanges ( surtout industrie textile et minière (regroupe les usines dans les villes). Plusieurs révolutions industrielles : - 1780/1880 - 1880/1970 (fondé sur de nouvelles techniques : moteur électrique, nouvelles énergies (pétrole), nouveaux secteur industriel (chimie, automobile). - 1940/ à nos jours : haute-technologie. 2. Les voies de l’industrialisation (1850/1914) 1850 : Angleterre ( marché intérieur en plein

cause des bases de la pensée occidentale *S'il est nécessaire de partir du passé pour comprendre le présent, cela signifie que les bases premières de la pensée occidentale ont été assez puissantes pour le dvpt de la Raison, laquelle marche de progrès en progrès. C'est pour cela que l'on dit que l'Homme occ est qqn qui met tte sa confiance dans le dvpt successif de la science et dc ds la perfectibilité des machines. *Auj, notre présent, que l'on appelle aussi la post-modernité, connait une remise en

siècle sur une confiance assez naïve dans le progrès que pouvaient nous apporter les sciences. Pour la première fois, l’idée d’un progrès de l’humanité ne s’appuyait plus sur des croyances religieuses, comme celle de l’avènement proche de la Cité de Dieu, pour Saint Augustin mais sur une foi dans l’homme, dans sa raison et dans le pouvoir de la technique de changer radicalement la vie humaine. Le sens de l’Histoire était celui du progrès scientifique et technique. L’homme moderne possède une conscience

compte le progrès technique, ni la chute de la mortalité… « Nous vivons sur une terre dominée par l’Homme » « Nous changeons plus vite la planète que nous ne la comprenons. », Vitousek Pour Ricardo : théorie de la rentre décroissante des terres : en gros, on exploite les terres les plus productives, puis avec le temps et l’exploitation de moins en moins => de moins en moins de ressources quand la pop croît = théorie des rendements décroissants. Ne prend pas en compte le progrès technique. Pour

Lumières. Les penseurs de cette époque ont marqué le domaine du savoir (science et philosophie) et de l'art (la littérature en particulier) par leurs questions et leurs critiques fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté. . Les philosophes des Lumières veulent "éclairer" leurs concitoyens en luttant contre l’ignorance, notamment à travers le projet grandiose de l’Encyclopédie. Les Lumières veulent asseoir le règne de la raison, de la lumière naturelle qui accumule

morale humaine ne serait-elle qu’une illusion ? Le courant des Lumières a toujours célébré la grandeur de l’homme et la valeur positive du progrès. Cet optimisme en faveur de l’homme provient du fait que celui-ci, au contraire des animaux, ne cesse d’évoluer, c’est-à-dire est capable de mieux exercer ses facultés, d’acquérir des connaissances, des techniques nouvelles et de les transmettre à ses descendants. Cette capacité, Rousseau, bien qu’il ne fasse pas parti du courant optimiste, la nomme "perfectibilité"