Liberté Freud

magnétisme. Et c’est sur ce courant que va s’instituer la psychanalyse au début. II Sigmund Freud Sigmund Freud est un psychiatre autrichien, (1856-1939) Diplômé en médecine en 1881, spécialisé en neurologie en 1884. Il ouvre un cabinet à Vienne en 1891 où il pratique d’abord l’hypnose puis au bout de quelques temps la méthode dite des « associations libres » : C’est là le début de la psychanalyse. Freud est donc celui qui a inventé la psychanalyse, c'est-à-dire qui a le premier conceptualisé la

se connaître et savoir ce que nous sommes. Ma conscience morale me dicte mon comportement quotidien, et donc me fait être ce que j’ai conscience de vouloir être. Pour cela il faut que je sois conscient au niveau social et personnel tel le définit Freud dans la cure analytique. Cette prise de conscience permettra de se gérer, de gérer ses angoisses, ses pulsions, et de dominer ses passions, ses instincts. Mais il faut se comprendre pour atteindre cette « auto-gestion ». Car dans la mesure où l’on

adopte alors un comportement que Sigmund Freud qualifiera « d' élémentaire » en comparaison à un comportement d'enfant qui refuserait « de changer quoi que ce soit au programme prévu ». Sigmund Freud s'essayera alors à démontrer des comportements de résistance tels que la grossièreté, la raillerie en plus de la résistance la plus élémentaire : la résistance intellectuelle. Sa psychanalyse a été fortement critiquée par certains scientifiques mais Freud a reussi à s'en amuser puisqu'au final ces

psychanalyse (théorie freudienne), a connu des développements très variés selon l’endroit où l’on se trouve. Il y a eu un développement fulgurant entre 1900 et 1950 puis à partir des 40, 50,60 d’autres courants sont nés. Publications de Freud surtout entre 1895 et 1930. Freud était très sur de lui, pour lui trois grandes découvertes comme la terre est ronde… Beaucoup de choses étaient marquées par la psychanalyse. Le modèle Freudien est construit sur deux piliers : l’inconscient et la sexualité enfantine

conscience ne désigne pas la totalité de notre psychisme. L’inconscience est donc aussi une partie de notre intériorité mais qui nous échapperais. Cela montre donc, que notre intériorité nous est étrange, nous n’en avons pas connaissance. C’est ce que Freud montre sa psychanalyse cette existence de cette région humaine qui serait une zone d’ombre à notre conscience. Notre conscience subit aussi des égarements par rapport à l’amour propre. en effet l’homme n’aime pas recevoir des critiques qui

On reprocha à Freud en ruinant l'idée de liberté de dégager l'homme de la responsabilité de ses actes. Il est vrai, du reste, que Freud introduisit l'idée de déterminisme psychique et que liberté et déterminisme sont des termes qui s'opposent. Cependant, il faut faire attention à deux choses : L'inconscient n'est pas nécessairement celui de la psychanalyse. On peut penser l'inconscient autrement que Freud Est-il sûr que la théorie freudienne exclut réellement toute idée de liberté ? Tout dépend

mon corps, que le corps est un corps sujet ou un corps objet ? Est-il possible de sortir de l’ambiguïté qui fait que je suis mon corps tout en l’ayant ? La conscience est-elle transparente à elle-même comme l’analyse Descartes ou bien faut-il avec Freud soupçonner qu’il y a dans notre expérience psychique, une part d’ombre récusant le projet moral d’une souveraineté exigible de la conscience ? Dire Je, Moi, revient à présupposer une unité et une identité personnelle. Qu’en est-il de cette prétention 

Opposant la religion à la science, Freud tente dans son texte tiré des Nouvelles Conférences d’introduction à la psychanalyse, de donner un sens au phénomène religieux qui rattache les hommes à un ordre universel et supra humain, comme le définit Emile Durkheim. Ainsi, à travers un discours direct légué par la religion, Freud cherche à savoir, dans la mesure où cette institution se proclamait non porteuse d’une vérité de la raison mais d’une autre qui par la foi leur donnerait un sens à leur existence

L'INCONSCIENT Termes voisins : inconscience, subconscient. Terme opposé : conscience. Renvoie à : ça, moi, surmoi, liberté, psychanalyse, résistance, perversion. Concepts clés : Acte manqué : acte de la vie quotidienne dans lequel le résultat visé est remplacé involontairement par un autre. Agressivité : tendance à la destruction de l'autre. Elle s'appliquerait par l'effet de la pulsion de mort. Ça : pôle pulsionnel (/nid de pulsions) et inconscient de la personnalité. Censure

théorie de la ruse de la raison : (Hegel) La théorie de la volonté de puissance : (Nietzsche) Remarque préliminaire à ne pas confondre : _ Un phénomène inconscient et l’inconscient. _ L'inconscient et l'inconscience. L'inconscient selon Freud est l'ensemble des réalités et des mécanismes psychiques (se rapporte à la pensée) échappant à la conscience, il est constitué par les pulsions innées et les désirs refoulés. Quant à l’inconscience, elle est un état provisoire de suspension de la conscience